Aujourd’hui c’est mercredi, et pour la dernière interview de l’année, je vous propose de découvrir Patricia Côté, qui a écrit Où es-tu petite boule rouge ? (chroniqué ici), un premier livre cartonné, à destination des plus jeunes. Six d’entre vous pourront gagner un exemplaire de cette belle histoire grâce à un concours en fin d’interview. Puis, pour la rubrique Parlez-moi de…, Guénola Moreau , Lola Roig et Claudine Furlano reviennent sur la naissance de La cigogne de fer qui déposa mon frère, un album que nous avions chroniqué ici. Bon mercredi !
L’invitée du mercredi : Patricia Côté
Quel est votre parcours ?
Je suis une amoureuse des mots et des histoires qui font rêver, adorant l’univers de l’enfance et tout l’émerveillement qui vient avec ! Ça faisait quelque temps que je souhaitais mettre sur papier une histoire pour les tout-petits. Histoire teintée de quête, de rêve et de bonheur à cultiver.
Déjà toute petite, j’aimais beaucoup les livres que je « lisais » à ma maman avant même de savoir lire ! Dès que j’ai pu écrire, j’ai confectionné mon premier livre artisanal que j’ai écrit, illustré et relié moi-même… en édition limitée bien sûr ! Baccalauréat et travail dans le domaine de la santé, mon parcours m’a amené à vivre des expériences de coopération internationale (Afrique, Espagne, Turquie) et des voyages plus personnels (Inde, Népal, Tibet), en passant par la création d’une petite chocolaterie artisanale ! Tout ce cheminement m’a aussi permis de voyager à l’intérieur de moi-même et de me connecter avec ma créativité pour ainsi revenir vers mes premiers amours. Ainsi, je me suis laissée transporter dans l’univers de l’enfance et de l’émerveillement en créant ma première histoire pour les tout-petits : Où es-tu Petite boule rouge ?, aux Éditions de la Bagnole. Une petite boule rouge qui explore et expérimente différentes activités qui lui ressemblent, et qui, à travers de belles rencontres, trouve sa voie et réalise ses rêves ! Au fond… il y a beaucoup de moi dans Où es-tu petite boule rouge ? !
Que lisiez-vous enfant, adolescente ?
La collection de Disney (un classique !) ; La collection Martine ; j’aimais bien apprendre sur les différentes personnalités avec la collection « L’une des belles histoires vraies de Grolier » (ex : Un bel exemple de persévérance : Hellen Keller) ; la revue J’aime lire. À l’adolescence, j’ai lu tous les livres de la Comtesse de Ségur, Le Petit Prince de St-Exupéry et beaucoup d’autres dont je ne me souviens plus trop ! J’aimais bien la bande dessinée Archies aussi !
Que pensez-vous de la littérature de jeunesse actuellement ?
Je pense qu’elle est très riche et diversifiée. Il y en a pour tous les goûts ! Elle est essentielle pour semer le goût de lire, le goût d’apprendre et d’écrire et l’ouverture sur d’autres mondes aux jeunes.
Où es-tu petite boule rouge ?, votre premier livre, est un album cartonné à destination des plus jeunes. Pourquoi ce choix ?
Initialement, il a été pensé pour être un album illustré destiné aux 4 à 6 ans. C’est la maison d’édition qui m’a suggéré ce choix d’album cartonné. Et je suis très heureuse du résultat final. Je trouve que le livre est un très bel objet en soi ; il a un format original et agréable pour les enfants et un côté simple, minimaliste, épuré, qui apporte un côté très artistique au livre. Sans oublier les magnifiques illustrations de Yayo qui reflètent une belle sensibilité et une belle poésie. Sincèrement, je n’aurais pu rêver mieux comme premier livre ! Pour les tout-petits, il offre aussi une belle stimulation au niveau sensoriel (format, boule rouge et autres couleurs, pages cartonnées qui se tournent facilement), un premier contact amusant avec un livre pour l’enfant et une initiation agréable à la lecture.
Où puisez-vous votre inspiration ?
Dans mon quotidien, autour de moi, dans les expériences qui m’habitent. L’idée de la petite boule rouge m’est venue alors que j’ai posé le regard sur des nez de clown que j’avais chez moi ! L’idée d’une petite boule rouge comme personnage, provient du fait que j’aime bien humaniser un personnage qui n’est pas une personne à la base ; pour moi ça unifie les gens, ils peuvent se voir en la petite boule, connecter avec ce qui leur parle, leur propre reflet. J’aime aussi le côté un peu absurde, créatif et ludique. L’histoire en est une qui permet de beaux échanges avec les enfants ; elle leur permet d’imaginer d’autres aventures pour la petite boule rouge ou encore, de verbaliser sur leurs propres rêves qu’ils aimeraient réaliser au cours de leur vie. Ceci rejoint directement mon côté empathique et humaniste qui m’habite dans la vie comme dans mon travail. L’idée que la petite boule rouge cherche sa voie, recherche son bonheur et le trouve à la fin est pour moi une façon de semer des petites graines sur l’importante de croire en soi et de réaliser ses rêves à la hauteur des tout-petits.
Quels sont vos projets ?
Continuer d’écrire pour les enfants et éventuellement pour les adolescents. Faire des animations dans les écoles et les bibliothèques. Et qui sait, peut-être traverser l’océan pour venir rencontrer mes petits fans français ?
Bibliographie :
Où es-tu petite boule rouge ?, illustré par Yayo, Éditions de La Bagnole, 2014, que nous avons chroniqué ici.
Concours :
Grâce aux Éditions de la Bagnole, vous avez donc la possibilité de gagner un exemplaire d’Où es-tu petite boule rouge ? (que nous avons chroniqué ici). Pour cela, laissez un commentaire pour participer au tirage au sort, en indiquant, si vous le souhaitez, à quoi vous fait penser la couleur rouge ! Vous avez jusqu’à mardi 20h, et il y aura 6 gagnants !
Parlez-moi de… La cigogne de fer qui déposa mon frère
Régulièrement, on revient sur un livre qu’on a aimé avec son auteur, éventuellement son illustrateur et son éditeur. L’occasion d’en savoir un peu plus sur un livre qui nous a plu. Cette fois-ci, c’est sur La cigogne de fer qui déposa mon frère (chroniqué ici), une histoire sur l’adoption, racontée du point de vue de la fratrie. Guénola Moreau, l’auteur, Lola Roig, l’illustratrice, et les éditeurs de Zoom, nous en parlent.
Guénola Moreau, auteur:
L’idée d´écrire l’histoire de La cigogne de fer qui déposa mon frère m’est venue un matin un peu par hasard, sans que ce ne soit un projet qui avait été vraiment envisagé auparavant. C´est une histoire finalement très personnelle et qui faisait tellement « naturellement » partie de moi que je n´avais jamais pensé « l´extraire » ainsi pour la relater et la transmettre, ou la regarder de l´extérieur. L´autre jour, en retombant sur le manuscrit dans mon carnet (du moins le premier jet), j’ai pu constater qu’il était entouré d’un texte pour « grands » et d’un autre pour « petits », les deux non achevés (ça m’arrive souvent…). La chance de La cigogne… a peut-être été justement de me « tomber dessus » d´un coup et d’une traite, si bien qu’il ne restait ensuite plus qu’à retaper ces notes éparses, les retravailler puis songer à en faire quelque chose de plus. C’est là qu’entre en scène un couple d’amis catalans qui m’est cher, Meritxell Martí et Xavier Salomó, auteure et illustrateur respectivement. Un jour où ils étaient venus fêter la Chandeleur chez moi, je leur expliquais entre deux sauts de crêpes que j’avais terminé peu de temps avant un texte relatant l’arrivée de mon frère adoptif mais que je n’avais pas du tout envie d’envoyer ce manuscrit comme ça aux maisons d’édition, sans savoir qui l’illustrerait. Meritxell a immédiatement pensé à une illustratrice qui avait assisté à un de ses ateliers sur l’édition quelques semaines avant et lui avait dit à peu près la même chose dans l’autre sens : qu’elle avait envie de travailler en binôme avec un(e) auteur(e) et qu’elle aimerait aussi s’ouvrir au monde de l’édition de l’autre côté des Pyrénées. J’avais donc noté l’adresse de son site, et dès que j’y suis entrée, son univers m’a plu et j’ai su que j’avais envie de travailler avec elle. Ce qui était intrigant d’ailleurs, c’était cet aspect un peu oriental dans les traits des personnages qu’elle dessine, et puis j’ai aimé la finesse et la poésie de ses illustrations et leur côté peu conventionnel. Je l’ai contactée et lui ai envoyé le manuscrit et peu de temps après je recevais une réponse enthousiaste et positive : l’histoire et le texte lui avaient beaucoup plu et elle était prête à se lancer dans l’aventure. Il y a eu quelques rencontres, beaucoup d’échanges via mail, des sessions de travail ensemble vraiment passionnantes, quelques interruptions et une énergie partagée ensuite à s’atteler à ce qui demande le plus de patience : chercher des maisons d’édition susceptibles d’être intéressées par le projet, et aller à quelques salons (Lola à Bologne d’abord puis nous deux ensembles à Montreuil en décembre dernier), ce qui n’est pas évident pour nous puisque nous vivons et travaillons en Catalogne, avec des emplois du temps compliqués.
Quant à l’histoire de La cigogne…, mon intention a été simplement de me replonger entièrement dans les souvenirs de cette date clef de notre biographie familiale et de retrouver les sensations qui avaient accompagné l’arrivée de mon frère adoptif. J’ai laissé couler l’encre et les souvenirs, en même temps… (plus tard j’ai élagué…). J’ai pris pour point de départ la surprise des enfants de l’école quand ils apprennent qu’on va le chercher à l’aéroport car c’est vraiment à ce moment-là que moi, petite fille, et mon frère aîné peut-être aussi, nous avons réalisé qu’il y avait quelque chose de spécial et de différent dans cette histoire. Avec le recul, je suis assez fascinée par la façon dont mes parents ont amené tout cela avec naturel et simplicité car tel que je l’exprime dans l’album, pour nous tout semblait vraiment « couler de source » : un petit frère pouvait aussi arriver de cette façon-là. On avait sa photo, comme d’autres ont leur échographie, il allait « atterrir » là et c’était notre frère. Au-delà du récit, c’était cette dimension qui m’intéressait dans ce projet d’album jeunesse : faire partager cette capacité immense des enfants à accepter les choses telles qu’elles viennent, sans préjugés ou préoccupations démesurées. J’ai très peu lu de livres sur l’adoption ; après avoir écrit cette histoire, je me suis intéressée à ce qui existait sur le sujet mais finalement je n´ai pas eu ces livres entre les mains – j’avais constaté néanmoins qu’ils semblaient toujours partir du point de vue de l’enfant adopté ou des parents adoptants. Et en effet, un jour je suis tombée par hasard sur un album (espagnol il me semble) dans une bibliothèque près de chez moi et j´ai été assez surprise par le côté presque technique avec lequel l’auteure (elle-même parent adoptant) racontait cette histoire, en donnant toutes sortes de détails sur les procédures administratives par lesquelles elle avait dû passer. Cette réalité existe, bien entendu, mais c’est celle des parents. Pour moi, ça ne correspond pas du tout à ce que vivent les enfants (frères ou sœurs ou l’enfant adoptif) et ce n’est pas du tout ce qu’on a envie ni besoin de savoir à ce moment-là. Dans notre famille, nous en avons parlé beaucoup plus tard quand, ados ou adultes déjà, nous étions plus intéressés par cet aspect ou quand mon frère, dans le besoin naturel de connaître ses origines, commençait des démarches dans ce sens.
Une autre anecdote allant dans ce sens : il y a quelques jours j’ai découvert en librairie un album sur le thème et, curieuse de voir comment était traitée l’histoire mais aussi attirée par les illustrations, j’ai décidé de l’acheter. Je ne devrais peut-être pas l’avouer car c’est la première fois que je fais ça et j’en étais presque meurtrie mais le lendemain je suis allée voir le libraire pour lui demander si je pouvais échanger cet album contre un autre : j’avais été choquée par le ton du livre qui commençait de manière très sombre du type « Comme tellement d´autres enfants, X était un pauvre enfant orphelin, qui n’avait pas été désiré, très triste et se retrouvant dans un orphelinat où personne ne le prenait jamais dans ses bras… ». Waouh ! Comment lire cela à des enfants, en particulier à ceux dont c’est peut-être l’histoire ? Est-il besoin de mettre des mots si crus sur une réalité dont nous méconnaissons en outre presque tout dans la grande majorité des cas ? Même si cela se « terminait bien » dans ce livre, j’ai été incapable de le lire à ma fille de six ans. Je préfère vraiment pour ma part donner à lire une expérience positive (et tout aussi réelle) qui fait la part belle à l’humour, voire l’espièglerie des enfants, ne cherche pas à fouiller ni l’origine ni les motifs de la blessure originelle de l’enfant adoptif mais rend hommage à ce qu’il représente aux yeux de sa famille et de ceux qu’il connaîtra : un trésor de vie et un véritable cadeau. Au-delà de l’adoption en soi, c’est la question de la construction d’une famille qui est en jeu : « comment devient-on parents, enfant de ses parents, frères et sœurs ? Qu’est-ce qui nous lie ? Comment s’apprivoise-t-on et s’adopte-t-on mutuellement ? ». À l’heure actuelle, sur fond de tant d’intolérances face à ces questions, l’histoire devait résonner en moi de façon sensible. C’est peut-être aussi pour cela qu’elle m’est revenue comme ça, sans crier gare. En tout cas je n’aurais pas pu extorquer mes souvenirs ni raconter une autre histoire sur ce sujet : c’est celle que j’ai vécue enfant et celle qui m’a fait grandir.
Lola Roig, illustratrice:
J’ai connu Guénola à travers l’auteure Meritxell Martí, quand, dans un atelier auquel j’avais assisté, j’ai manifesté mon désir de collaborer à un projet avec un écrivain et d´avoir un bon texte à illustrer. Je voulais une histoire qui me touche le cœur. Peu de temps après, Guénola m’a contactée et m’a parlé de son histoire. Tout de suite j´ai accroché avec le point de vue frais et naturel qu’elle donnait sur le sujet de l’adoption et qui n’est pas facile à trouver dans d’autres textes.
J’ai été ravie d’avoir une histoire de première main, c’est-à-dire, une histoire vraie ; une histoire intime et émouvante. Cela m’a plu que ce soit la sœur qui attende avec émotion son nouveau frère, celle qui donne voix au récit, avec un langage riche et direct, et à la fois évocateur, en repêchant des souvenirs et des moments uniques qui sont restés gravés dans la mémoire de cette petite fille. Cela m’a permis de connecter avec mes propres souvenirs d’enfance, quand tout était excitant, magique et à la fois naturel.
Spontanéité, poésie, et humour ; l’excitation autour du grand jour, de l’attente, et l’impatience de l’arrivée. L’étonnement et la surprise, la joie et la réjouissance qui sont provoquées chez tous par le fait d’arriver en avion, m’a fait penser que cet élément se promènerait sur toutes les pages de l´album comme fil conducteur : « l’avion », comme symbole de ce qui est excitant et surprenant, quelque chose d’innocent, presque comme un jeu.
Guénola et moi avons eu quelques rencontres pour nous connaître et pour établir un fil conducteur au livre, mais aussi pour clarifier quelques doutes qui pouvaient surgir de l’interprétation, surtout parce que c’était la première fois que j’illustrais un texte en français et je ne voulais rien en perdre.
Comme nous vivons toutes les deux en Catalogne (bien que séparées par quelques centaines de kilomètres), nous sommes en train de préparer des présentations du livre dans différents lieux, pour faire connaître, à la communauté francophone d’ici, et à toutes les personnes qui désirent s’en approcher, cette histoire précieuse d’amour fraternel.
Claude Furlano, éditrice:
La genèse de La cigogne de fer qui déposa mon frère aux éditions Zoom est, comme d’habitude, d’abord l’histoire d’une rencontre fortuite.
Lola Roig et Guénola Moreau s’étaient proposé de nous montrer leur projet en gestation à l’occasion du salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil 2013. Pour nous, Montreuil sert à ça en premier lieu. On a accepté, naturellement. Claudine Furlano, la directrice de Zoom, a regardé. Puis elle est rentrée en disant qu’elle avait vu un très beau projet pour notre collection Gros Béguin.
Chez Zoom, cette collection tient une place particulière. Elle propose des cartes blanches à des auteurs et des illustrateurs, à condition de respecter deux contraintes : traiter d’un sujet sociétal non consensuel ou problématique ; respecter le format italien du livre, sans limites de pages a priori. Comme son nom l’indique, cette collection laisse transparaître nos coups de cœur et nos questionnements sans considération commerciale ni de marketing. Le seul critère : notre subjectivité esthétique et littéraire.
Chez Zoom, on est deux, il vaut donc mieux que les deux soient d’accord. Et ce fut le cas ici sans discussions ni persuasion.
La cigogne de fer qui déposa mon frère n’a suscité aucune hésitation. Un « beau » livre, comme on aime à en trouver parfois. Un graphisme rare, délicat, riche et précis au service d’une histoire touchante mais pas mièvre, drôle et légère dans la pesanteur du thème abordé. Nous n’avions encore jamais traité ce sujet de l’adoption, dans les pays lointains de surcroît, propice aux différends mais qui ne laisse personne insensible.
Il nous a été servi par Lola et Guénola comme sur un plateau. Nous sommes, de notre côté, ravis d’avoir pu contribuer à lui donner vie. La collaboration avec elles s’est faite sans problèmes et toute en douceur, comme le livre.
Dans la collection Gros Béguin, nous pensons qu’on peut parler de tout. Tout dépend de la façon dont on en parle. Et pour parler de ce sujet délicat, on peut dire que Lola et Guénola ont su trouver les mots et les images particulièrement justes. Rien à dire de plus. Il faut lire le livre et le regarder, et puis ensuite le relire et le regarder à nouveau… on ne s’en lasse pas.
La cigogne de fer qui déposa mon frère
Texte de Guénola Moreau, illustré par Lola Roig
Sorti chez Zoom Editions
2014
Chroniqué ici.

Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
bonjour et merci pour ce joli concours je tente volontiers
pour ma part la couleur rouge me fait penser à l ‘amour!!!!
bonne journée et bonnes fêtes!
Bonjour, je tente ma chance pour le concours. Le rouge me fait immédiatement penser au petit chaperon rouge bien sûr ! Bonne journée !
Le rouge ? Ma couleur préférée ! Avec des pois blancs ! 🙂
Une boule rouge me fait penser à une pomme !
La couleur rouge me fait immédiatement penser à ma fille. Cette couleur la fascine depuis qu’elle est bébé. C’est sa couleur préféré! Alors dans ma tête, dès que je lis rouge, je pense Lucy. Et pourtant, Dieu sait que cette petite est un amour et que rarement, je vois rouge par sa “faute”.
Merci pour ce concours!
Joyeuses fêtes de fin d’année à toute l’équipe!
Bonjour et merci pour ce concours. J’aime beaucoup l’interview de Patricia Côté et son idée d’humaniser “un personnage qui n’est pas une personne à la base”. La couleur rouge, mis à part que ce soit ma couleur préférée, je l’associerais à une jolie fleur ou encore à une peluche qui compte beaucoup pour moi.
Bonjour,
Moi le rouge me fait penser à Noël. Merci pour ce concours et pour la qualité de vos articles.
Bonnes fêtes de fin d’année.
Merci pour ce concours. Pour moi la couleur rouge me fait penser à un coeur 🙂 Bonnes fêtes de fin d’année à vous!
Le rouge c’est la passion, l’amour, le sang, le feu, le danger, l’interdit , la colère… C’est une couleur chaude aux mille nuances et surtout pour moi une couleur omniprésente dans la décoration de mon chez moi.
Merci pour ce concours 🙂
Bonjour,
Et merci pour ce concours, mais aussi et surtout pour le beau témoignage de Guénola Moreau qui a donné naissance à la cigogne de fer.
La couleur rouge m’évoque surtout la nature, le cardinal rouge, l’ibis rouge, la coccinelle, le cortinaire sanguin, le poinsettia, le coquelicot…
Bonne chance à tous, et bonnes fêtes !
Octa Vie.
Le rouge, c’est la Révolution !!!!…et le Petit Caperon Rouge, bien sûr !
Merci pour vos articles, conseils de lecture et concours !
Belle semaine à tous !
Bonjour,
C’est avec plaisir que je participe à ce dernier concours de l’année.
Le rouge me fait penser au sang !
Joyeuses fêtes de fin d’années.
Melle G
Bonjour la mare et merci pour ce concours 😉 la couleur rouge me fait immédiatement penser à la couleur du manteau du père Noël !!!! Faut dire que mon fils passe son temps actuellement à colorier des pères Noël, alors !!…..:)
Le rouge me fait penser aux clowns ! Par contre impossible de t’expliquer pourquoi… Le nez sans doute.
Merci et belle soirée La mare
Moi aussi je tente ma chance avec ce concours, je n’en fais jamais alors peut-être que la chance du débutant m’accompagnera!
J’ai lu avec beaucoup de plaisir et d’intérêt les interviews de ce mercredi et en ai apprécié la tendresse et la fraîcheur créative! Bravo!
Pour le rouge, il me fait penser d’abord aux “wackelpuding” qu’on rapportait d’Allemagne quand j’étais petite, un dessert de gélatine sucré qui n’a d’exceptionnel que son pouvoir évocateur à mon enfance! Il y a plein d’autres références qui me reviennent soudain mais ce serait trop long! Merci de me permettre de m’y replonger cela dit!!
bonjour
Je participe avec plaisir!
Le rouge c’est pour moi la couleur profonde du coquelicot!
Merci pour ce concours, je croise les doigts pour mon petit dévoreur de livres!
Bonne journée!
La boule rouge coucher de soleil que Jappy petit renard du Sahara parti rejoindre sans jamais la retrouver. Un livre d’enfance collection or et rouge justement qui m’a profondément marquée à l’époque. Le petit fennec s’étant perdu…
Le rouge me rappelle une anecdote : mon premier enfant a pendant un certain temps, lorsqu’il était petit, refusé de manger tout ce qui était rouge ! Bye-bye tomates juteuses, fraises savoureuses, cerises sucrées, poivrons marinés…
Le sapin de Noël décoré par mon fils est pleins de grosse et de petites boules rouges et le livre serait idéal sous le sapin donc on espère que le hasard fera bien les choses tout en souhaitant bonne chance à tout le monde et Joyeuses Fêtes.
Bonjour !
Je souhaite participer au tirage au sort. En cette période, le rouge me fait penser au Pére noel mais en temps normal, c’est tout simplement à mon pére que cette couleur me fait penser car c’est sa préférée, il l’aime partout et pour tout et j’en ai donc beaucoup porté pendant mon enfance. C’est donc une couleur qui me rappelle l’enfance et que j’aime. J’essaie d’ailleurs de lui faire prendre la place de l’indétronable rose que mes filles adorent, ce qui parfois me désespère !! Merci pour ce concours et bonnes fêtes !
Bonjour,
Je tente ma chance, ce petit livre irait parfaitement pour la bibliothèque de ma puce! Alors le rouge c’est la passion pour moi et c’est surtout MA couleur préférée 🙂
Merci à vous et je profite de ce commentaire pour vous souhaiter de bonnes fêtes de fin d’année A la rentrée, je serais toujours aussi ravie de vous lire ! Bon congé et merci de tout ce partage 😉
Bonjour,
Le rouge pour moi c’est la couleur des coeurs que dessinent les enfants! la couleurs de l’amour!… ( et cette année avec l’argenté et le blanc c’était les couleurs de Noël de mon école:)
Bravo à coralie Fontaine, Agathe, ocalinex, verriez, lilyla et Alounette