Cette semaine je suis très heureux de recevoir Olivier Ka avec qui j’ai une histoire un peu particulière… J’ai découvert cet auteur à une époque où il n’écrivait pas encore pour les enfants (il y a 15 ans), j’ai tout de suite été très fan au point que quelques années plus tard j’ai fait un site sur lui (site qui n’est malheureusement plus en ligne) avec sa complicité. C’est donc le premier dont j’ai lu des livres jeunesse alors que je n’étais plus trop la cible ! J’avais envie depuis un moment de revenir sur son parcours, ça donne une interview un peu différente de d’habitude… forcément ! Puis je vous proposerai de gagner son dernier livre, Obstinément chocolat. Ensuite, pour notre rubrique Parlez moi de…, j’ai voulu revenir sur un livre que j’avais trouvé riche et qui pouvait sembler déroutant, Au pays des vents si chauds avec son auteur, Séverine Vidal et une des éditrices, Chloé Laborde des éditions L’élan vert. Bon mercredi à vous !
L’interview du mercredi : Olivier Ka
Bonjour Olivier Ka, permets-tu que je vous vouvoie ?
Tu tu tu tu, je suis un garçon très simple, encore jeune et toujours sympathique, on se vouvoiera quand on sera fâché.
Évacuons toute suite la question, être fils de… ça aide ?
Pas vraiment. Disons que ça oblige à y aller franco, parce que ça serait la honte d’échouer là où tes parents on réussi. Ça met un certaine pression au début. Par la suite, c’est plus emmerdant. J’ai maintenant 45 balais, je crois que j’ai fait mes preuves en matière de publication, et on me rappelle toujours, systématiquement, qui sont mes parents. Surtout les journalistes. Dernièrement, dans le dépliant d’un salon, les organisateurs, pour me présenter, n’ont parlé QUE de mes parents, sans rien dire sur moi ni sur mes bouquins. C’est un peu agaçant.
Quel a été ton parcours pour devenir auteur jeunesse ?
Je suis passé par la presse écrite tout d’abord, puis j’ai fait mes armes en écrivant des nouvelles pour divers magazines, et enfin un premier roman adulte paru en 1997. Je suis venu ensuite à la jeunesse, parce que j’avais envie d’écrire court. Et c’est en creusant cette écriture-là que j’y ai pris goût.
J’ai remarqué que souvent dans tes histoires il y a un dérapage, tout semble « normal » et d’un coup tout bascule, un peu comme dans La quatrième dimension, c’est une référence dont tu as conscience ?
Absolument ! J’aime donner des coups de pied dans le décor. J’aime emprunter un chemin de traverse, quitter les rails, mettre mes histoires et mes personnages en danger. Les scénarios de La Quatrième Dimension étaient délicieusement effrayants, ils nous disaient : « Ne vous fiez surtout pas à ce que vous voyez ». J’adore quand on joue avec les faux-semblants.
Quelles sont tes autres influences ?
Elles sont multiples et viennent de différents secteurs. Je me suis beaucoup nourri de la série Philémon (par Fred, décédé récemment), et des albums de Franquin (surtout Spirou et Fantasio). J’ai beaucoup écouté Le Petit Prince raconté par Gérard Philipe. Ensuite, j’ai énormément regardé de films d’horreur, durant toute mon adolescence.
Quelles étaient tes lectures d’enfant, d’adolescent ?
Je ne lisais pas… J’ai découvert la littérature assez tard, vers dix-huit ans. Je me nourrissais de bande dessinée, mais pas de romans. Comme beaucoup de gamins que je rencontre aujourd’hui dans les écoles, je n’aimais pas lire. Le livre me faisait peur. Je raconte d’ailleurs dans mon dernier roman (Un Cœur Noir, éditions Plon) les circonstances particulières qui m’ont amenées à découvrir le plaisir de la lecture.
Quels sont tes projets ?
Cet été j’écris un troisième roman pour les éditions Plon. Il sortira en littérature générale mais, tout comme le précédent, il parlera de l’adolescence. Une histoire dure qui met en scène un garçon de quinze ans entraîné dans la folie de sa mère, jusqu’à l’horreur… J’ai également un projet d’album (bien plus léger) avec l’illustratrice Carole Chaix. Sinon, je consacre beaucoup de temps à monter et présenter des spectacles, dont le dernier, Petites Histoires Détraquées, commence à tourner.
Ses derniers titres (jeunesse) :
- Obstinément chocolat, recueil de nouvelles illustré par Régis Lejonc, éditions L’Edune (2011), que nous avons chroniqué ici.
- Lisa et l’oiseau de sang, roman ado/adultes, Plon (2011)
- La vie merveilleuse de la princesse Olga, album illustré par Olivier Latyk, éditions L’Edune (2009), que nous avons chroniqué ici.
- Les Contes Imbéciles, recueil de nouvelles illustré par Alfred, éditions L’Edune (2009), que nous avons chroniqué ici.
- Une maman tout entière, album illustré par Luc Melanson, Milan (2008), que nous avons chroniqué ici.
- Le fils de la conteuse, roman ado, Grasset (2008)
- Ti-Grô et le Mamoumouth, album illustré par Jean-Denis Pendanx, Petit à Petit (2008)
- Rien qu’un enfant, roman, Grasset (2006)
- Y a pas plus grognon qu’un fantôme, roman, Magnard (2005)
- Nos vacances chez les Gz, roman, Lire c’est Partir (2005)
- Garuel et l’elfe fou, roman, éditions SED (2005)
Retrouvez la bibliographie complète d’Olivier Ka, les dates de son spectacle et plus d’informations sur lui sur son site : http://olivierka.blogspot.fr
Comme je vous le disais avant cette interview, grâce aux éditions L’édune, je vais faire un chanceux parmi vous ! Racontez-moi, en commentaire à cet article, une anecdote vraie ou inventez une histoire (ou ce que vous voulez) qui parle de chocolat et l’un de vous, celui qui sera tiré au sort, gagnera le recueil Obstinément Chocolat, un recueil d’histoires autour du chocolat (plutôt pour les grands enfants) ! Même si ça n’augmente pas les chances, soyez créatifs, c’est plus drôle ! Vous avez jusqu’à lundi 20h… bonne chance à tous !
Parlez moi de… Au pays des vents si chauds
Une fois par mois on revient sur un livre qu’on a aimé avec son auteur, éventuellement son illustrateur et son éditeur. L’occasion d’en savoir un peu plus sur un livre qui nous a plu. Cette semaine c’est Au pays des vents si chauds, le livre de Séverine Vidal et Bruno Pilorget sur lequel j’ai eu envie de revenir.
Séverine Vidal (auteur) :
Nous sommes sur une plage près de Royan, la pointe espagnole, tout au bout de la côte sauvage… Il y a du vent, du soleil, c’est l’automne et les filles se baignent malgré tout.
Je dis à mon amoureux que j’ai envie d’une histoire de montgolfière.
Il y a un moment de silence et puis Jérôme prend un bout de bois et se met à tracer des dessins dans le sable.
Il me raconte l’idée qui lui vient, comme ça. Un pays noyé sous la mer, un peuple qui devient nomade, à la recherche d’une terre où se poser, des montgolfières.
Nous imaginons ensemble ce qui sera « Au pays des vents si chauds ».
Le soir et le lendemain, j’écris le texte, en ajoutant une rencontre, une projection de souvenirs, une famille qui cherche sa place et une carte pour rêver.
J’envoie ce texte que j’appelle De l’amour dans l’air.
C’est Chloé Laborde des éditions L’Élan vert qui m’appelle un jour pour me dire qu’elle aime beaucoup, que je dois changer certaines choses.
Je modifie le texte, je me sens portée par son enthousiasme, qui est vraiment touchant.
Puis Chloé me rappelle, elle est conquise, elle veut publier cet album.
Plus tard, j’apprends que Bruno Pilorget (dont je connais La grande vague avec Véronique Massenot, album que j’aime énormément) va illustrer mon texte.
Jérôme et moi attendons quelques mois et un matin, nous recevons les premiers croquis de Bruno. Il a inventé un monde à partir du notre, notre émotion est réelle. Nos montgolfières sont devenues des tortues, des baleines, des poissons. Nils et Loli ont des visages, leurs fêtes prennent vie. C’est magique.
Plus tard, les couleurs, la lumière (quelle lumière dans les images de Bruno !) viendront encore nous saisir, et nous emporteront.
Plus tard, encore, Bruno m’appellera pour me dire ce qu’il a aimé dans cette histoire, ce qu’elle a suscité en lui, comment ses images sont nées. Nous parlons presque une heure, alors que nous venons de faire connaissance, lui aussi travaille parfois avec sa femme et notre histoire écrite à deux lui plaît.
Nous rêvons d’une suite, d’un autre voyage.
J’espère que nous le ferons.
En tout cas j’ai déjà le titre … « Du feu sous la glace ».
Jérôme a déjà de belles idées, que je lui volerai sans doute, puisqu’il y a de l’amour dans l’air.
Affaire à suivre…
Merci à Bruno, pour cette plongée magnifique.
Merci à Chloé Laborde et aux éditions de L’Élan vert pour leur confiance qui ne s’est pas démentie depuis.
Séverine Vidal vient de sortir , retrouvez là sur son blog et sur sa page facebook.
Chloé Laborde (éditrice) :
C’est Cécile Vangout, illustratrice dans notre maison, qui a eu la bonne idée de transmettre mon mail à Séverine Vidal. J’avais repéré leur “Je n’irai pas” qui m’avait beaucoup fait rire… Séverine a donc commencé à nous envoyer quelques textes… Un jour d’octobre 2011, j’ai reçu “De l’amour dans l’air“. Ce qui a fait mouche, ce n’était pas tellement l’histoire en tant que telle, mais le monde où se déroulait cette histoire. Un monde où il était question de nomades des airs et de montgolfières… Nous avons eu une conversation avec Séverine… ce qu’on s’est dit, je l’ai oublié, mais quelques jours après, j’ai reçu une nouvelle version : le titre qui allait devenir Au pays des Vents si chauds. Ce texte, je l’ai adoré à la seconde ! Il fallait qu’on l’édite ! L’équipe a eu le même coup de cœur que moi. J’ai pensé à Nausicaa de Miyasaki, à Tobie Lolness de Timothée de Fombelle, je me suis dit que cet univers méritait 1000 fois d’être partagé.
Restait à trouver l’illustrateur… Qui pourrait bien façonner le monde du Pays des Vents si chauds, lui donner toutes ses couleurs ? Bruno Pilorget bien sûr ! Nous avions déjà collaboré plusieurs fois ensemble. Chez L’Élan vert, il nous a emmené au Japon, dans le Grand Nord américain, en Afrique, dans le Paris du XIXe… ce livre était un nouveau voyage où il pouvait tisser des fils entre son imaginaire et les différentes cultures. Bruno a eu l’étonnante et belle idée de faire des montgolfières en forme d’animaux marins multicolores ! C’était une sacrée surprise ! et une réussite !
Chaque personne reçoit un texte différemment. Dans les premiers crayonnés de Bruno, le côté onirique du voyage et les montgolfières prenaient une large place. À L’Élan vert, nous avions soif de détails sur ce peuple. Nous avons donc demandé à Bruno de se rapprocher un peu des personnages et de leurs vies dans ces bateaux volants. La planche de Virgil qui fait le feu est née de cette discussion. Bruno a été ensuite plongé dans son univers : papier aux couleurs du ciel et de la terre, métissage, sens de la fête, vêtements aux motifs ethniques, un projecteur de cinéma digne de Jules Verne… Le monde a pris corps ! Le Pays des Vents si chauds est né !
Le site de L’Élan vert et sa page facebook.
Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
Le mercredi est vraiment un jour particulier que j’aime ++++.
Je tiens à dire à Olivier Ka que je ne connaissais pas sa filiation (et Gabriel dans google celle qui a tapé “Olivier Ka fils de ” c’est moi :D). C’est donc vraiment un truc de journaliste. Le public (les enfants donc) s’en fichent complètement de savoir qu’ils ont aussi un livre de votre mère ou de votre père.
Je suis enchantée par l’histoire d’Au pays des vents chauds. C’est intéressant de connaître la genèse d’un livre, puis le parcours qu’il a du faire pour arriver jusqu’à ma bibliothèque. Vivement la semaine prochaine !
Pour le concours, je pourrai avoir plein d’histoires de chocolat vu que c’est mon addiction préférée. Mais mon plus grand plaisir c’est ma mamie qui me l’a fait découvrir (alors que c’était mon papy qui mangeait et appréciait le chocolat). Au goûter, elle faisait fondre une barre de chocolat sur son poêle à charbon qu’elle tartinait ensuite sur du pain frais. J’ai continué cette tradition jusqu’à aujourd’hui (enfin je le fais fondre sur la plaque électrique de notre cuisinière) pour le plus grand plaisir de mes enfants (sauf qu’avec les allergies de Raphaël, c’est le chocolat le plus cher du supermarché qui ne contient aucune trace de noisette et que le goûter délicieux n’a plus rien d’économique :D).
Le chocolat et moi on a une grande histoire d’amour qui durera jusqu’à ma mort.
Miam !
Comme j’adore les mercredis et comme celui là est particulièrement réussi !!!
Merciiiiiiiiiii 🙂
Je n’ai jamais su qu’Olivier Ka avait des parents célèbres par contre ce que je sais c’est que ça fait longtemps que je suis fan de son travail !!!
Quant à Séverine, j’aime la façon dont est née cette histoire et la manière qu’elle a d’en parler. Au pays des vents si chauds a l’air merveilleux.
Mon histoire de chocolat :
Quand nous étions petits, un lundi de Pâques après avoir manger tous mes chocolats, j’ai fait croire à mon frère que j’avais un trop super pouvoir magique : “Si je mange un de tes chocolats, je peux me transformer en oiseau !”. “Waou, géniale la grande soeur !”. Je me revois encore sur le petit muret à commencer à battre des ailes et à mimer un début d’envol. Il m’a donné beaucoup de chocolat ce jour là, bien sûr je n’ai jamais décollé (hélas)… J’avoue : je voulais juste ses chocolats. Oui je sais c’est moche ! Si jeune déjà, qu’est ce qu’on ne ferait pas pour du chocolat…:)
Oh la vilaine !
C’est justement dans le cadre de l’étude d’Obstinément chocolat que nous avons rencontré Olivier Ka avec des élèves de 6è du collège de Bruges (33)…
Cela nous a donné l’occasion de découvrir des textes frais, onctueux et même de déguster du chocolat, pour de vrai!
Lors de la rencontre, il nous a même interprété son poème d’ouverture accompagné à l’accordéon… Poésie théâtralisée… je vous laisse imaginer de quelles manières les élèves ont voulu réciter le poème, après en classe!
Lors des dédicaces enfin, certains ont voulu découvrir d’autres œuvres: pari gagné!
Quelle chance !
Bonjour,
Merci pour cette chouette découverte et le concours.
Chez nous le chocolat, c’est une histoire de famille et mon fils de 3 ans reconnait à l’oreille quand son père ouvre le frigo et se casse un carré de chocolat 🙂 On le voit arriver en courant pour avoir son carré lui aussi.
bonjour
merci pour ce super concours
je participe avec grand plaisir
Le chocolat,
pour moi,
a mon grand désarroi,
m’a donné plus d’une fois
une bonne crise de foie.
Mais pourquoi?
Je le mange pourtant avec joie,
ca me laisse pantois,
il ne me donne pas le choix.
Autrefois,
je me cachais dans les bois
car j’en avais plein le minois.
Quand je le cotoie,
pour moi c’est un roi,
il n’y a plus de loi.
Malgré que zhom soit courtois,
il me regarde avec effroi
et en reste coi
quand je l’envoie
loin de moi
pour deguster tout mon chocolat
encore merci
a bientot
Joli poème !
Han je ne savais même pas pour la filiation d’Olivier Ka ! J’ai fait ma curieuse et je suis allée voir sur google. 😛 Mais sérieux, il écrit génialement bien, le reste on s’en tamponne le coquillard ! (oui, bon ok je dis ça APRES être allé voir qui, c’est pas bien).
J’ai seulement trois bouquins de l’auteur, Monsieur Rouge entre en scène, Lisa et l’oiseau rouge (je l’avais chroniqué, j’avais eu l’impression de prendre une grosse claque en finissant ce roman ! Un gros coup de coeur !) et le magnifique “Une maman toute entière” qui rend mon coeur tout chamallow. <3
Ploum ploum le chocolat, je n'aime pas ça ! Si, si c'est vrai, rien que l'odeur erkkk !
Très chouette ce zoom sur "Au pays des vents si chauds", il est dans ma liste d'envie, comme on dit, mais ça me donne encore plus envie de le découvrir.
*”Lisa et l’oiseau de sang”
Ne pas aimer le chocolat ???? Enfin c’est mieux que de ne pas aimer le fromage ! (rassure moi tu ne cumules pas les deux ?)
quand j’ai lu “pourquoi j’ai tué Pierre”, j’ignorais qui était la mère d’Olivier Ka et j’ai adoré.
je suis ravie d’être près de lui dans le Mare aujourd’hui
merci pour vos commentaires, et des bises à Bruno Pilorget
La mare c’est ça aussi, un lieu de rassemblement d’animaux de divers origines ! (le nom est du à ça)
Bonjour!!
Merci pour ces mercredis que j’adore avec la découverte de tous ces artistes! Je suis comme les autres, je ne savais pas pour les parents d’Olivier Ka et je ne vais pas être originale quand je vais dire que je m’en fiche, l’important c’est ce qu’il fait!!
Pour le chocolat, j’ai pas mal de souvenir surtout venant de ma mère car elle adore le chocolat, pas un jour sans ses deux carrés de chocolat après le repas sinon elle est “en manque”!! Mon souvenir très marquant avec le chocolat est au moment de pâques. Tous ces beaux sujets en chocolat me faisaient rêver et j’adorais par dessus tout les chercher dans le jardin après le passage des cloches! Mais au grand malheur de mes parents, une fois trouvés, je ne voulais pas manger le lapin ni la poule (bon pour les oeufs en chocolat, ça passait) et ma soeur pareil, donc c’est à contre coeur, que des mois après, tout finissait à la poubelle!!! Depuis, je me suis rattrapée. Je suis une adulte mais je continue à acheter du chocolat de pâques et pas de quartier…je mange tout!!!
Bonne continuation!!!
Et bien sûr, je participe au concours!!
Moi c’était la même chose avec les personnages en pâte d’amande ! Mais la gourmandise finissait par l’emporter !
En Espagne pour quelques jours à l’Ascension, on s’est aperçu, le petit groupe d’amis que nous étions que tous les prétextes étaint bons pour acheter du Toblerone !!!!! En effet, tous, depuis notre adolescence, nous achetons de ce prisme au nougat à chaque séjour à l’étranger !!!! Comme si c’était une spécialité !!!!! En Espagne, en Angleterre … Alors qu’on trouve le même en France !!!!!! Mais il semblerait que cela fasse partie des comportements rituels des touristes français à l’étranger !!!!!!
Bon, je croise les doigts … Merci …
Ah marrant moi j’en achète ici 😀
Alors moi je n’ai jamais rien lu ni d’Olivier Ka, ni de sa maman ni de son papa !!! Faudrait au moins que je lise quelque chose de cette famille, non ??? Donc je participe pour gagner ce livre !!!
Le chocolat ? Moi je ne connais pas !
Euh… En fait je ne connais pas de journée sans… C’est INDISPENSABLE !!!
Sauf quand j’étais enceinte de ma première fille… je n’arrivais plus à en manger… ça a pris de temps à me refaire plaisir, mais tout est bien rentré dans l’ordre ! ouf !
tu peux même lire quelque chose de la soeur ou de l’oncle ! (mais tu lis déjà le blog de la maman, je le sais !)
Bonjour,
Je ne connais pas les livres d’Olivier Ka, du moins pas encore…
Par contre j’ai beaucoup aimé (si ce n’est adoré) Au pays des vents si chauds de Séverine Vidal et je trouve les illustrations de Bruno Pilorget juste sublimes (j’ai également “la Grande vague”, album auquel je suis très attachée).
Concernant le chocolat mes meilleurs souvenirs restent les moments partagés avec ma maman, quand nous faisions un gâteau au chocolat et que je pouvais lécher le fond de la casserole, je m’en donnais à cœur joie ! J’espère arriver à transmettre de bons souvenirs comme celui-ci à ma fille qui raffole de chocolat…
Merci pour ces interviews du mercredi c’est toujours un régal 😉
A bientôt
Merci pour le compliment ! Ma fille aussi est une lécheuse de bol (et de fouet, mais je l’éteins) après gâteau !
Un souvenir d’enfance: Au moment des fêtes de Noel, mes grands-parents achetaient un kilo de crottes en chocolat – sans compter les autres boîtes offertes par les parents des enfants que ma grand-mère gardait. Et mon grand-père l’engloutissait en jouant à la belotte (la boîte était à porter de mains). Je pense que c’est de là que me vient mon goût immodéré pour le chocolat.
Bonjour, je voudrais participer !
J’adore le chocolat, c’est pour ça que quand j’étais enfant, j’adorais Pâques. Je me levais toujours super tôt pour aller chercher les chocolats dans mon jardin et j’avoue qu’après avoir mangé tous les miens, je volais ceux de ma petite soeur ^^.
Encore une voleuse ! Décidément ! 😀
Bonjour,
Merci pour le concours et le super cadeau.
Je participe volontiers.
La première fois que mon fils à mangé du chocolat noir, il en a eu plein les mains et il s’est mis à crier en disant caca, caca !!! Impossible de le calmer…
Encore merci et bonne continuation.
je participe avec plaisir ..une histoire a base de chocolat ? dernièrement j’ai fait des crêpes pour les enfants qui la réclame au chocolat, je sors le pot du placard, et j’ouvre le couvercle et surprise : papa est passé par la, et a tout fini !
Mais comme un gosse, il a remis le pot vide genre c’est pas moi qui l’ai fini …
fous rire des enfants !
Moi, je n’ai pas d’histoire de chocolat car dès qu’il y’en a , il ne reste que quelques minutes devant moi .^^ Il y’a de quoi rester sur sa faim, non ?^^
Moi aussi je participe avec grand plaisir! En ce qui concerne le chocolat, cela doit être le premier gâteau que j’ai su réussir toute seule. J’étais petite et ce fût le début d’une grande passion pour les pâtisseries! Au grand plaisir de toutes la famille qui partage sans modération mes gourmandises chocolatées!
Merci pour ce concours qui ravive nos papilles.
A bientôt
bonjour je participe avec plaisir
y’a des dingues de choco à la maison !!
pour pâques nous avons reçu des petits poussins en chocolat
ma petite dernière ne veut absolument pas les manger si elle les voit elle fait un petit bisou mais refuse de les croquer et fond en larme si nous les mangeons!!!
merci et bonne chance à tous
une histoire de chocolat, pas spécialement drôle. Chaque année à Pâques, mon grand-père nous accueillait en nous disant : le lièvre est mort pour la France, il n’a pas pu passer…
désolée c’est la seule anecdote qui me soit venue!!!
et bravo Olivier Ka, j’apprécie beaucoup votre travail!
Pour mes quarante ans, mes 4 enfants, connaissant mon addiction au chocolat, ont décidé de me fabriquer un œuf géant en chocolat. Dans un maxi kinder surprise ils ont coulé du chocolat mais s’apercevant que le stock était insuffisant, ils ont ajouté tout ce qui était chocolaté et qui se trouvait dans les placards, soit: nutella, kinders fondus, chocolats aromatisés etc. Le tout à pris forme au congélateur et je me suis retrouvée avec un truc dur comme du béton et franchement immangeable mais tellement mignon!
Bonsoir
merci de nous offrir ce concours tout choco !!! ^^ pour ma part j’ai l’habitude de faire le même rêve assez régulièrement : dans ce dernier je me retrouve dans une énorme baignoire remplie de chocolat dans laquelle je me relaxe tout en dégustant du bon chocolat bien sûr!!
très belle soirée à vous 😉