Aujourd’hui, je vous emmène au cœur des apocalypses, au pluriel : celle climatique et sociale des Enfants du chaos, d’Ellie Gapr, et celle, indéfinissable, de Moi aussi je sais voler, d’Amy Reed. Pour une fois, nous sommes plongé⋅es au milieu de la fin du monde, pas à sa fin, et nous la traversons aux côtés de personnages qui essayent de construire des interstices pour vivre, peut-être – ou essayer.