Aujourd’hui, je vous emmène au cœur des apocalypses, au pluriel : celle climatique et sociale des Enfants du chaos, d’Ellie Gapr, et celle, indéfinissable, de Moi aussi je sais voler, d’Amy Reed. Pour une fois, nous sommes plongé⋅es au milieu de la fin du monde, pas à sa fin, et nous la traversons aux côtés de personnages qui essayent de construire des interstices pour vivre, peut-être — ou essayer.
Pour lire la suite, vous devez être abonné·e (nos abonnements commencent à 1 € par an !).
Pour découvrir des articles gratuits avant de vous abonner, cliquez ici (nos interviews, elles, sont toutes en accès libre).
Déjà abonné·e ? Connectez-vous ici.
Les enfants du chaos![]() d’Ellie Gapr Gulf Stream, dans la collection Électrogène 17 €, 142×221 mm, 288 pages, imprimé en Pologne, 2021. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Moi aussi je sais voler![]() d’Amy Reed (traduit de l’anglais par Valérie Le Plouhinec) Albin Michel Jeunesse 19,90 €, 150×230 mm, 523 pages, imprimé en France, 2021. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |

Jeune homme aimant les puces qui grattent, l’herbe qui pique et les livres qui brûlent.
Adorant Stéphane Servant et ces mots, qui sont de lui :
« Les livres sont des terriers / Les livres sont des phares.
Il y brûle de petits feux / Qui me tiennent le cœur au chaud / Quand il pleut sous mon toit. »