Aujourd’hui je suis heureux de recevoir Xavier Salomó, auteur et illustrateur dont j’aime beaucoup le travail. J’avais envie d’en savoir plus sur lui. À la suite de cette interview vous pourrez d’ailleurs tenter de gagner un de ses albums, le superbe OFF. Ensuite, c’est à Jessie Magana que j’ai proposé de venir nous livrer son coup de cœur et son coup de gueule. Bon mercredi à vous.
L’interview du mercredi : Xavier Salomó
Parlez-nous de votre parcours ?
Je voulais être peintre, mais à l’École Massana de Barcelone j’ai découvert l’Illustration comme profession et c’était une vraie révélation : je pouvais faire en même temps les deux choses que j’aime le plus, lire et dessiner.
Après avoir fini les études, j’ai travaillé comme graphiste dans quelques boîtes. Puis, dans la publicité, et enfin, j’ai plongé dans l’illustration. D’abord dans des livres scolaires, et de plus en plus dans des albums.
Les quatre dernières années ont été les meilleures, même si c’était les plus risquées, car je n’ai fait presque que des albums, la plupart, des projets personnels avec ma complice habituelle, Meritxell Martí.
Quelle(s) technique(s) utilisez-vous pour vos illustrations ?
Je ne travaille qu’avec l’ordi, et s’il s’agit de couleur directe, j’aime toujours l’aquarelle.
Pourtant, avant de faire les images définitives, je dessine dans des carnets, qui sont pleins de crayonnés et de story-boards.
Quelles étaient vos lectures d’enfant, d’adolescent ?
Surtout la BD classique (Astérix, Tintin), puis le manga (Akira, Dragon Ball, Satoshi Kon), et la littérature universelle : Edgar Allan Poe, Stevenson, Orwell, Huxley.
Pendant les années scolaires (et encore aujourd’hui), j’étais très, très fan de Roald Dahl.
Y a-t-il des illustrateur-trice-s actuel-le-s que vous aimez particulièrement ?Ben oui, il y en a plein ! Des classiques comme Quentin Blake, jusqu’à Anne Herbauts, Suzy Lee, David Wiesner, John Klassen. J’adore aussi l’architecture narrative des livres de Max Ducos,c’est magnifique.
Vous êtes catalan, vous publiez en Espagne et en France, remarquez-vous une différence entre la littérature jeunesse chez vous et la littérature jeunesse française ?
À mon avis, la différence la plus remarquable c’est qu’en France on peut proposer des livres plus risqués. OFF, par exemple.En même temps, nous sommes dans un marché globalisé, et les livres qui marchent bien peuvent être traduits. De plus en plus, les éditeurs travaillent en coéditions. Nous avons pas mal de livres qui sortent ailleurs en même temps.
Parlez-nous de votre collaboration avec Meritxell Marti.
C’est ma moitié. On travaille ensemble depuis dix ans. On a grandi l’un à côté de l’autre. C’est mon auteure. Nous avons eu les meilleures idées ensemble, en regardant un film ou pendant une promenade. Tout cuit très lentement. Au début, il y a une idée qui nous touche, puis il y a une conversation, un petit texte ou des petits dessins, et finalement un projet. Je me sens toujours à l’aise avec ses idées et ses remarques. Nous sommes dans la même vibration et l’on partage l’idée d’offrir de beaux livres aux autres.
Pouvez-vous nous dire quelques mots sur OFF, un album sans texte sorti l’année dernière ?
OFF est né d’une somme de faits. D’abord, la catastrophe de Tchernobyl. J’avais 10 ans et c’était la première fois que j’ai eu peur d’un danger invisible : la radioactivité.
Beaucoup de temps après, Fukushima m’a fait revivre cette peur silencieuse. J’ai donc commencé à travailler sans objectif avec les images d’un garçon et d’un cerf. Après, la question est venue : comment un enfant et un cerf pourraient vaincre une centrale nucléaire ?
J’ai travaillé et retravaillé le projet. J’ai montré les aquarelles à Meritxell qui m’a donné quelques conseils. Puis j’ai montré à mon agent, Justine de Lagausie, le projet un peu plus fini, et finalement, après quelques petites modifications, le Seuil l’a accepté.
Ce n’était pas un projet facile, je le savais : Un livre sans mots, qui parle des dangers du nucléaire, une palette un peu sombre… publié dans le deuxième pays le plus nucléarisé du monde ! C’était risqué, mais je pense que la poésie de l’histoire est si puissante qu’on va s’y reconnaître, même si l’on est pour l’énergie nucléaire. OFF est un livre ouvert, plein de détails qui propose des lectures différentes.
Parfois, ça m’arrive : je ne voulais pas finir le livre, je me sentais très à l’aise. Je suis d’ailleurs en train de travailler dans un univers pareil à celui d’OFF. On va voir ce qui va se passer…
Pressé de le découvrir ! D’autres projets ?
Avec Meritxell, on vient de publier chez Sarbacane un album très drôle qui s’appelle Cherche Nounou : j’aime beaucoup la construction de l’histoire de cet album, c’est une petite bombe !
On est aussi en train de faire un album pour le Seuil très très beau, qui sera publié en 2016, je crois.
En même temps, j’ai sur ma table le troisième tome des aventures de Pam et Paul (après L’île aux 160 erreurs et Au pays des 260 sosies) chez Sarbacane. Ce sont des livres très exigeants. Pourtant j’adore travailler dessus.
Puis, Bayard en France et Combel en Catalogne et Espagne vont publier deux autres minipops (Cendrillon et Boucle d’Or). J’adore ces pop-up’s. En plus, cette collection marche très bien.
Finalement, il y a une nouvelle collection très marrante, et un autre projet en solitaire…
Bibliographie (française) sélective :
- Cherche Nounou, illustration d’un texte de Meritxell Martí, Sarbacane (2015).
- OFF, texte et illustration, Seuil Jeunesse (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Les trois petits cochons, illustration d’un texte de Meritxell Martí, Bayard Jeunesse (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Le petit chaperon rouge, illustration d’un texte de Meritxell Martí, Bayard Jeunesse (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Range ta chambre !, texte et illustration, Seuil Jeunesse (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Rue des mystères, illustration d’un texte de Meritxell Martí, Milan (2013).
- Au pays des 260 sosies : Les aventures de Pam et Paul, illustration d’un texte de Meritxell Martí, Sarbacane (2013).
- Atchoum, texte et illustration, Seuil Jeunesse (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Les aventures de Pam et Paul : L’île aux 160 erreurs, illustration d’un texte de Meritxell Martí, Sarbacane (2011).
Le site de Xavier Salomó : http://xaviersalomo.blogspot.fr.
Concours :
Comme je vous le disais avant cette interview, grâce au Seuil Jeunesse je vais pouvoir offrir à deux d’entre vous le bel album OFF (que nous avions chroniqué ici). Pour participer au tirage au sort, dites-moi, en commentaire, qu’est-ce qui mériterait, d’après vous, un bouton OFF. Je tirerai au sort parmi vos réponses. Vous avez jusqu’à mardi 20 h, bonne chance à tous !
Le coup de cœur et le coup de gueule de… Jessie Magana
Régulièrement, un acteur de l’édition jeunesse (auteur, illustrateur, éditeur…) nous parle de deux choses qui lui tiennent à cœur. Une chose qui l’a touché, ému ou qui lui a tout simplement plu et sur laquelle il veut mettre un coup de projecteur, et au contraire quelque chose qui l’a énervé. Cette semaine, c’est Jessie Magana qui nous livre son coup de cœur et son coup de gueule.
Les ateliers d’écriture
Ça monte. Doucement. Ça commence en général quelques jours avant, quand vous vérifiez votre agenda pour les semaines à venir. Ça se déploie, lentement. Combien seront-ils ? Quels visages ? Attentifs, blasés, désinvoltes, affalés ? Quelles mains ? Crispées, stylo qui marque la feuille ? Agiles, crayon virevoltant sur l’articulation du pouce ?
Et puis ça prend forme : vous révisez les exercices lus dans les manuels, et puis vous vous dites que non, c’est trop formaté, comme d’habitude, vous irez à l’instinct. vous relisez des passages de vos livres, à la recherche de ceux qui pourront servir, en tremblant de trouver ça plat, mauvais, sans intérêt.
Enfin le jour arrive. Vous avez fait attention à votre mise : pas trop apprêtée, pas trop sexy, pas trop. Nous sommes des passeurs. Se mettre à hauteur, ni trop bas, ni trop haut. Juste à la bonne hauteur, à la même table.
Avant d’entrer dans la salle, vous vous souvenez de cet homme, qui avait essuyé une larme après la lecture de son texte. Ou de cet ado, qui avait fait son coming out devant une classe entière. Ou de cet autre, fermé, qui n’avait pas écrit une ligne en deux mois, mais avait lu une phrase, une seule, écrite par une autre, le dernier jour. Ou de cette fille, petit oiseau blessé, qui ne s’était mise à écrire qu’à la condition de ne pas avoir à lire devant les autres.
Ces visages vous ouvrent la porte du prochain atelier d’écriture. C’est pour ce frisson unique, celui que l’on ressent juste avant, quand on ne sait pas encore ce qui va surgir, que j’anime ces ateliers. Au risque de décevoir les participants, je m’inspire rarement d’eux pour brosser un personnage, encore moins de leurs textes pour écrire les miens. Mais ils me nourrissent et me portent, simplement dans le plaisir partagé de l’écriture, cet acte habituellement si solitaire.
Et puis l’écriture telle que je la pratique est indissociable de l’engagement. Engagés mes textes le sont, et trouvent un prolongement, modeste, à mon niveau, dans la Cité. Animer un atelier d’écriture, c’est échanger, confronter ses points de vue, mais aussi agir. L’écriture, la création en général sont faites pour changer le monde. Les attentats de janvier nous l’ont cruellement rappelé.
C’est parce qu’il porte autant d’enjeux que l’atelier d’écriture ne saurait être perçu comme une prestation comme une autre. La plupart du temps, les auteurs jeunesse sont choyés par des bibliothécaires, des libraires ou des documentalistes passionnés. Mais trop souvent, nous sommes invités par des acteurs du monde associatif ou socioculturel, qui ne voient pas la différence entre un écrivain et un animateur. Trop souvent, on ne prend même pas la peine de lire nos livres, de préparer en amont, d’accueillir, au sens plein du mot, un auteur. Trop souvent on demande d’avancer les frais de déplacement, on paie en retard (les lourdeurs administratives que voulez-vous), on négocie les tarifs à la baisse – heureusement que la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse veille…
Et parfois, tout simplement, on annule une semaine d’atelier prévue depuis six mois faute d’avoir constitué un groupe. Par négligence ou incompétence. Bien au chaud à l’abri de sa structure financée par des deniers publics, on ne se soucie pas de savoir si l’auteur comptait sur cette rémunération conséquente pour vivre. On ne se dit pas que les jeunes éloignés de la lecture et de l’écriture auxquels il était destiné auraient pu tirer quelque chose de ces ateliers. Non, on n’a pas réussi, c’est annulé, et c’est comme ça. Et on ne se fend même pas d’un mot d’excuse.
Je devais animer cette semaine cinq jours d’ateliers. J’en attendais de gros coups de cœur et de gros coups de gueule, une émotion, que j’aurais partagée avec vous. N’en reste que cette amertume et ce sentiment de gâchis.
Mais ça va passer. Le prochain atelier se profile déjà, et les frissons ne demandent qu’à renaître au fond du ventre. Est-ce parce que je suis éditrice – je me suis lancée tardivement dans l’écriture –, qu’animer un atelier d’écriture prend autant d’importance ? Ce sentiment unique d’aider quelqu’un à accoucher d’un texte, ce rôle de sage-femme, que j’évoque souvent quand on me demande d’expliquer mon premier métier ? Trouver la bonne distance, accompagner sans faire à la place de. Voir naître un texte sous les doigts d’un autre mais se dire qu’on y est, un tout petit peu, pour quelque chose. Alors y retourner. Oublier le manque de reconnaissance, pour n’entendre que le mot « naissance ».
Jessie Magana
Jessie Magana écrit et est la directrice de la collection Français d’ailleurs chez Autrement jeunesse (2006-2015).
Bibliographie :
-
- Riposte ! Comment répondre à la bêtise ordinaire, Actes Sud Junior, (2014).
- Comment parler de l’égalité filles-garçons aux enfants, Le Baron perché (2014).
- Les Mots indispensables pour parler du sexisme, Syros (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Non à l’indifférence (collectif), Actes Sud Junior, (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Gisèle Halimi : Non au viol, Actes Sud Junior (2013).
- Général de la Bollardière : Non à la torture !, Actes Sud Junior (2009).
Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
bonjour et merci pour ce chouette concours je tente volontiers
ce qui meriterait un bouton off sont les commères du quartier lol
bonne journée!
Bonjour,
J’aime beaucoup l’album “Range ta chambre”, je l’ai d’ailleurs en ce moment sur ma carte de lectrice afin de le présenter à un café autour de la parentalité.
J’appuierai bien sur le bouton OFF de mon conjoint chaque fois qu’une critique ou un jugement commence à être prononcé à mon égard ou à l’égard de mes enfants… Si seulement !!
Bonne journée et merci pour le concours
Melle G
les gens qui s’énervent sur la voie publique mériteraient bien un bouton OFF ,surtout lorsqu’on est accompagné de jeunes enfants .
merci,belle journée
Bonjour, merci de m’avoir fait découvrir cet auteur ! je note cet album dans ma liste à lire, mais je tente ma chance ici aussi, qui sait ? 😉
pour moi, le bouton off serait bien utile pour les commentaires de certains sites sur internet, de vrais déversoirs à haine…
Merci et bonne journée !
Bonjour La mare aux mots !
Le coup de coeur coup de gueule de Jessie Magana est vraiment superbe…et tellement vrai ! La semaine dernière à la bibliothèque on a reçu une jeune illustratrice de BD qui arrivait de Belgique et qui nous a dit, à peu de choses près, la même chose. En effet, les ateliers d’écriture, les rencontres avec les auteurs, illustrateurs, acteurs du monde culturel donnent souvent lieu à de belles choses, il faut savoir les préserver !
Pour le bouton OFF, on a le droit d’en mettre un sur un être humain ??? Genre sur ma collègue de bureau qui passe son temps à se plaindre et à critiquer tout le monde de 8h à 19h sans interruption ? Vraiment, c’est d’utilité publique, il y va de ma santé mentale, de celle de mes collègues, de celles de nos lecteurs et par effet de domino, de celle de nos enfants, conjoints, amis…bref de la terre entière (moi exagérer ? Naaaaaaaaan à peine 😉 ). Et puis je mettrais bien de temps en temps un bouton off sur certains politiques, certains industriels, sur le nucléaire, sur le réchauffement climatique, sur les réseaux sociaux…et sur le temps qui file à une allure incroyable.
Très beau texte de Jessie Magana ! Je ne peux que comprendre et approuver 🙂
Sinon, je mettrai un bouton OFF sur Gabriel, mon collègue insupportable au bureau. Non en vrai je mettrai un bouton OFF sur le temps ! Comme ça je dormirai 12h par nuit, j’aurais des vacances de 3 mois et je ne vieillirai pas trop.
Ah oui !! bonne idée !! je prends le même bouton !
Un bouton OFF sur le temps, pour profiter des bons moments, et ensuite accélérer les mauvais!
Merci pour ce concours
Bonjour!
Merci pour ce concours
Évidement j’aimerais un bouton off pour les disputes entres mes garçons!
Bonne journee à tous et toutes!
Merci pour cette belle interview et ce joli concours. J’aimerais bien mettre OFF sur mon travail pour être plus souvent avec ma fille !
Bonjour,
Je mettrais bien un bouton off sur le sentiment de perfection dont certaines personnes se pensent dotées… bizarre mais c’est ce qui m’est venu à l’esprit !
Merci pour ce concours et pour cette chronique du mercredi 🙂
Je vais attendre mardi prochain 20h sinon j’irai chez mon libraire préféré commander “OFF” que j’ai hâte de lire !
Bonne journée.
Bonjour. .j’aimerai bien mettre off sur beaucoup de choses..je choisirai la violence, la souffrance et l’injustice. …belle journée Virginie
Bonjour !
Je participe ! Pour l’heure, le bouton OFF pour mon ex-mari qui me harcèle. Après, je suis capable de prendre à bras le corps n’importe quel défi !
Véro
J’aimerais appuyer facilement sur le bouton OFF qui est là, devant mes yeux. Ne pas y ré appuyer pendant au moins 24h/semaine. Mais je n’y arrive pas. J’aimerais vraiment me déconnecter de temps en temps et retrouver du temps.
Du temps pour les enfants, du temps pour mon chéri (si il trouve le bouton OFF de la télé 😉 ), du temps pour lire, me promener, profiter du soleil…
Aller, maintenant que je l’ai écrit, je le fais !
A bientôt, pas avant demain…
le bouton off? à toute les personnes que tu ne connais pas, et qui se permettent de te donner des conseils d’éducation…
Bonsoir, chouette concours et question qui me ramène aux fondamentaux ! Mais que de réponses à proposer ! dont quelques-une déjà retenues, alors je vais parler de ces élèves qui ne jurent que par internet, qui refusent toute ouverture culturelle et se cantonnent dans leur univers tout étriqué et tellement pauvre intellectuellement … C’est mon quotidien et une bataille perpétuelle ! Donc oui, un bouton OFF pour mettre tout cela en silencieux et avancer ! Enfin …
bonsoir
Merci pour ce concours!
L’album Off a l’air superbe.
J’aimerais mettre un bouton OFF sur tous les salauds.
Les assassins, les tortionnaires, les tyrans, les braconniers, les pollueurs, tous ceux qu’il faudrait absolument immobiliser…
Un tel livre se doit d’être chez moi … par n’importe quel moyen 🙂
Alors le bouton OFF pour le nombrilisme je dirais, je trouve que les gens ne regarde pas assez autour d’eux, quand je vais à l’école j’adore les enfants, ils sont ouverts à tout, une chaussure réticente et il demande au 1er adulte présent sur son passage simplement et c’est ça la vie pour moi …
Merci à vous et bonne journée,
Bonjour,
Merci pour ce chouette concours auquel je participe avec plaisir!
J’aimerais mettre un bouton OFF sur les bagarres entre frères et sœurs !!!
Bonne journée.
Bonjour,
merci pour ce nouveaux concours.
Un bouton off sur mon chat, pour ne profiter que de ses câlins mais pas de ses réclamations incessantes pour manger.
Bonne soirée
merci pour toutes les belles découvertes dont vous parlez….
moi je mettrais un OFF sur le trop plein d’infos que l’on a à la télé… TROP c’st TROP
Bonjour!
Merci pour ces toujours chouettes découvertes!
Le bouton OFF ça serait bien le matin, pour que j’émerge tranquillement sans être assaillie par mes adorables filles qui ont des tas de choses à raconter à 7h du mat….
Bonjour
Pour ma part j’utiliserais volontiers le bouton off à la sortie des classes quand des mamans tellement bien donnent des conseils sur tout et sur rien, et qui savent tout!
Merci, bonne journée
Virginie
Bonjour,
Merci pour ces conseils de lectures toujours judicieux!
Un bouton OFF pour arrêter le temps, parfois…
Bonne journée,
Isabelle
Bonjour,
J’ai récemment mis un bouton OFF à mon désir actuellement insatiable d’offrir à mes enfants une avalanche de livres, parmi tous ceux proposés par La Mare aux Mots…. et j’ ai décidé d’attendre de trouver l’album OFF en bibliothèque… ou de le gagner, qui sait?!
Bonne journée et merci pour ces envies d’avalanche!
Cécile.
Euh…j’ose le dire ? ….allez …un bouton off sur les enfants de temps en temps non? Parce que quand il déborde d’energie du matin jusqu’au soir…moi suis sur les rotules…alors un petit bouton off … Me souviens que l’anesthésiste qui venait de me faire la péridurale en salle de naissance pour mon premier…avait mis sur off l’appareil qui retransmettait le son des battements du cœur de mon fils et m’avait dit “vous voyez là ,c’est la dernière fois que vous pourrez mettre sur off votre fils…” en gros profitez en …j’avais souri sans me rendre compte de ce que cela signifiait vraiment ! Elle avait raison quand même!!!! Hihihi
Merci la mare!
Bravo à Melle G et à fourez