24 ! J’ai lu 24 BD pour cette chronique, alors forcément ça faisait beaucoup… J’ai décidé de couper en deux et donc vous aurez une partie aujourd’hui, et la seconde partie demain. Aujourd’hui, on va s’intéresser aux plus jeunes (même si j’ai eu beaucoup de mal à voir où couper !). Et parce que 24 ce n’est pas assez, c’est une chronique croisée avec Maman Baobab ! Sur son blog, vous trouverez également aujourd’hui et demain une sélection de BD, dont certaines, en commun. Si vous aimez la BD, vous avez de quoi faire, si vous n’aimez pas… je suis sûr que certaines vont vous donner envie !
On commence par des séries.
Lili Pirouli est une petite fille de sept ans. Quand elle ne menace pas de faire grève sur le chemin de l’école tellement son sac est lourd, elle organise des manifs pour moins de devoirs ! C’est aussi une petite fille qui attend les menaces de sa mère avant de se brosser les dents, qui tente des techniques improbables pour avoir des cadeaux, qui sait très bien comment se faire élire déléguée de classe, qui vit des histoires d’amour compliquées, qui s’interroge sur l’époque où ses parents étaient petits (qui lui semble tellement reculée) et qui a du mal à lâcher sa console… bref, Lili Pirouli est une petite fille de sept ans…
Un tout nouveau personnage… qu’on adore déjà ! Un héros bien piquant comme on aime, le genre de petite fille qui ne mâche pas ses mots et ne se laisse pas faire. On la retrouve donc ici dans huit petites histoires dans lesquelles on reconnaît bien là nos charmants enfants et ils vont, forcément, se reconnaître aussi. Une super BD pour les jeunes lecteurs (et même avant) dont on attend la suite avec impatience.
(À partir de 5 ans d’après l’éditeur)
Des extraits sur le site de Des ronds dans l’O et le même vu par Maman Baobab, Enfantipages, et Butiner de livres en livres.
Petite Huit vient de perdre sa maman, il ne lui reste plus que sa grand-mère et autour d’elle tout le monde dit qu’elle porte malheur, qu’il ne faut pas l’approcher. Pourtant Ming, son voisin, lui, va aider la petite fille qui doit porter de lourds seaux d’eau, se moquant de ce que racontent les gens. Une amitié naît. Mais le soir, Petite Huit regarde le ciel et pense à sa maman, est-elle devenue une étoile ? Elle aimerait tant la retrouver…
Difficile de résumer Entre ciel et Terre (le résumé de la quatrième de couv’ donne d’ailleurs, dès la première phrase, ce qu’il se passe à un tiers du livre !). Ici, il sera donc question de petite orpheline, d’amitié, mais aussi de créatures fabuleuses, d’êtres étranges. Entre ciel et terre est une grosse BD chinoise de plus de 200 pages. Entièrement en noir et blanc, imprimée sur un beau papier, c’est un magnifique ouvrage. Mon manque de connaissance sur la BD asiatique me fait dire que ça fait penser à Miyazaki avec ses situations surréalistes, ses êtres fantastiques, sa poésie. Comme dans les dessins animés du célèbre réalisateur japonais, j’avoue m’être un peu perdu… Beaucoup de personnages et des situations trop étranges pour moi (mais je ne suis pas un bon exemple, je ne comprends rien à Star Wars non plus pour les mêmes raisons). Ici aussi, c’est un premier volume et c’est un superbe ouvrage pour les amateurs de BD asiatique.
(À partir de 12 ans d’après l’éditeur)
Des extraits sur le site de Cambourakis.
La petite chatte Chi est heureuse chez les Yamada qui l’ont recueillie, tellement heureuse qu’elle a réussi à convaincre un jeune chat sauvage de venir vivre avec eux. Seulement lui préfère la liberté. Lors de ses sorties Chi joue de plus en plus avec des petits chats de son âge qui lui ressemblent beaucoup, et pendant ce temps, pour la première fois, Monsieur Yamada voit une affiche sur laquelle il découvre que Chi est recherchée…
Ici, ce n’est plus un premier tome, loin de là ! Dans ce dixième tome de Chi, une vie de chat on sent que Chi est de plus en plus proche de retrouver sa mère. Ses souvenirs sont de plus en plus présents, elle joue avec ses frères et ses sœurs, les Yamada savent maintenant qu’elle est recherchée. Elle se rend aussi compte dans ce nouveau tome qu’elle est un chat, pas un humain, qu’elle vient d’une autre famille que celle des Yamada. Un manga qu’on adore et dont on vous a souvent parlé et que l’on est chaque fois ravi de retrouver. Une série qui cartonne autant avec les parents qu’avec les enfants (même auprès de ceux qui ne savent pas encore lire).
Le même vu par Les lectures de Liyah.
Le printemps est arrivé à la résidence Kanda, là où vivent le panda Panettone (appelé Pan’Pan) et Praline, la petite fille. Il y a aussi Rose, qui est amoureuse de Pan’Pan, Paprika (appelée Rika) et son mauvais caractère et plein d’autres personnages. Cette petite bande va fêter la St Valentin et le White Day, pique-niquer sous les cerisiers en fleurs, jardiner et Pan’Pan va peut-être même estiver !
On reste donc en Asie avec ce manga dont on vous avait déjà parlé (ici). Pan’Pan Panda, comme le dit le sous-titre, c’est Une vie en douceur. Un manga très doux, dont le héros est un Panda qui semble toujours heureux. De très belles illustrations, tout en couleur, qui plaisent beaucoup aux jeunes lecteurs. C’est le deuxième tome de cette nouvelle série et l’on attend la suite avec impatience.
Le même vu par Maman Baobab, Bricabook et des extraits sur le site de Nobi Nobi !.
Depuis qu’elle a sauvé Scriptorius, Zita est devenue une légende vivante. Partout où elle passe, les gens se pressent pour prendre des photos, lui demander un autographe. Zita, elle, aimerait juste rentrer sur sa planète. Alors que des Lomponiens viennent lui demander de venir sauver leur planète menacée par des cœurs stellaires, un Imita-tor (prototype à holographie) prend son apparence et sa place. Ses compagnons n’y voient que du feu et la vraie Zita qui doit voler un vaisseau pour les rejoindre et les avertir devient l’ennemie publique n° 1.
Voici donc le deuxième tome de Zita, la fille de l’espace. J’avais adoré le premier j’ai été tout aussi séduit par la suite. Une grande aventure fantastique accessible aux plus jeunes (mais les grands ne s’ennuient pas non plus) avec pour héroïne une jeune terrienne qui, en attendant de pouvoir rentrer sur Terre, doit se battre avec des extraterrestres menaçants. C’est plein d’humour, de pep’s. On ne s’ennuie pas une minute à la lecture des 220 pages. Le tome 3 sort à l’automne, on l’attend avec impatience !
Le même vu par Mes premières lectures.
Nom : Tétine man. Âge : 4 ans. Particularité : personne ne l’a jamais vu sans sa tétine. ATTENTION il est recommandé de ne pas tenter de la lui enlever… sinon tant pis pour vous. Sa grand-mère pensait qu’en lui mettant des bougies devant la bouche il serait obligé de s’en séparer, un parent d’élève ne supportait pas de le voir avec ce truc dans la bouche lors de la représentation de la chorale… mais comme les autres ils ont dû abandonner…
Les six premiers tomes de Tétine Man regroupés dans une très belle BD, voilà une très bonne idée ! Tétine man c’est une BD parfaite pour les jeunes lecteurs (et même avant), pleine d’humour. Comme s’ils parlaient d’un super héros avec des pouvoirs, Christophe Nicolas et Guillaume Long nous montrent les aventures de ce petit garçon qui refuse de lâcher sa tétine, et surtout de la peur qu’il déclenche chez les autres. Un héros comme on les aime, un ton qui va plaire autant aux enfants, qu’aux parents, une super BD !
Pour les 3-6 ans d’après l’éditeur.
À l’ombre du grand arbre avait discuté de Tétine man avec Christophe Nicolas (et vous pouvez y retrouver plusieurs extraits).
C’est l’anniversaire de Zita, alias Boule à zéro. Pourquoi ce nom ? Parce qu’à cause des traitements elle n’a plus un seul cheveu sur le crâne. La petite Marocaine décide d’inviter tous ses amis de l’hôpital La Gaufre (c’est comme ça qu’elle appelle l’hôpital Le Goff). Il y aura donc 90 % coton (la dame qui ne parle que de la matière de son jogging), Wilfrite (qui est chez les grands brûlés), Puzzle (qui a les os en morceaux) et plein d’autres patients, mais aussi le personnel soignant et surtout le beau Pierrot. Ça va être une belle fête, et elle sera encore plus belle si la mère de Boule à zéro vient, pour une fois.
Rire avec la maladie, ce n’est vraiment pas une chose facile… Ernst et Zidrou y arrivent avec beaucoup de justesse. Alors que Boule à Zéro tombe souvent et qu’il faut la réanimer, on passe plus de temps à sourire des surnoms que donne la petite fille aux autres patients ou de ses facéties qu’à avoir la larme à l’œil. On y parle donc maladie, séjour à l’hôpital, handicap, mais aussi des divers problèmes sociaux que connaissent les familles d’enfants hospitalisés (difficulté d’adapter ses horaires de travail, changement de vie…). Une BD très drôle et très touchante pour voir autrement la vie des enfants qui vivent à l’hôpital.
Le même vu par bdzoom (avec des extraits).
Yakari est un jeune indien qui a pour particularité de parler aux animaux. Il est toujours accompagné dans ses aventures de Petit Tonnerre, son cheval qu’il a été le seul à pouvoir approcher. Son animal totem, Grand Aigle, veille sur lui et l’aide régulièrement. Alors qu’il se promène sur Petit Tonerre, il voit un étrange objet poussé par le vent. Il le rapporte à Celui-qui-sait qui lui explique que cet objet sert à éloigner les cauchemars. Yakari va donc s’en servir. Après une nuit agitée, il voit apparaître Nanabozo le lapin magicien qui le propose de l’amener sur l’île de son rêve. Une nouvelle aventure pour Yakari !
Qui ne connaît pas Yakari ? Le petit indien a fêté ses quarante ans cette année ! Je le lisais moi-même quand j’étais petit et j’ai relu il y a peu la quasi-totalité de la série… ça n’a pas pris une ride ! J’ai pris énormément de plaisir à lire les aventures de cet enfant proche de la nature et des animaux. Ma fille de six ans les a découverts et a également adoré. Dans cette nouvelle aventure, Yakari va aller plus loin qu’il n’est jamais allé : sur une île proche de la côte pacifique du Canada. Une grande aventure pour retrouver un héros qu’on aime beaucoup (et qui vous donnera envie de vous replonger, j’en suis sûr, dans la série !).
Des extraits sur le site de l’éditeur.
Le même vu par Maman Baobab
On quitte les séries pour les trois dernières BD.
Dans la vie d’Armand, il y a des raviolis. C’est lui qui tamponne les boîtes à l’usine et quand il rentre chez lui ce sont des raviolis qu’il mange. Seulement un soir, alors qu’il ouvre une boîte, un génie en sort ! Armand a le droit à deux vœux (non, pas trois !)… il faut bien réfléchir !
Édité pour la première fois en 2002, Le génie de la boîte de ravioli ressort après son adaptation en court métrage plusieurs fois primé (vous pouvez le voir ici). Superbe BD, ode aux plaisirs simples que la vie nous offre, pleine d’humour, Le génie de la boîte de ravioli de Germano Zullo et Albertine est parfaitement adaptée pour les jeunes lecteurs (et même avant). Une très jolie BD sortie chez La joie de Lire.
(À partir de 6 ans d’après l’éditeur)
Le même vu par Maman Baobab et des extraits sur le site de l’illustratrice.
Moussa est un petit garçon arabe, il vit dans un camp de réfugiés. David est un petit garçon juif, il vit dans une belle maison et a sa propre chambre. Moussa et David vivent en Palestine. À Moussa on dit de se méfier des juifs, à David des Arabes. Il n’y avait aucune chance que ces deux petits garçons se rencontrent… s’ils n’avaient pas eu la même passion : le football.
Moussa et David, deux enfants d’un même pays est une BD extrêmement graphique, où chaque dessin est fort en symboliques, de par la taille des personnages, des décors de leurs vêtements, des éléments de l’arrière-plan… Par exemple quand on dit que David ne peut pas connaître les autres enfants palestiniens, ceux-ci n’ont pas de visage ou quand on évoque le football pour réunir ces deux communautés le ballon a la forme d’une colombe. Ce sont des exemples parmi tant d’autres, car CHAQUE dessin est rempli de ce genre de clin d’œil. C’est donc graphiquement TRÈS riche… sauf que moi ça ne m’a pas parlé du tout… J’imagine bien le travail énorme pour un tel album, mais personnellement ce genre d’illustration ne m’a pas séduit. Alors c’est complètement subjectif et je vous invite à vous faire votre propre opinion. Ici, on parle donc de la Palestine, de l’endoctrinement dès l’enfance, on doit détester l’autre, forcément. Le football est-il la meilleure façon de réunir tout le monde ? La tâche sera ardue ! Il faudra savoir où jouer, qui arbitrera… et si l’autre cachait des bombes dans ses crampons ? Une BD sur un espoir de rapprochement entre deux peuples en guerre.
Le même vu par Chroniques Rebelles (avec des extraits).
En France, pendant la Seconde Guerre mondiale, le petit Maurice vit avec ses parents. Étant juif, il doit porter en permanence une étoile jaune sur ses vêtements et supporter les regards que cela déclenche. Il vit dans la peur, la terreur. En juillet 1942, la police française vient chercher Maurice et sa famille à 5 heures du matin. Ils doivent rassembler quelques affaires en cinq minutes puis ils sont amenés avec d’autres juifs. On propose aux parents de laisser les enfants de moins de 16 ans partir. Contrairement à beaucoup d’autres, la mère de Maurice accepte. Maurice ne verra plus jamais ses parents. Avec sa sœur, ils doivent maintenant se débrouiller seuls pour survivre.
Le petit Maurice dans la tourmente, 1940-1944 Quatre ans parmi les sous-hommes raconte donc quatre ans de la vie d’un jeune juif pendant la guerre 39-45. Les ennemis ne sont pas que les Allemands, mais aussi (surtout) les Français et la police française. Ce sont les concitoyens du petit Maurice qui dénoncent les juifs qui ne sont pas dans le bon wagon, les gardiennes d’immeubles qui pillent les appartements dont les occupants ont été déportés… Une BD historique forte (mais ici pas d’images trop violentes, on s’adresse à des enfants) pour rappeler que pendant la guerre il n’y a pas les bons d’un côté et les méchants de l’autre, qu’il faut se rappeler qu’autour de nous sommeillent de potentiels salauds.
Une bande annonce montrant des extraits de l’album.
Quelques pas de plus…
Retrouvez les autres BD que nous avons chroniquées sur un album Pinterest.
Nous avons déjà chroniqué des ouvrages de Nancy Guilbert (Sous la pluie… et Aliénor et le trésor dérobé), Armelle Modéré (L’anniversaire de Zozo, Plouf ! et Coucou !), Konami Kanata (Chi c’est mon prénom et les Chi 1,2,3,4, 5, 6, 7, 8 et 9), Sato Horokura (Pan’pan panda, tome 1), Ben Hatke (Zita, la fille de l’espace T.1), Christophe Nicolas (Henri ne veut pas aller au centre de loisirs et La fabuleuse méthode de lecture du professeur Tagada), Guillaume Long (La fabuleuse méthode de lecture du professeur Tagada, Plâtatras ! et Contes d’ailleurs et d’autre part), Germano Zullo et Albertine (Dada et A la montagne).
Lili Pirouli, Tous avec moi ! Texte de Nancy Guilbert, illustré par Armelle Modéré Des ronds dans l’O dans la collection Lili Pirouli 11,90 €, 170×240 mm, 34 pages, imprimé en Belgique, 2014. |
Entre ciel et Terre de Golo Zhao (traduit par Hervé Denès et Jia Chunjuan) Cambourakis dans la collection Bande dessinée 15,50 €, 160×220 mm, 192 pages, imprimé en Lettonie, 2014. |
Chi, une vie de chat, tome 10 de Konami Kanata (traduit par Kayo Chassaigne et Élodie Lepelletier) Glénat Kids dans la série Chi 10,75€, 130×180 mm, 145 pages, imprimé en France chez un imprimeur éco-responsable, 2013. |
Pan’pan panda, tome 2 de Sato Horokura (traduit par Arnaud Delage) Nobi Nobi !, dans la collection Manga 9,45€, 131×179 mm, 110 pages, imprimé en France, 2014. |
Zita, la fille de l’espace T.2 de Ben Hatke (traduit par Basile Béguerie) Rue de Sèvres dans la série Zita, la fille de l’espace 11,50€, 150×215 mm, 223 pages, imprimé en France, 2014. |
Tétine Man Texte de Christophe Nicolas, illustré par Guillaume Long Didier Jeunesse dans la collection Tétine Man 10,90 €, 160×217 mm, 96 pages, imprimé en France chez un imprimeur éco-responsable, 2014. |
Boule à Zéro Scénario de Zidrou, illustré par Ernst L’école des loisirs dans la collection Mille bulles 6 €, 170×235 mm, 46 pages, imprimé en France, 2014 (première éditions Bamboo 2012) |
Yakari et la tueuse des mers Scénario de Job, illustré par Derib Le Lombard dans la collection Yakari 10,60 €, 222×295 mm, 48 pages, imprimé en Belgique chez un imprimeur éco-responsable, 2014. |
Le génie de la boite de raviolis Texte de Germano Zullo, illustré par Albertine La joie de lire dans la collection Somnambule 10 €, 192×250 mm, 36 pages, imprimé en Chine, 2014 (première édition 2002). |
Moussa et David, deux enfants d’un même pays Texte de Maurice Rajsfus, illustré par Jacques Demiguel Tartamudo dans la collection Tebeos 10,20 €, 210×300 mm, 51 pages, imprimé en France, 2007. |
Le petit Maurice dans la tourmente Texte de Maurice Rajsfus, illustré par Mario et Michel D’Agostini Tartamudo dans la collection Tebeos 14,20 €, 185×262 mm, 51 pages, imprimé en France, 2010. |
À part ça ?
Déjà, vous signaler, l’occasion est parfaite, que vendredi et samedi prochains (16 et 17 mai) ce sont les 48hDB. Au total, 100 000 BD (Casterman, Dargaud, Dupuis, Fluide Glacial, Grand Angle, Jungle, Le Lombard et Urban Comics) seront offertes sans contrepartie et sans obligation d’achat dans les librairies partenaires de l’évènement. Il y aura aussi divers évènements, dont des dédicaces. Liste des librairies partenaires et des animations sur le site (sur lequel il y aura aussi des BD en format numérique offertes) : http://www.48hbd.com.
Ensuite, puisqu’on parle de BD… on en profite pour vous reparler de Biscoto dont le numéro 16 sort cette semaine. Le journal plus fort que costaud vous propose un spécial cinéma appelé Silence… action !. Au programme, des BD sur le cinéma, l’explication de l’expression « arrête ton cinéma » par Vincent Malone et de « Silence » et « Action » par Louise Arhex, des infos sur le 7e art, des conseils culturels, des histoires drôles, des jeux… et bien sûr la suite du feuilleton Les yeux de la tête et de la BD Fanfan & Titi. Biscoto c’est un mensuel BD sous forme de journal à destination des enfants qui a un ton décalé et qui est vraiment intéressant graphiquement parlant. On aime vraiment beaucoup Biscoto et l’on vous invite à le découvrir sur son site (où l’on peut même s’abonner) : http://biscotojournal.com.
Biscoto c’est 3,50€ le numéro et l’abonnement (pour la France) est à 35 € (11 numéros).
Gabriel
Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
Zita est un vrai coup de cœur chez nous , toutes générations confondues !
Chez nous, mon fils de 4 ans aime bien la BD Jake et la boite de Art Spiegelman et nous on aime bien aussi 🙂
ouh, plein de bd qui me font envie tiens, je rajoute encore et toujours sur ma liste! Sinon on attend impatiemment la suite de Chi ici aussi 🙂 (oh, et tu as le droit de ne pas accrocher à Star Wars, je ne t’en tiendrai pas rigueur ;))