C’est Amandine Piu qui a accepté de répondre à mes questions cette semaine. J’ai adoré Ce n’est pas l’histoire… et j’ai eu envie d’en savoir plus sur la façon dont elle a travaillé sur cet album, mais aussi sur son travail en général et sur son parcours. L’un.e de vous aura la chance de gagner cet album (rendez-vous après l’interview pour participer). Ensuite, c’est avec Philippe Lesgourgues des éditions L’édune que nous avons rendez-vous. Pour la rubrique Parlez-moi de… il revient sur le magnifique documentaire J’ai planté un arbre en montagne. Bon mercredi à vous !
L’interview du mercredi : Amandine Piu
Comment êtes-vous devenue illustratrice ? Parlez-nous de votre parcours
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours passé mon temps à dessiner (et bricoler, construire des cabanes, regarder des dessins animés, aller fouiner dans le grenier de mes grands-parents)… et comme je n’avais aucune envie de m’arrêter… mon papa m’a incitée à faire de ma passion, mon métier. J’ai donc passé un bac arts appliqués, ensuite un BTS communication visuelle (qui m’a donné les clefs pour la mise en page, la typo…) pour finir par la section illustration aux Arts Déco de Strasbourg. J’ai ensuite pris rendez-vous avec quelques DA (NDLR Directeurs.trices Artistiques) au Salon du livre de Montreuil à qui j’ai montré mon book, et j’ai commencé à travailler.
Quelles techniques d’illustration utilisez-vous ?
J’ai (presque) tout essayé, collage, peinture, crayon, fusain, volume… mais aujourd’hui je travaille essentiellement sur mes albums avec ma palette graphique (et depuis peu avec une cintiq, le luxe !!), mais je continue à faire mes premières recherches et crayonnés au crayon de papier, des recherches dans mes carnets avec tout ce qu’il me passe sous la main (feutres de mes enfants, stylo… etc.). Mes cartes postales « les fausses piubs » sont encore et toujours faites à l’acrylique et crayon de couleur, même le texte est entièrement peint (comme les vieilles publicités d’autrefois !) Du coup, je dois faire vraiment attention à ne pas faire de fautes d’orthographe !
J’aime bien varier les techniques, les supports, et les thèmes, aller vers de nouvelles choses… passer des albums aux jeux, aux affiches, aux cartes postales…
J’aimerais que vous nous parliez de votre travail sur Ce n’est pas l’histoire…, c’est un album impressionnant du point de vue graphique, car vous avez inventé de nombreuses couv’ avec des univers différents. Comment avez-vous travaillé sur ce projet ?
AAaH, le travail sur cet album a été un pur bonheur !
Ça faisait longtemps qu’on essayait de travailler ensemble Michaël Escoffier et moi, j’aime énormément son univers, son humour et les chutes de ses histoires ! Donc quand il m’a proposé Ce n’est pas l’histoire… j’étais plus que ravie !
Pour les couvertures, Michaël ne m’avait pas donné de titre, on a fait un ping-pong d’idées, je lui envoyais un tas de propositions de titres, avec des dessins, des jeux de mots sur nos noms, et il m’en renvoyait 2 fois plus (et des encore plus drôles bien sûr, on a bien rigolé !) Ensuite, j’ai travaillé toutes les images, comme des vraies couvertures, ou un peu comme mes fausses pubs, j’aime chercher les typographies, faire des faux logos, trouver des compositions différentes… J’ai essayé de varier le plus de choses possible pour qu’on ait vraiment l’impression d’avoir affaire à des livres très variés malgré le fait que le traitement « graphique » reste le même… et puis, il fallait que ça soit drôle et tendre, et que ça plaise à « mon testeur officiel », mon fils de 5 ans (d’où le côté caca – prout prout, j’avoue)
Quelles étaient vos lectures d’enfant, d’adolescente ?
Petite, j’étais abonnée à Toupie, puis Toboggan, et Diabolo (l’ancêtre de J’apprends à lire). J’attendais avec impatience chaque mois qu’ils arrivent dans ma boîte aux lettres, c’était une vraie fête pour moi ! (j’ai tous les exemplaires des histoires qui m’ont marquée dans Diabolo : Le réparateur de bêtises, Le piège à ennui, etc.) J’avais aussi pas mal d’albums divers et variés. Adolescente, je ne lisais pas beaucoup de roman, j’avais encore besoin d’images… du coup, je lisais des BD et entre autres, celle de mon père… de Reiser… (Hum, ça ne se ressent peut-être pas vraiment dans mes images… héhé)
J’ai vraiment commencé à lire des romans après le bac avec des gros coup de cœur pour Pennac, Boris Vian, Paul Auster… et Harry Potter bien sûr !! et des polars tout noirs aussi. J’ai aussi été marquée par Les histoires pressées de Friot et Coup de Gigot de Roald Dahl… et je reste une férue de dessins animés (pour le plus grand plaisir de mes enfants)
Et quel.le.s sont les illustrateurs.trices qui vous inspirent aujourd’hui ou dont le travail vous séduit, tout simplement.
OH, il y a tellement de gens dont j’admire le travail….
Mes premiers amours : Anne Herbault, Anne Laure Cantone, Lionel Le Néouanic, Muriel Kerba, Rebecca Dautremer, Élodie Nouhen, Delphine Durand, Christian Voltz, Claude Ponti… et plein d’autres !
– et puis j’adore aussi le travail : Élise Gravel, Samuel Ribeyrron, Béatrice Alemagna, Laurent Moreau, Violaine Leroy, Marie Desbon, Bérangère Delaporte, Clémentine Sourdais, Jérome Peyrat, Julia Wauters, Élisa Gehin, Matthias Piccard, Lucie Brunellière, Clément Lefèvre, Nikol, Joey Chou, Gilles Bachelet, Benjamin Chaud, Isabelle Arsenault… et tout plein d’autres aussi ! (entre autres grâce à facebook, qui permet de découvrir énormément d’illustrateurs talentueux dans le monde entier, ou comment voyager (un peu) devant son écran !)
Quels sont vos projets ?
Des albums qui vont bientôt paraître :
Le bateau Rouge d’Oscar, sur un texte de Jo Hoestlandt aux éditions Flammarion, un album très poétique que j’ai pris beaucoup de plaisir à illustrer.
- Hou ! Hou ! Prince Charmant ? écrit par Sylvie Misslin aux Éditions Amaterra, un album-jeu, où le lecteur doit faire des choix pour faire avancer l’histoire.
- Et beaucoup d’autres en préparation (un autre album avec le super Michaël Escoffier, plusieurs avec la talentueuse et géniale Emilie Chazerand…)
- Et une nouvelle série de cartes postales « fausses piubs » (tant que j’ai des idées qui me font rire, je continue…)
bref, une année remplie de super chouettes projets qui me réjouissent !
Une dernière question, si quelqu’un qui ne vous connaît pas lit cette interview et veut vous découvrir avec un seul de vos ouvrages, lequel lui conseilleriez-vous ?
Elle est dure cette question, euh, tous ? Ou celui que je n’ai pas encore fait ?
Chaque album fait parti de l’évolution de mon travail d’illustratrice et est souvent né d’une belle rencontre, qui s’est souvent transformé en véritable amitié (Sophie Cottin, ma « première auteur » devenue mon éternelle amie, Virginie Hanna « mon ananas », Sylvie Misslin……). J’ai essayé de donner le meilleur de moi-même à chaque fois, mais pour le moment, je dirais sûrement Ce n’est pas l’histoire…parce ce que c’est le dernier, qu’il est drôle et que j’ai vraiment aimé travailler avec Michaël et les éditions Frimousse.
Retrouvez Amandine Piu sur son blog (où l’on peut voir, notamment, ses super fausses piubs) : http://www.piupiu.fr.
Bibliographie :
- Ce n’est pas l’histoire…, illustration d’un texte de Michaël Escoffier, Frimousse (2016), que nous avons chroniqué ici.
- La maison des comptines, Collectif, Larousse (2015).
- Sur la route de la musique, illustration d’un texte de Virginie Hanna, De la Martinière Jeunesse (2014)
- Berlingot n’a peur de rien, illustration d’un texte de Virginie Hanna, Auzou (2014)
- Qui veut jouer au ballon ?, illustration d’un texte de Sylvie Misslin, Amaterra (2013).
- Comptines de Compère Loup, Larousse (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Le pré des bébêtes pas bêtes, illustrations d’un texte de Virginie Hanna, Mic_Mac (2013).
- Sur la route des couleurs, illustration d’un texte de Virginie Hanna, De la Martinière Jeunesse (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Mes drôles de copains se promènent, illustrations d’un texte de Sylvie Misslin, Amaterra (2012).
- Mes drôles de copains sont amoureux, illustrations d’un texte de Sylvie Misslin, Amaterra (2012).
- Berlingot est un super héros, illustrations d’un texte de Virginie Hanna, Auzou (2012).
- Le jardin des animaux zinzins, illustrations d’un texte de Virginie Hanna, Mic_Mac (2011).
- Comptines à lire à deux : Comptines Rigolotes, Collectif, Lito (2009).
- Le riz de Ly : Faisons danser les grains de riz !, illustrations d’un texte de Sophie Cottin, Petit à Petit (2007).
- Les pâtes de Francesca, illustrations d’un texte de Sophie Cottin, Petit à Petit (2006).
Concours :
Grâce aux éditions Frimousse, l’un.e de vous va pouvoir gagner Ce n’est pas l’histoire…, un super album original et plein d’humour. Pour participer, il vous suffit juste de laisser un commentaire sous cet article. Le gagnant ou la gagnante sera tiré.e au sort parmi tous les commentaires. Vous avez jusqu’à mardi 20 h. Bonne chance à tous et à toutes !
Parlez-moi de… J’ai planté un arbre en montagne
Régulièrement, on revient sur un livre qu’on a aimé avec son auteur, son illustrateur.trice et/ou son éditeur.trice. L’occasion d’en savoir un peu plus sur un livre qui nous a plu. Cette fois-ci, c’est sur J’ai planté un arbre en montagne (chroniqué ici), un très bel ouvrage entre le documentaire et l’album. Pour cet album assez particulier, c’est son éditeur français, Philippe Lesgourgues des éditions L’édune, qui nous raconte son aventure avec cet album.
Philippe Lesgourgues : Au mois de juin 2014, une dame est venue au bureau des éditions l’Édune. Corinne Bret – c’est son nom – voulait des renseignements sur la façon de se faire éditer en France. Native du Bassin d’Arcachon, elle avait passé son enfance à Andernos, ville où nous sommes installés. On lui avait parlé de nous et on s’était donné rendez-vous.
Nous avons discuté un long moment.
Elle avait passé près de 30 ans au Japon, après ses études de journalisme, où elle avait été correspondante pour Libération et avait écrit plusieurs livres en japonais, pour les adultes, mais aussi pour les enfants. Elle les avait amenés avec elle et me les montrait pendant qu’elle m’expliquait l’édition au Japon, qui n’a rien à voir avec l’édition que nous connaissons en France.
Parmi ces livres s’en trouvait un, qu’elle n’avait pas écrit, mais dont elle connaissait bien l’auteur, pour avoir écrit des articles sur lui : Shigeatsu Hatakeyama. Elle nous en traduisit le titre, « J’ai planté un arbre en montagne », et nous raconta l’histoire de son auteur et pourquoi il avait écrit ce livre.
Ostréiculteur et pêcheur de la Baie de Kesennuma, au Nord du Japon, M. Hatakeyama était venu en France dans les années quatre-vingt-dix, avait rencontré des ostréiculteurs et des scientifiques et était reparti avec une idée en tête.
Depuis plusieurs années, il constatait l’appauvrissement de la faune et de la flore de la baie où il travaille. Après son séjour en France, et nourri des discussions qu’il avait eues avec les personnes rencontrées, il a vite fait le rapprochement entre le désert aquatique que devenait la baie de Kesennuma et la déforestation à outrance des montagnes environnantes.
Aidé de ses collègues ostréiculteurs et des riverains, d’abord sceptiques, il entreprit une vaste campagne de reboisement de ces montagnes. Le résultat ne se fit pas attendre longtemps. Au bout de quelques années seulement, la vie renaissait dans la baie : les algues poussaient à nouveau, les poissons étaient plus nombreux et les coquillages prospéraient.
Shigeatsu Hatakeyama continua son travail de reboisement, fit connaître son travail, fut invité à l’étranger et, en 2012, fut élu « Héros de la forêt » pour le continent asiatique par l’ONU.
Entretemps, il avait fait des livres pour les adultes et les enfants, afin d’expliquer son travail, dont celui que nous montrait Corinne Bret pendant qu’elle nous racontait cette histoire.
Très vite mon âme d’écolo non-violent retrouva sa jeunesse et l’idée de le faire traduire et de l’éditer en France me gagna. De plus, la perspective de la Cop 21 de Paris en décembre 2015 était une opportunité à saisir.
Je demandai à Corinne le nom de l’éditeur japonais et si elle voulait bien assurer la traduction. Elle accepta et je me lançai dans le projet.
Mais les relations avec les éditeurs japonais, très pointilleux, ne sont pas simples, ni rapides ! Je pris néanmoins contact avec l’éditeur et nous avons négocié l’achat des droits de traduction et d’édition pour la France. Cela prit un an, pendant lesquels la traduction avançait et se finalisait, ce qui me permit d’en faire une maquette.
Se posa néanmoins un problème : Corinne Bret n’arrivait pas à traduire les noms de certaines algues, poissons ou coquillages propres au milieu aquatique asiatique, n’étant pas qualifiée pour trouver leur équivalent français.
Nous avons donc fait appel à Anne-Aurélie Raymond, chercheur en biologie, mais aussi sylvicultrice sur le Bassin d’Arcachon et, à ce titre, s’étant beaucoup intéressée et connaissant parfaitement les dessous de l’hydrographie. Elle fut notre conseillère scientifique et trouva les animaux et plantes européens cousins ou cousines de ceux, japonais, décrits dans le livre.
La fabrication pouvait alors être envisagée. Il se posait cependant un autre problème : le façonnage du livre original était particulier et, suivant les termes du contrat passé avec l’éditeur japonais, la fabrication devait se faire à l’identique. Comme il n’était pas question pour nous, pour des raisons d’éthique, de fabriquer le livre en Chine ou un autre pays d’extrême Orient (au Japon, où la version originale a été fabriquée, la réalisation d’un livre coûte cher), et après plusieurs contacts infructueux, un imprimeur local put faire, à partir de notre maquette et du livre original, un prototype convaincant pour un coût raisonnable. Dès lors, la réalisation définitive du livre pouvait être entreprise.
Les fichiers furent donc envoyés à l’imprimeur et la sortie du livre programmée pour décembre 2015, au moment de la COP 21.
Puis, plus de nouvelles de l’imprimeur : pas de réponse aux appels impatients ni aux mails répétés. Porte close à l’imprimerie.
Après plusieurs semaines d’interrogation, un coup de fil nous apprit que l’imprimerie avait été mise en liquidation, et que les scellés étaient mis sur tout le matériel.
Moment d’angoisse ! Puis notre correspondant, la commerciale avec qui nous étions en relation, nous dit qu’avec 4 autres employés ils s’étaient démenés pour sauver leur emploi et avaient trouvé un établissement qui, cherchant à s’étoffer dans le secteur de l’offset, était d’accord pour leur en confier le développement. Le projet pouvait donc reprendre !
Par chance, l’opérateur PAO avait pu sauver les fichiers et surtout les modifications qu’il avait faites. C’est ainsi que la fabrication fut entreprise et que le livre, distribué par Sérendip-livres, est maintenant disponible dans toutes les « bonnes librairies ».
Respectant à la lettre l’original, et fidèle à l’esprit de son auteur, ce petit livre nous montre l’interdépendance des écosystèmes en décrivant avec précision la faune et la flore des milieux traversés par les nutriments générés par les arbres des forêts des montagnes, et emportés par les eaux des rivières et de ruissellement pour nourrir la faune et la flore aquatique.
Parfois, faire un livre est une aventure éditoriale dont on ne mesure pas toujours l’ampleur. Celle-ci, comme l’avaient été la réalisation de la collection « L’ABéCéDaire » en 2007/2008, ou encore celle de l’album « Lumières – L’Encyclopédie revisitée » sorti en 2013 (après 2 ans de préparation), fut une « aventure » excitante, car le sujet, atypique pour les éditions l’Édune, méritait que le résultat en fût à la hauteur. C’est, nous l’espérons, chose faite.
Philippe Lesgourgues
PS : Afin de porter plus loin le message véhiculé par ce livre, une « malle-jeu » et une exposition itinérante sur le cycle de l’eau sont disponibles et permettent de saisir les enjeux fondamentaux définis par la COP 21, tout en s’amusant et se documentant.
![]() J’ai planté un arbre en montagne, texte de Shigeatsu Hatakeyama (traduit par Corinne Bret), illustré par Kanayo Sugiyama, sorti chez L’édune (2015). Chroniqué ici. |

Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
Il est a l’air genial et drole ce livre alors je participe avec plaisir
Merci pour ce concours! Le livre à l air génial!
Oh super ce livre ! j’adore cette illustratrice … bonne journée !
Merci beaucoup pour ce concours, ce livre à l’air super et j’adore le travail d’Amandine Piu 🙂
Amandine Piu, l’illustratrice préférée de ma fille! Elle connait par coeur “mes drôles de copains sont amoureux” et “mes drôles de copains se promènent” et a accroché dans sa chambre une affiche dédicacée, bref elle serait ravie (et moi aussi!) de découvrir ce nouvel album! Merci pour le concours 🙂
J’adore ce que fait Amandine, que je suis depuis quelques temps (merci internet), si pour l’instant à la maison c’est par les jeux qu’elle est présente, nous serions ravis de découvrir cette histoire. Et comme mon fils à aussi 5 ans, je crois que ça devrait lui plaire.
Merci pour cette interview ! je participe pour tenter ma chance de gagner cet album !!!
Bonjour
Il me tente bien celui-là !!!! Je croise les doigts …
Merci, doux mercredi …
Je tente ma chance. J’adore trop cet album.
ah génial ce concours ! Comme je l’avais dit à la sortir de cet album, c’est une association qui ne peut que me plaire. J’adore l’univers d’Amandine Piu et celui de Michaël Escoffier (qui choisit -ou pour qui on choisit?- souvent très bien ses partenaires d’albums).
J’ai découvert l’univers d’Amandine Piu par hasard avec une de ses piubs, j’ai alors découvert qu’elle faisait aussi des livres (chouette !) Et depuis je la suis. J’ai quand même une question que je me pose depuis plusieurs années maintenant : Doit-on prononcer son nom “Piu” ou “Piou” ? Le jeu de mots pub/piub (à l’anglaise ou pas ?) a d’autant mis le doute chez moi. Je tente donc ma chance aujourd’hui pour réussir à élucider cette grande énigme !
Merci pour ce concours et cette merveilleuse chronique.
oulala!!! ce n’est pas gentil de tenter comme ça les lectrices !!! maintenant j’ai trop envie de lire cet album!!! PLutot bien trouvée cette question de quel album conseilleriez vous !!! bonne fin de semaine!!!
et encore merci pour tout vos conseils
J’avais déjà mis Ce n’est pas l’histoire dans ma liste de livres à traquer. Quel plaisir de le retrouver dans ce concours ! Mais bon, comme ce n’est pas l’histoire de moi qui gagne… 😉
Bonsoir!
c’est avec un plaisir non dissimulé que je vais tenter ma chance!!
je suis fan fb sous le nom : olivia philippe
merci et croisons les doigts!
Merci pour ce joli concours. Ma fille adore les livres et cela me donne des nouvelles idées de lecture.
hola, mes 2 loulous seraient ravis de découvrir ce bel album, merci
Je tente ma chance!!
J ai eu la chance de recevoir amandine piu dans ma classe de pioupiou il y a quelques années… et je suis fan de ses illustrations!!
Je srais ravie de leur faire découvrir ce nouvel album… je croise les doigts!!
J’apprécie beaucoup le travail et l’enthousiasme d’Amandine !
Merci pour ces chroniques diverses et pour les concours, que je n’ai pas (encore ?) eu la chance de remporter …
Bonne journée à toute l’équipe et aux visiteurs.
Bonjour
Merci pour l
Re bonjour
fausse manip…. Merci pour cette chronique. Je connaissais certains livres d’Amandine Piu. J’aime beaucoup ses couleurs et la douceur de ses dessins. Mais pas ses “Piub” et c’est une super découverte. Pour le livre “ce n’est pas l’histoire” le duo Michael Escoffier et Amandine Piu ne peut être que génial.
Je participe donc avec plaisir à votre concours et je croise les doigts.
bonjour
je tente ma chance pour le concours, merci !
Encore un bien bel article! “Ce n’est pas l’histoire” fait partie de la dernière commande pour la bibliothèque et ce sont particulièrement les illustrations qui nous ont fait craquer. Alors le gagner pour ma fille me rendrait folle de joie!
Un livre décalé que je serais ravie de lire à mes 2 “grands” continuez ainsi au fait j’ai reparlé de votre page à ma petite soeur … et je constate que ça fait “que” depuis septembre 2012 que je vous suis 😉 après un article avec des livres sur l’adoption