Les semaines de confinement ont mis en lumière le meilleur comme le pire. Dans certains immeubles, des habitant·es qui ne se connaissaient pas, on fait preuve d’une grande solidarité. Dans certaines maisons, la violence familiale déjà existante a pris une intensité sans nom. Finalement, il y a un peu de tout cela dans les albums présentés, aujourd’hui.