Aujourd’hui est un sacré mercredi ! Nous vous proposons l’interview d’un grand duo de la littérature jeunesse : Albertine et Germano Zullo ! Suite à cette interview, vous pourrez tenter de gagner leur dernier album, Les robes. Ensuite c’est avec une enseignante de Colombie-Britannique avec qui on a rendez-vous pour le Dans la classe de ! Bon mercredi à vous.
L’interview du mercredi : Albertine et Germano Zullo
Quels sont vos parcours respectifs ?
Albertine : L’École des Arts décoratifs, puis l’École supérieure d’arts visuels à Genève. J’ai ensuite très rapidement dessiné pour la presse et créé mon atelier de sérigraphie. Après avoir enseigné pendant dix-sept ans à l’École supérieure d’arts et de design de Genève, je me consacre désormais entièrement à la création. Je partage ainsi mon temps entre la conception de livres, d’expositions et la réalisation de certaines commandes.
Germano : L’École de commerce de Genève, puis les bancs de la Faculté des sciences politiques en touriste. J’ai travaillé dix ans en tant qu’aide-comptable à mi-temps dans une grande chaîne hôtelière et depuis, j’écris à plein temps.
Que lisiez-vous enfants, adolescents ?
Albertine : Je lisais Buster Brown, Le merveilleux chef-d’œuvre de Séraphin de Philippe Fix, Les Contes illustrés par Edmond Dulac, L’Invasion de la Sicile par les ours de Buzzati, les nouvelles de Maupassant…
Germano : Les fumetti italien, Tintin, Blake et Mortimer, Paul Bocuse, Jules Verne, le journal de Spirou, Bradbury, Buzzati, Fante, Kafka…
Vous signez des albums en commun et ça se sent dans l’harmonie entre les illustrations et le texte. Comment se passe votre collaboration ? Le texte vient avant ? Vous partez plutôt d’une idée d’illustration ?
C’est un véritable dialogue où la place centrale est toujours donnée à l’idée. Nous discutons beaucoup avant de nous mettre au travail. Il n’y a pas de véritables règles. L’essentiel est que l’imaginaire de l’un ne vienne pas empiéter sur l’imaginaire de l’autre. Germano commence généralement par écrire un scénario très détaillé sur lequel Albertine se basera pour créer ses illustrations. Il peut aussi nous arriver de travailler en parallèle sur un projet donné, mais la trame a toujours été prédéfinie en amont. Pour Les Robes, les images d’Albertine devaient à l’origine simplement constituer une matière d’exposition. Notre éditrice, Francine Bouchet, a souhaité les voir éditées. Germano s’est alors penché sur l’illustration littéraire des images. On y retrouve une thématique qui nous occupe beaucoup ces derniers : la transmission.
Votre univers, souvent un mélange d’humour et de poésie, aussi bien dans les textes que les illustrations est très original et reconnaissable. On a parfois l’impression que vos personnages pourraient voyager d’un album à l’autre, tant ils ont une allure particulière (Le cheval de Dada pourrait facilement être la monture d’une des femmes que l’on trouve dans Les Robes par exemple). Où puisez-vous votre inspiration ?
C’est bien la vie dans son entier qui est source d’inspiration. La vie et l’expérience intime que l’on a d’elle. Les premiers outils d’Albertine sont l’observation et une pratique quasiment stakhanoviste du dessin. Il y a beaucoup d’urgences en elle. Germano est plus réfléchi, contemplatif, son imaginaire tente toujours de relier passé, présent et futur. Marta est née d’une soudaine pulsion d’Albertine pour le dessin animalier, qui jusqu’alors la rebutait profondément. Le Génie de la boîte de raviolis et Les Gratte-ciel sont le fruit des réflexions politiques de Germano. Les Oiseaux réunissent probablement les déclinaisons poétiques de l’un et de l’autre et qui jusqu’alors étaient explorées de manières indépendantes. La Ligne 135 se nourrit d’un voyage au Japon, mais également de l’intérêt particulier d’Albertine pour les grandes villes et de Germano pour les contrées sauvages…
Dada, À la montagne, En ville, À la mer, et dernièrement Les robes, vos albums sont souvent très grands et laisse une large place aux illustrations. Pourquoi appréciez-vous ce format ?
À moins que cela ne soit une commande, nous choisissons nos formats le plus souvent en fonction du propos. En cela, le format est aussi important que le choix du papier ou que la technique d’illustration. Nous devons également remercier ici notre éditrice, Francine Bouchet, pour la grande liberté d’action qu’elle nous octroie, ainsi que notre graphiste, Pascale Rosier, pour son immense talent.
Que pensez-vous de la littérature jeunesse actuelle ?
C’est un espace de création formidable et qui se réinvente chaque jour. Il y a toujours une nouvelle perle à découvrir. Ce que nous regrettons, c’est son cloisonnement médiatique et l’attitude de certains à ne la considérer que d’un point de vue purement commercial. Il y a certes, comme partout dans l’édition, une tendance aux concepts artificiels dans certaines collections et au niveau des albums un déséquilibre parfois à l’avantage de l’esthétisme plutôt que du contenu, mais dans son ensemble, l’édition jeunesse mérite vraiment d’être découverte par le plus grand nombre.
Quels sont vos projets ? Avez-vous également des projets personnels chacun de votre côté ?
Nous travaillons actuellement sur un projet qui paraîtra à la fois en bande dessinée et en film d’animation : La Femme-canon et à l’adaptation en film d’animation également de notre album Les Gratte-ciel. L’album Mon tout petit paraîtra au mois de janvier à La Joie de lire. Albertine prépare une exposition de robes en papier mâché et Germano poursuit l’écriture de plusieurs textes de genres très différents.
Bibliographie sélective (aux éditions La Joie de Lire) :
- Les Robes, 2014
- Dada, 2013 que nous avons chroniqué ici.
- Ligne 135, 2012, sélection Pépite de Montreuil 2012.
- À la montagne, 2011, sélection Pépite de Montreuil 2011, que nous avons chroniqué ici.
- Les oiseaux, 2010. (Prix Sorcières 2011).
- Les gratte-ciel, 2011.
- Grand couturier Raphaël, 2009.
- En ville, 2009.
- Le chat botté, conte de Charles Perrault, illustrations d’Albertine, 2009.
- Le retour de Marta, 2008.
- À la mer, 2008.
- La rumeur de Venise, 2008 (Prix Jeunesse et Médias 2009).
- La marelle, 2007.
- Blanche et Marcel, 2007.
- Vacances sur Vénus, 2005.
- Le fromage, 2004
- La Java Bleue, 2003.
- Le Génie de la Boîte de Raviolis, 2002.
A noter qu’Albertine vient aussi de sortir Circus chez À pas de loups.
Le site d’Albertine : http://www.albertine.ch.
Concours :
Comme je vous le disais en introduction à cette interview, les éditions La Joie de Lire vous proposent de gagner un exemplaire du dernier album d’Albertine et Germano Zullo, Les Robes, un bel et grand album dont je vous parlerai bientôt. Pour cela, il vous suffit de commenter cet article en indiquant que vous souhaitez participer au tirage au sort, et pourquoi pas nous parler d’un vêtement qui compte pour vous ! Vous avez jusqu’à mardi, 20h !
Dans la classe d’Émilie
Régulièrement, un-e instituteur-trice nous parle de livres de sa classe. Ouvrages qu’il-elle aime lire aux élèves, ouvrages que ses élèves aiment particulièrement, livres du moment ou éternels… Les maître-sse-s connaissent bien la littérature jeunesse, nous leur donnons la parole (et si vous voulez être un des prochains invités envoyez-nous un mail à danslaclassede@lamareauxmots.com). Cette semaine, c’est Émilie Prunier qui nous parle des livres de sa classe. Émilie est enseignante en immersion française en Colombie-Britannique (Canada), au cycle 3 (équivalent CM-6ème).
En tant qu’enseignante, l’un de mes objectifs est de développer la pensée critique de mes élèves, ainsi que leur curiosité et leur ouverture d’esprit. C’est d’autant plus important chez moi en Colombie-Britannique, une région anglophone très multiculturelle où le français est minoritaire. Les composantes culturelles et interculturelles sont donc essentielles !
C’est pourquoi j’aime travailler de façon interdisciplinaire, en faisant des liens entre les matières et avec le quotidien des élèves, afin qu’ils puissent s’approprier plus facilement les connaissances et les compétences et les transférer à d’autres contextes. La littérature jeunesse est formidable en ce sens tant elle offre de pistes de discussion et de mises en réseau. Et en plus, c’est divertissant ! Alors pour allier l’utile à l’agréable, voici un petit tour de mes coups de cœur, pour le cycle 3 :
- Des albums pour voyager et découvrir une autre culture…
Mingan, mon village : Quinze poèmes d’écoliers innus exprimant leur regard sur leur communauté de la réserve de Mingan, au nord-est de Québec, accompagnés de quinze portraits de leurs auteurs, réalisés par Rogé. Un magnifique album, riche et émouvant, qui nous fait découvrir la langue et la culture innue.
Une journée à Pékin (Hsin Yu Sun) : un album sans texte qui nous entraîne dans le dédale des rues de Pékin, à la suite d’une petite fille elle-même à la poursuite de son chat. On y découvre, sous un jour nouveau, la ville d’hier et d’aujourd’hui, avec en prime un voyage dans le temps qui nous emmène au cœur de la Cité Interdite !
- Des albums pour provoquer des discussions et des débats :
Koletaille (Sylvie Pinsonneault) : un album tout en subtilité et non-dits, qui interroge sur les réalités et les conséquences des guerres en donnant la parole à un… char d’assaut ! Mais l’identité du narrateur est dévoilée au fur et à mesure à travers des indices dans le texte et les images. Succès assuré auprès des élèves, qui se prennent au jeu d’inférer qui peut bien être Koletaille. En prime à la fin, une double page documentaire qui aborde le prix d’un char d’assaut en le comparant à de l’équipement de base qui permettrait de sauver des vies en Afrique (ex : vaccins, hôpitaux, puits…). De quoi alimenter de belles discussions avec les élèves.
Rébellion chez les crayons (Drew Daywalt et Oliver Jeffers) : Les crayons de couleur de Duncan en ont marre ! Certains se plaignent d’être trop sollicités, d’autres d’être ignorés, et il y a ceux qui aspirent à colorier d’autres choses que ce à quoi ils sont habitués. Alors ils font la grève et en écrivent des lettres de doléance à Duncan, qui devra faire preuve de créativité pour apaiser la rébellion. Un album drôle et plein d’esprit, formidable pour discuter de la liberté d’expression et encourager les enfants à sortir des chemins battus et à faire preuve de créativité !
Machin truc chouette (Hubert Kemoun) : un album fort sur la place qu’on accorde aux étrangers dans notre société à travers l’histoire de Massicholihaloi, un immigrant venu pour travailler qui fait tout son possible pour s’intégrer, quitte à se faire exploiter, et va même jusqu’à s’engager pour le défendre. Pourtant, les habitants refusent de lui faire une place dans la communauté. Un excellent déclencheur pour une réflexion sur l’autre et la xénophobie.
Attatruc 1er (Thierry Dedieu) : Un roi absolument abominable veut devenir artiste peintre. Malheureusement, il a bien peu de talent. Mais en tant que roi, il estime pouvoir tout se permettre et commence à s’en prendre aux peintres et aux œuvres d’art en les rectifiant à sa guise afin de tenter de « réécrire » l’histoire de l’art. Une excellente réflexion sur la liberté d’expression et l’art au service du pouvoir politique.
- Albums et arts visuels :
Les tableaux de Marcel : l’incontournable Anthony Browne, sous les traits du singe Marcel, revisite des tableaux de maître. Ludique et drôle : un album idéal pour découvrir l’histoire de l’art !
Albums et matières scientifiques…
365 pingouins (Jean-Luc Fromental) : Le premier jour de l’année, un livreur vient sonner à la porte d’une famille pour leur porter un paquet contenant un pingouin et une note indiquant de le nourrir quand il a faim. Qui l’envoie ? Mystère ! Et d’autant plus bizarre que la famille va continuer à recevoir, sans explication, un pingouin par jour pendant un an. Que vont-ils bien pouvoir en faire ? Où vont-ils les mettre ? Un album cocasse et plein de rebondissements, très sympa à utiliser en maths pour aborder les représentations des nombres, les regroupements, les régularités et les opérations de façon ludique.
Comme une soudaine envie de voler : carnet de curiosités de Magnus Philodolphe Pépin : un album original, plein d’humour et esthétiquement très réussi, premier d’une série signée Thierry Dedieu, mettant en scène un savant farfelu de 327 ans haut comme trois pommes qui passe son temps à observer et étudier la nature afin d’en percer les secrets et de s’en inspirer pour réaliser ses rêves les plus fous. Entre carnet de naturaliste, aux croquis d’un réalisme photographique incroyable, et récit loufoque, l’album invite à regarder la nature d’un autre œil et à partir en exploration.
- des romans à lire à haute voix :
La plus grosse poutine du monde (Andrée Poulin) : un coup de cœur canadien ! Lorsque Thomas a eu 5 ans, sa mère lui a préparé une poutine en guise de gâteau de fête. Le lendemain, elle a disparu. Neuf ans plus tard, au lendemain de ses 14 ans, Thomas a l’idée de battre le record de la plus grosse poutine du monde afin d’attirer l’attention de son père, un homme absent et profondément malheureux et surtout de faire revenir sa mère. Un livre émouvant et accrocheur, qui rejoint les filles et les garçons. En prime, le lecteur français se familiarisera au français québécois !
La rivière à l’envers (Jean-Claude Mourlevat) : un roman enchanteur, qui raconte l’histoire de Tomek, un jeune orphelin qui tient l’épicerie du village mais qui s’ennuie et rêve de parcourir le monde. Un jour, une jeune fille passe le seuil de sa boutique avec une requête pour le moins originale : elle lui demande s’il a de l’eau de la rivière Qjar, la rivière qui coule à l’envers et dont l’eau empêche de mourir. Il n’en faut pas plus pour que Tomek se lance dans l’aventure.
- L’auteur-illustrateur chouchou : Émile Bravo
Les contes palpitants des 7 ours nains : une anthologie délicieuse réunissant les trois albums de la série des ours nains d’Émile Bravo — Boucle d’or et les sept ours nains, La Faim des sept ours nains, La Belle aux ours nains. Émile Bravo revisite les contes de fée à sa manière, en détournant certains des personnages les plus célèbres et en les réunissant dans un même scénario. On se trouve ainsi avec un prince qui s’appelle Boucle d’or, sept ours au lieu de trois, qui vont partir en quête d’un prince charmant pour une princesse embêtante, ou encore un chat aux bottes fourrées… Un album rafraîchissant et délirant qui plaît à tous.
Ma maman est en Amérique, elle a rencontré Buffalo Bill (Jean Régnaud et Émile Bravo) : Cette bande dessinée au fond autobiographique raconte l’histoire de Jean, un petit garçon qui entre en CP, dans une nouvelle école, en 1970. Il vit avec son père — un homme assez distant —, son frère d’un an plus jeune et Yvette, la gouvernante, qui s’occupe des enfants comme une mère car Jean ne sait pas où est sa maman.
Il imagine qu’elle est en voyage mais il n’ose pas vraiment demander. Michèle, sa petite voisine un peu plus âgée, lui lit régulièrement des cartes postales du monde entier qu’elle prétend recevoir en secret de la mère de Jean. Mais pourquoi sa maman n’écrit qu’à lui, et surtout pourquoi chez Michèle ? Une histoire belle et émouvante, magnifiquement illustrée du trait rond et coloré d’Émile Bravo, sur le deuil et sur la confusion que peut ressentir un enfant dont la mère est morte, surtout quand tout le monde autour de lui le lui cache.
Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
Merci pour le jeu concours !
Un vêtement fétiche j’en ai eu plusieurs. L’avantage c’est qu’on les rentabilise bien ! Ensuite on regrette de ne pas en avoir acheté plusieurs. …
Ryomeleo
bonjour et merci pour ce joli cadeau je tente volontiers
pour ma part j’ai une robe ca fait 10 ans environ que je l’ai j’y tiens car c’est mon mari qui me l’avait offerte et elle est comme neuve!
bonne journée!
Mon vêtement préféré ? Mon pyjama ! Il m’enlève d’un coup toute la fatigue de la journée. Une fois enfilé, j’ai à nouveau le courage de faire mille et une choses.
Merci à Emilie Prunier et sa sélection de livres. Je n’en connaissais pas beaucoup dans le lot et la façon dont elle en parle me donne envie de les découvrir.
Bonjour,
Merci pour ce concours, moi c’est un gilet avec lequel je passe des heures au chaud quand je suis à la maison. Surtout quand il fait très froid !!!
merci pour le jeu, je tente ma chance pour gagner ce beau livre.
Un vêtement qui a compté: La robe à pois rouges et bleus de mes 8 ans.
Bravo la Mare pour cette interview !
Allez, je tente ma chance aussi ! Un vêtement fétiche ? Un vieux chemisier en soie très…coloré, dirons-nous, que mon fiston a reconverti récemment pour Carnaval… Voilà, voilà…
Bonjour, je cherchais un blog sur la littérature jeunesse et je vous ai trouvé!
Je participe avec grand plaisir à ce concours car mon petit loup dévore les livres et albums!
Pour ce qui est des vêtements fétiches, moi ce sont les foulards, j’ai toujours froid au cou!
Merci et bonne journée!
Fanny
Oh oui, je participe ! Germano Zullo et Albertine : quel beau duo ! On m’a offert une très chaude doudoune à mon anniversaire, et je l’enfile chaque matin avec le même bonheur que si je me glissais dans un duvet bien chaud 🙂
je participe avec plaisir! un vêtement fétiche? un jean dans lequel je ne rentre plus… 🙂
Je participe avec plaisir à ce concours. Mon vêtement fétiche ? La grosse veste polaire dans laquelle je m’emmitoufle pour lire tranquillement dans mon lit pendant les soirées d’hiver.
bonsoir
je participe avec plaisir
mon vêtement fétiche c’est une belle robe longue style bohème que j’adore et que je porte toujours malgré les années passées qui ont quelque peu abimé sa couleur à mon grand regret..
mais je m’y sens bien et c’est le principal, à mon avis du moins..
mon mail est: gaut.geraldine(at)orange.fr
merci et bonne soirée
Bonjour,
C’est avec plaisir aussi que je participe à ce concours.
Mon vêtement fétiche c’est mon premier haut décolleté, noir en velours élimé, il est toujours dans l’un de mes tiroirs même si je ne le mets plus…
Bonne journée
Melle G.
C’est toujours avec grand plaisir et intérêt que je lis ce qui concerne Albertine et Germano Zullo ! Mon vêtement préféré, un pull bleu marine (de Risoul), très vieux, élimé d’avoir été tant porté, mais qui reste dans la mémoire de mes enfants, et que je ne jetterai pour rien au monde ! Je participe volontiers au concours… Ce livre s’ajoutera à ma collection. Merci d’exister pour le bonheur des petits et des grands !
Hey! Je participe avec plaisir 😉 …un vêtement fétiche? Euh…je n’en ai pas vraiment….ou plutôt je les aime tous! 🙂
Je réponds pour ma fille, qui a 2 ans et demi, et qui ADORE déjà mettre des robes, au grand dam de sa maman qui l’a préfère plutôt en salopette ! Vous voyez ce que je veux dire !
Bonsoir 🙂 Merci pour ce cadeau ! Moi c’est une robe que
Bonsoir 🙂 Merci pour ce cadeau ! Moi c’est une robe que j’ai depuis un moment maintenant et que j’adore Je l’a trouve très jolie et super confortable , je l’a met pour différente occasion et j’appréhende le moment où elle sera vraiment trop abimé pour la porter
Nous avons le livre Dada à la maison et adorons le lire. C’est donc avec grand plaisir que je participe à ce jeu pour lequel je vous remercie. Les vêtements qui comptent ici sont forcément ceux que je confectionne moi même, que ce soit pour ma fille ou pour moi, avec des patrons et tissus soigneusement choisis.
Bonjour,
Un vêtement fétiche ? Une robe écrue à la coupe impeccable et ultra sobre, ultra légère, presque transparente, brodée ici et là de petits plumetis jaune, rouge, rose, bleu et vert plutôt discrets (mais comment est-ce possible ?! :-))
🙂
Bon week-end !
Véro
Un vêtements fétiche ? Un pantalon de danse usé +++ mais j’ai l’impression de mieux danser avec 😉 ! Merci pour ce concours avec deux très grands auteurs…
Encore merci pour ce concours !
Mon vêtement fétiche : un soutien gorge très travaillé, magnifique
Quelle belle sélection d’Emilie ! Je ne connais aucun de ces livres mais j’ai envie d’en découvrir beaucoup
Bonsoir,
Bon allez je tente ma chance.
Encore une belle chronique !
Le vêtement qui me tient à coeur ? ma robe de mariée : je l’ai dessinée et une couturière amie de ma maman lui a donné vie ;-D
Sinon, certains vêtements de mes enfants car lié à un très beau souvenir.
Bonne soirée et merci pour ce concours.
Maeva
Nous jouons, mon petit garcon et moi pour les robes :))
Je me rappelle d’un post que vous aviez ecrit sur les livres adaptés selon les ages des enfants… La “moral” etait il n’y en a pas! Chaque enfant decouvre a son rythme et ses envies et je suis sure que ce livre et ses illustrations remporteront un franc succes ici…
Merci pour ce concours et joyeux noel 🙂
La maman de charles et arthur
Et on a oublié! Notre vetement preferé est le pancho en velour, bien pratique pour rester au chaud le soir a la maison… Toute la famille en a un de couleur differente! :))
Vêtement fétiche ? A vrai dire, je n’aime pas cet adjectif..fétiche.
Je dirai qu’il y a des vêtements que j’aime plus que d’autres, mais ça dépend de l’humeur, des saisons…. Une écharpe de soie, qque peu élimée, mais qui est la plus chaude que j’aie jamais eue, une chemise de soie avec épaulettes ( ah oui, encore… On dirait que j’aime cette douceur chaleureuse ;-).
Merci pour ce concours !
Coucou, je tente ma chance.
Un vêtement qui compte pour moi… Un snood de mille couleurs cousu par une amie qui compte pour moi.
Bonjour,
Je tente ma chance.
Mon vêtement fétiche, une veste en laine noire bien chaude, un peu “boullochée” mais tellement confortable pour l’hiver et les journées pluvieuses comme aujourd’hui !
Merci
Encore merci pour cette chronique! J’en profite pour tenter ma chance: très régressif, en cette froide journée de décembre, mon vêtement fétiche sera ma vieille robe de chambre écossaise bien chaude héritée de mon papa! Bonne chance à tous et bonnes fêtes!
Bonjour,
Je suis ravie de tenter ma chance pour cet album qui a l’air très beau !
Personnellement, le vêtement que j’affectionne le plus est le bon vieux jean ! Confortable, idéal aussi bien pour flâner que pour aller au boulot ! Accessoirisable avec un look féminin, chic, décontracté, classique, original…. J’adore !
Merci beaucoup, et bonnes fêtes de fin d’année !
Je vous souhaite des tonnes de livres au pied de vos sapins !
Mynouchette
mon vêtement préféré c’est mon vieux jogging du dimanche pour trainer ! merci pour le concours
Super chronique et quelle bonne surprise ce concours, merci.
Moi j’ai deux vêtements fêtiches: 1-ma tuque en hiver pour me garder les oreilles au chaud (bonnet en Français de France), et 2-une robe en lin bleu que j’ai depuis des années mais qui ne bouge pas, et qui me rappelle la belle histoire un bleu si bleu de Jean François Dumont que mes enfants adorent.
Ah ! Je n’ai plus le temps de passer souvent par ici pour écrire un mot mais je voulais profiter d’un moment de répit pou souhaiter à tout le monde de passer de belles fêtes, avec de jolis livres au pied du sapin…
“Les robes” me parle bien sûr, en tant qu’ancienne petite fille qui adorait dessiner des robes (de princesses surtout). Je me souviens que ma mère avait littéralement tapissé le mur de son bureau avec des illustrations de costumes d’époque (j’avais une dizaine d’année je pense).
Je participe volontiers à ce concours, mais pas pour moi. J’aimerais que, si je gagne, le livre soit offert à la personne la plus assidue au blog ces derniers mois (si c’est possible) ; sinon, je le réserverai à une petite fille qui devrait l’apprécier… 😉