Aujourd’hui, nous recevons Janik Coat. Elle fait partie de ces auteurs/illustrateurs dont nous suivons le travail depuis le début de La mare aux mots. J’étais ravi qu’elle accepte de répondre à mes questions. À la suite de cette interview, vous pourrez tenter de gagner Romi à la plage et Clotaire se déguise grâce aux éditions Autrement. Ensuite, c’est à Ghislaine Roman, dont on a chroniqué il y a peu le très beau Contes d’un roi pas si sage, que j’ai proposé de nous donner un coup de cœur et un coup de gueule. Bon mercredi à vous !
L’interview du mercredi : Janik Coat
Parlez-nous de votre parcours ?
Je dessine depuis toute petite. Une passion. De manière évidente l’envie de faire les Beaux Arts s’est imposée. Quand j’en suis sortie, je ne savais pas vraiment quoi faire alors j’ai choisi de contacter une agence de design graphique et d’édition publicitaire qui me plaisait. À Nantes. J’y ai appris le métier de graphiste et découvert les logiciels d’images, de dessin et de mise en page, qui m’ont permis de mettre en forme quelques années plus tard mon premier livre Popov et Samothrace. À l’époque (!), j’habitais à Nantes et les éditions MeMo commençaient à développer leur département jeunesse. Ce fut un véritable coup de foudre éditorial réciproque ! Je signais mon premier contrat. Ensuite les éditions Autrement sont venues vers moi, me suis installée à Paris dans la foulée et actuellement je publie chez plusieurs éditeurs en France et à l’étranger…
Quelles techniques d’illustration utilisez-vous ?
Je dessine dans des carnets depuis une vingtaine d’années. Des dessins d’observation, in situ, au début, dans les cafés, les zoos, les parcs… Et puis des dessins d’imagination au fil des années, un réservoir de formes qui a fait naître Popov, l’hippopotame rouge, mon premier personnage. Je scanne mes dessins et redessine mes formes avec un logiciel de dessin Illustrator. Je colorie également à l’ordinateur. Il s’agit de ma technique principale, mais j’en utilise d’autres selon les projets…
Quelles étaient vos lectures d’enfant, d’adolescente ?
Enfant, j’ai été profondément marquée par le livre sans texte de l’allemand Ali Mitgutsch. Remplis de détails… J’ai été totalement charmée par les Contes de la vallée de Moumine et le suis encore… Je me souviens aussi de Tistou les pouces verts et des Martine, des Alice ! L’idée de série m’a toujours passionnée. J’adorais (toujours) Franquin (un des meilleurs coups de crayons que je connaisse), Hergé, Quino (Mafalda), Roba, Shultz… Plus tard Sempé…
Je me souviens d’avoir dévoré Agatha Christie et apprécié l’écriture de Colette. J’en oublie…
Quel est votre regard sur la littérature jeunesse actuelle ?
La littérature jeunesse est d’une très grande richesse en France. Je déplore cependant qu’il y ait autant de livres faits trop vite et qui ne durent pas dans le temps pour la majorité. Faire moins de livres, mais en faire de meilleurs avec de vrais bons éditeurs et imprimeurs…
Comment est né le personnage de Clotaire ?
Clotaire est le plus hasardeux de mes personnages, donc un de mes meilleurs, je pense… Je gribouillais au téléphone avec une copine quand j’ai vu émerger cette forme sympathique que j’ai à peine redessinée à l’ordinateur. Clotaire était né et un jour que je répondais au mail d’un copain en voulant illustrer cette phrase « la vengeance avance masquée », j’ai déguisé mon Clotaire en Zorro. Ça lui allait tellement bien que j’ai continué. En ajoutant les décors, me suis aperçue que je tenais un projet de livre qui m’éclatait !
Quelques mots sur Romi ?
J’ai esquissé Romi le rhino en 2008, puis je l’ai peaufiné en 2013 et eu l’envie de l’inscrire dans l’univers de la plage, dans la lignée de Mon Hippopotame, sur les contraires. Ce personnage va donner lieu à une série normalement…
Quels sont vos projets ?
J’en ai beaucoup !! Je publie un livre aux USA, intraduisible en français, car il s’agit d’un jeu de rimes en anglais avec un rhinocéros bleu. J’ai un projet de jeux de cubes et de cahier à colorier avec MeMo en 2015. Et un grand projet de livres de pochoirs, sorte de livre de naissance idéal ;-), selon moi !!!! J’ai aussi d’autres projets de livres pop up et une BD adultes avec à nouveau Catherine Grive ! Je voudrais aussi réfléchir à d’intéressants projets d’expos, m’initier à la sérigraphie… Et j’en passe !
Bibliographie sélective :
- Romi à la plage, Autrement (2014).
- Le voyage de Loti, MeMo (2014).
- Le jardin des petites bêtes, Les Apprentis Rêveurs (2014).
- Clotaire se déguise, Autrement (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Les mots du temps, illustration d’un texte de Catherine Grive, Thierry Magnier (2014).
- Ça dépend, illustration d’un texte de Bernard Duisit, Hélium (2013).
- Joni et Vatanen, illustration d’un texte d’Anne Cortey, Albin Michel Jeunesse (2013).
- Une vie d’escargot, illustration d’un texte d’Anne Cortey, Autrement (2008), que nous avons chroniqué ici.
- Mon hippopotame, Autrement (2010), que nous avons chroniqué ici.
- Pour un carré de chocolat, illustration d’un texte d’Élise Fontenaille et Clarisse Buono, Grasset jeunesse (2012), que nous avons chroniqué ici.
- Une vie d’ours, illustration d’un texte de Christophe Fourvel, Le Baron perché (2012), que nous avons chroniqué ici.
- La surprise, MeMo (2010), que nous avons chroniqué ici.
- Popov et Samothrace, MeMo (2005).
Retrouvez Janik Coat sur son blog : http://janikkinaj.free.fr et longue et belle interview dans Écoute, il y a un éléphant dans le jardin.
Concours
Comme je vous le disais juste avant cette interview, grâce à Autrement, je vais pouvoir faire deux chanceux parmi vous ! En effet, l’un de vous va pouvoir gagner un exemplaire de Romi à la plage et un autre de Clotaire se déguise, deux albums de Janik Coat ! Pour participer au tirage au sort, parlez-moi, en commentaire, de plage et/ou de déguisement (anecdote ou autre) . Si vous me parlez de plage, vous participerez au tirage au sort pour Romi à la plage et si vous me parlez de déguisement à celui de Clotaire se déguise, et si vous parlez des deux… vous participerez aux deux tirages au sort. Vous avez jusqu’à mardi 10 h ! Bonne chance à tous !
Le coup de cœur et le coup de gueule de… Ghislaine Roman
Régulièrement, un acteur de l’édition jeunesse (auteur, illustrateur, éditeur…) nous parle de deux choses qui lui tiennent à cœur. Une chose qui l’a touché, ému ou qui lui a tout simplement plu et sur laquelle il veut mettre un coup de projecteur, et au contraire quelque chose qui l’a énervé. Cette semaine, c’est l’auteur Ghislaine Roman qui nous livre son coup de cœur et son coup de gueule.
Le coup de gueule :
Mon coup de gueule porte l’exaspération que m’inspirent les gens qui ont un avis sur tout … et qui le donnent… même quand on ne le leur a pas demandé. Je pourrais m’arrêter là car je suis sûre que beaucoup comprennent ce que je veux dire. Mais je vais développer un peu, ne serait-ce que pour me montrer à la hauteur de l’attente de la Mare aux mots.
Donc, il y a des gens, des humains comme vous et moi qui ont un cerveau ultra-dimensionné, super-contenant, hyper-connectant, mega-comprenant, capable d’émettre une opinion sur tous les sujets qu’une conversation à bâtons rompus peut faire surgir. Je cite en vrac : la réintroduction de l’ours dans les Pyrénées, les zones piétonnes en centre ville, la cigarette électronique, le A 380, Apple, le purin d’ortie, la fête des mères, la mode des talons hauts, Monaco, les exilés fiscaux… et j’en passe, des meilleurs, des pires, des vastes, des minuscules etc…
En ce qui me concerne, à mon petit niveau de citoyenne plutôt bien informée, je dois reconnaître que ces gens-là m’exaspèrent et parfois même, me hérissent le poil. Car enfin, comment font-ils ? Ont-ils lu toutes thèses sur ces sujets ? Ont-ils organisé des conférences de consensus ? Rédigé des articles ? Que nenni. Ils pérorent parce que ces fats sont persuadés que ce serait déchoir que de ne pas avoir d’opinion tranchée. Ils ont un avis comme d’autres ont une Rolex ou un polo Lacoste. Ils ont un avis, parce que ça fait bien. Ce sont ceux que Molière appelait « des poseurs ». Cela resterait sans conséquences s’ils n’envahissaient pas le net et les réseaux sociaux. Du coup, ils pétitionnent, demandent des like, des partages et vous engluent l’esprit dans des à-peu-près stupides et même parfois dangereux.
Ma grande coquetterie, c’est de dire modestement quand on me demande ce que je pense de tel ou tel événement : « Je n’ai pas tous les éléments, j’avoue que je ne sais pas quoi en penser ». Certains me toisent mais je sens que d’autres sont saisis…
On a les coquetteries qu’on peut !
Le coup de cœur :
À mes yeux, un album réussi parle aussi bien aux enfants qu’aux grandes personnes. Je n’aime pas les livres régressifs qui flattent bas et exigent peu. C’est la raison pour laquelle j’aime Le roi sans terre de Marie-Sabine Roger et Sylvie Serprix (Casterman).
Ici, la langue est belle, la phase se donne le droit de l’allonger tant que le propos n’y est pas entièrement tenu. Les images montrent sans illustrer, s’offrent comme supports à la rêverie suggérée par les mots. Les techniques diverses, tampons, gouaches, grattages servent l’histoire en mettant en valeur la multiplicité des éléments qui s’accumulent dans le manteau du roi. Parlons de l’histoire justement : elle est simple, linéaire au sens de la linéarité de la flèche. Elle groove, comme on dit en musique, elle avance, au rythme des pas du héros, elle s’assume. Un roi cherche où habiter. Il voyage et son manteau, comme par magie, s’agrandit et accueille flore, faune, paysages. « Il était beau de la beauté des arbres, dur de la dureté des pierres, pauvre comme le vent ». Mais il était aussi « riche de son regard posé sur toute chose…le monde et ses enchantements ».
Bien sûr, ce Roi trouvera un pays, mort, hélas. Mais la vie s’échappera de son manteau et prendra racine. « Toute la vie cachée autour de lui prenait son vol, son pas, sa course. Son essor. »
Ainsi sommes-nous, auteurs et faiseurs d’images. Nous traçons notre route et accumulons dans les plis secrets de notre mémoire les graines minuscules qui feront nos histoires. Personnages et décors, intrigues et destins, mêlés comme dans un écheveau que seule l’écriture saura dénouer.
J’aime Le roi sans terre. Parce qu’il parle de nous, de nos vies, de nos routes, de nos parcours. J’aime cet album parce qu’il nous dit que le regard ouvert, nous recréons des mondes. Et c’est une belle idée.
Bibliographie :
- Contes d’un roi pas si sage, illustré par Clémence Pollet, Seuil Jeunesse (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Mystère au palais, illustré par Bérengère Delaporte, Milan (2010).
- Carnavalphabet, illustré par Tom Schamp, Glénat (2007).
- Un jour, deux ours, illustré par Antoine Guilloppé, Milan (2007).
- Le livre des pourquoi, illustré par Tom Schamp, Milan (2006).
- Tukaï, l’enfant-sorcier, illustré par Frédéric Pillot, Milan (2005).
- Le pirate de la bouteille, illustré par Freddy Dermidjian, Milan (2005).
- Le livre des si, illustré par Tom Schamp, Milan (2004).
- La pêche aux nuages, illustré par Vincent Bourgeau, Milan (2003).
- Le parapluie volant, illustré par Vincent Bourgeau, Milan (2003).
- Les 4 saisons. Deux histoires par mois et des jeux pour toutes les saisons, illustré par Olivier Latyk, Milan (2003).
- Le livre des peut-être, illustré par Tom Schamp, Milan (2003).
- Bientôt Noël ! Une histoire par jour et des jeux pour attendre Noël, illustré par Olivier Latyk, Milan (2001).
Retrouvez Ghislaine Roman sur son site : http://www.ghislaineroman.fr.
Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
bonjour
plus petite ma fille a vu un deguisement de batman, elle l’a trouvé tres beau et a fait une comédie monstre pour que je l’achete malgré que je lui disais mais c’est un garçon, du coup, un an après batman ne s’appelle plus batman mais batwoman, dixit ma pépette, c’est bien plus joli et pour bien montrer que c’est une fille, elle ajoute deux doudous sous le costume pour faire un poitrine bien généreuse
la plage, que dire de la plage… nous y sommes allés dimanche et par chance, c’était marée basse (parce que sinon mince les galets ca fait mal) et nous en avons profiter pour partir à la chasse aux moules pres des falaises, c’était la premiere fois pour les enfants qui ont adoré et qui ont eu peur des crabes hihihi
encore merci
bonne journée
mon loulou a des “loups” avec des imprimés tigre, ours… il en met régulièrement un et vient grogner pour nous faire peur… pour l’instant, c’est ça les déguisements pour lui!
la plage par contre, il l’a découvert tout petit, et comme il adore l’eau, c’est chouette^^ il a fait ses premiers 4 pattes dans le sable!
Je ne sais pas si j’ai le droit de le dire à un Parisien, mais la plage, on va y prendre le goûter après l’école ce soir (oui, mercredi, pour une fois, école pour les petits)… Je connais ma chance et je la savoure !
Les déguisements, c’est aussi quelque chose ici. De la jupe improvisée à partir d’un de mes foulards au vrai déguisement de lion ou de princesse, on y a régulièrement le droit. Et les voir courir comme des fous et interpréter leur rôle avec cœur, je trouve ça super chouette !
Merci pour ce concours !
Ségolène
Plages et déguisements, sont toujours inoubliables avec les petits-enfants!
Un beau dimanche ensoleillé, la décision a été vite prise – quand on a la chance d’avoir un papy pilote d’avion, et qu’on habite loin de la mer, il faut se décider vite fait – direction la plage de Granville. Mais aller à la plage sans un seau de plage, non mais !!! ça n’est pas possible! Et pas de magasin ouvert le dimanche, bien sûr !
Vite, vite, le tour de la maison : qu’est-ce qu’on peut prendre pour remplacer? Le trésor est dans la cuisine: une vieille passoire plastique, et hop ! Une passoire est « presque » parfaite pour faire des châteaux de sable, et impeccable pour ramasser les coquillages ! Personne n’y a trouvé à redire !
Je garde aussi un souvenir tendre, d’un soir de réveillon du 1er de l’an.
Entre chaque plat: musique, on danse! Et quand le papy a sorti du placard un immense carton, plein de gilets de cow-boys, bandeau de pirate, robe de gitane, djellaba, perruques roses, bleues, blanches, des lunettes de toutes les couleurs, qui mangeaient le visage, ç’a été la fête ! Et avant de se coucher: un feu d’artifice tiré dans le jardin, par le papy (toujours dans les bons coups) ! Je revois mes deux loulous, sur la pointe des pieds derrière la fenêtre, leurs cris émerveillés, à chaque fusée qui éclatait dans le noir…
Je suis une grande fan de Janik Coat, une vie d’ours est un bouquin qui a initié de longues conversations avec mon petit garçon.
Je participe donc volontiers aux deux concours
Pour vous parler de costume je vais aussi vous donner un truc de parents pratique. Nous sommes allés visiter récemment le chateau de Vaux le Vicomte et, idée de génie, à l’entrée ils louent des costumes aux enfants, qui, tous fiers de parader en mousquetaire ou en baronne, oublient de s’ennuyer pendant la visite !
Pour la plage nous sommes ici impatients de retrouver cet été encore le pays basque où mon fils est le champion toutes catégories des pêches à rien. La pêche à rien, tradition familiale, nous permet d’attraper un nombre certain de crabes, poissons, coquillages etc que nous relâchons aussitôt sans jamais revenir avec notre butin vers la plage, on revient avec rien, mais on a drôlement bien pêché.
Eleanor a pleins de deguisements de princesse en tous genre ( inca, coccinelle, fee clochette), mais son deguisement préféré c’est d ’emprunter les affaires de sa maman, ses boucles d’oreille son rouge à levres et son crayon khol… je vous laisse imaginer le résultat.
quand j’etais jeune, avec mes 2soeurs, ma mere nous faisaient des costumes pour le carnaval : une année, on etait les 3 mousquetaires.
y a eu aussi une coccinelle, un robin des bois .. :-).
La plage, nous y allions tous les jours de l’été quand j’étais petite, avec ma mère, ma sœur, ma grand-mère, du matin 10h au soir 19h à la cabane sur les galets (je viens du Havre) et ce, qu’il pleuve, qu’il mouille, qu’il neige ou même, plus rare, qu’il fasse beau. Aujourd’hui il y a un petit bébé dans mon ventre et je suis revenue au Havre, j’aimerai lui faire connaître ces étés de bonheur même si je suis seule maintenant à habiter ici, en fait cela commence bien puisqu’il naitra en août ! Alors à défaut des histoires de grand-mère et de tata sur les galets, je lui lirai des petites histoires de Janik Coat : ).
Quel bonheur de voir une interview de Janik Coat. J’avais vu une de ses expos a la médiathèque de Poissy l’année dernière!
Un déguisement sur la plage, donc… (parce que je n’arriverai pas à choisir…)
En déguisement, j’en ai une sympa pourtant! Il y a 3 ans j’ai craqué pour un déguisement d’Alice au pays des merveilles à Londres. Seul soucis, depuis, on ne m’a pas encore invitée à un bal costumé, et j’en suis terriblement triste…
A la plage, à part que j’aimerais y etre à l’instant (quand est-ce qu’ils inventent la téléportation???), meme déguisée en Alice au pays des merveilles s’il le faut! (Ben quoi, il y a bien des mariées qui prennent un bain en robe…)
Elle a quatre ans et depuis le temps que sa mamoune-bibliothècaire lui susurre des histoires chaque soir (c’est chacun son tour avec papou), elle en devient folle. l’un de ses préférées c’est le petit chaperon rouge que sa mamoune aime dans la version illustrée par ilya GREEN. ..(elle a l’affiche dans sa chambre!). pour ses quatre ans ? qu’a t elle demandé ? LE DEGUISEMEMENT DU PETIT CHAPERON ROUGE !!!!! la mamoune bibliothècaire sachant un peu coudre : la petite de quatre ans a eu sa cape grenat ! une image de déguisement gravée à jamais dans la tête et dans le coeur de mère et fille
hello,
Merci pour ce concours, je tente avec plaisir!
ça me fait penser au fils de mon chéri, qui l’année dernière à décidé de mettre son costume spiderman alors qu’il faisait tres chaud et qu’on allait aller à la plage, résultat des courses, il boudait parce qu’il avait trop chaud et il ne voulait pas mouiller sa tenue ^^
bonne journée
A la maison, nous nous déguisons tous les jours : en gommettes, en petit suisse, en compote, en peintures, en glace au réglisse, en feutres, en terre… Et pour nettoyer tout ça, rebelotte dans la baignoire avec les savons peintures!
Pour les costumes, mes petits garçons apprécient tout autant de se déguiser en princesse, en danseuse orientale, en super héroïne qu’en chevalier, indien, petit prince ou roi avec toutes sortes d’étoffes, de plumes, grelots, batons et rouleaux de papier absorbant!
La plage, c’est toute mon enfance et je suis extrêmement heureuse que cela puisse aussi être celle de mes enfants.
La plage, tôt le matin, déserte, avec une eau limpide et calme.
La plage, battue par le vent et les vagues.
La plage, bondée, oú l’on joue, de loin, à deviner à qui appartiennent les serviettes en fonction de leur disposition (en étoile pour des adolescents, alignées pour des familles, etc).
La plage et ses rires, ses apprentissages.
Le bonheur de s’y rendre. La sérénité après un bon bain.
Et parfois, l’annonce d’une escale après une navigation en mer…
Merci pour ce concours, j’adore les albums de Janik Coat ! Tellement que je vais tenter ma chance pour les deux albums en parlant donc de déguisement et de plage donc !
Voici mes deux petites anecdotes:
Le souvenir d’un mardi-gras à l’école primaire où mes parents avaient eu le bonne idée de me déguiser en momie ! J’arrivai donc incognito, enroulée de mille bandelettes… Le problème fut juste au niveau de la respiration, pas très facile ! 😉
Pour ce qui est de la plage pour aller à l’opposé des doux souvenirs ensolleilés je parlerai de ma rencontre avec une vivve (peu sympathique) qui me permit d’être évacuée dans un pick-up ( le même que dans Alerte à Malibu 😉
A la plage, mon Petit-Pilote-de-balançoire adore inventer d’improbables architectures de sable avec son père.
A la maison, il se déguise en super grand frère avec la cape et le masque que sa grand-mère et sa marraine lui ont cousus pour la naissance de son petit frère.
Merci pour ce nouveau concours !
Bonsoir !!
La plage c’est super sympa sauf quand un chien venu d’on ne sait où se jette sur la construction des enfants et la réduit à néant …………………..Bon ben, et si on allait se baigner plutôt !
Toujours un paquet de fringues dans une malle
fringues rabiotées, malmenées, découpées, tirebouchonnées,
fringues à ” faire des déguisements”
“Non ce n’est pas pour l’école ! Bon chez Papygi, peut-être, on verra, non pas au mariage de Chloé !”
Non, Oui. Du temps à expliquer pourquoi ” ça se fait, ou ça se fait pas”. Des questions soi-même !!!!
A la mer, même scénar : la culotte, pas la culotte, la culotte oui mais une vraie de bain et puis après, se rhabiller, le plus naturellement du monde, enlevant le maillot mouillé parce qu’évidemment tout était bien sec mais il a fallu y retourner une dernière fois dans l’eau, ou développé tout un stratagème pour se cacher, cacher même ce qui avait été montré tout l’été !
Non, Oui. Du temps à expliquer pourquoi ” ça se fait, ou ça se fait pas”. Des questions soi-même !!!!
Alors…. j’aimerai tenter les deux !
Car, ici, on adooooore la plage ! le grand succès : remettre le sable dans la mer. Pour faire de la soupe, pour “ranger” le sable (on ne sait jamais, ca pourrait être leur maison hein !), les raisons sont diverses et variées !
Et les déguisements, grand succès également du chapeau pirate, de TOUTES (oui oui), toutes les couronnes de la galette des rois qu’elle a pu récupérer à droite et à gauche (comme ça ya la reine mère, le roi, la princesse et la mini-princesse…), des chapeaux en tout genre !
Et pis, elle a bien accroché à Janik Coat aussi 🙂 Son préféré : la Surprise (à ma grande surprise huhu).
Merci pour ce concours 🙂
Qu’ils font envie ces deux livres !
Les déguisements de mes filles, j’aime les faire moi-même. Elles ont été déguisées en Chapi et Chapo une année, les copains de classes leurs demandaient en quoi elles étaient déguisées, et pourquoi le chapeau est dans le dos et pas sur la tête ? Cette année, ma petite disait depuis des mois vouloir se déguiser en princesse, avec une robe récupérée d’une cousine plus grande. Deux jours avant le carnaval, volte face : “Non, je veux me déguiser en korrigan !” Vite, vite, on récupère des vieux déguisements, ont les assemble, on fait un bonnet avec deux oreilles pointues, et voilà une princesse en moins dans la classe !
On a la chance d’habiter à 20 minutes de la plage, mais on y va très peu souvent. Je n’ai pas besoin de voir la mer, mais pourtant je ne pourrais pas habiter loin d’elle. J’ai besoin de savoir qu’elle est là. Sans elle je me sens perdue, sans repère.
bonjour et merci pour ce chouette concours je tente volontiers!
on adore la plage, la mer, chaque été nous allons en vacances dans ma famille en espagne dans la costa brava et chaque année c’est pareil nous allons chaque jour a la plage le matin! mes filles adorent! et on rentre ensuite chez nous quand c’est la fin des vacances la tete remplie de souvenirs!
bonne journée!
Nous partons vivre au bord de l’océan, ça s’est décidé il y a deux semaines et le week-end dernier nous sommes allés voir, en famille, à quoi l’endroit pouvait bien ressembler. En arrivant nous sommes allés directement marcher sur le sable et notre fille (5 ans) à trouvé des coquilles de moules qu’elle a ramassé. Peu après, alors que nous exclamions joyeusement sur les trésors extraordinaires qu’offrait cet endroit, deux enfants curieux —attirés par tant d’allégresse— se sont approchés pour voir quelles merveilles nous avions eu la chance de trouver sur la plage. Quelle ne fut pas leur déception en découvrant nos bien banales coquilles de moules… Ce jour là, pour eux, c’était nous, la véritable curiosité du lieu !
Bonjour,
Merci pour le concours et le super cadeau.
Je participe avec plaisir.
Quand mon fils a vu la plage pour la première fois, il s’est jeté dans le sable puis dans la mer tout habillé…
Sinon, coté déguisement, il adore mettre les habits de son papa, ca traine par terre et il a du mal a marcher tellement c’est trop grand !!!
Encore merci et bonne continuation.
Bonsoir,
Ici ma fille parle de Père Noël constamment alors pour changer d’univers (on en avait un peu soupé faut dire) on a sorti les déguisements et maintenant on parle de clown, de pirate et de princesse et oui !
Merci et bonne soirée
D’abord un grand merci pour ce blog fort intéressant. Et ravie je suis de lire une interview de la grande J. Coat.
Ma petite participation au concours :
Dédicaces terminées, Janik Coat rentre chez elle. Elle ôte son maquillage, dans le miroir, Popov est là. Janik Coat lui sourit : – Au lit, répond l’animal. Il est l’heure d’aller rêver tandis que nous travaillerons. Janik Coat est endormie. Sur la plage, l’hippopotame fait de l’ombre aux dessins qu’elle invente dans le sable…
Bonjour à vous
et merci pour ce nouveau rendez vous !! l’univers de Janik coat est vraiment original, ça me plait et vous m’avez donné envie de découvrir ces ouvrages.
alors pour ce qui est de la plage, j’ai un problème avec le dernier qui veut constamment manger le sable !! je ne le comprends pas s’il y a une chose que je détestais quand j’étais gamin c’était d’avoir du sable dans la bouche^^
et pour le déguisement je me rappellerais toujours du premier halloween de la ptite, on l’avait déguisé en lapin (un lapin à croquer d’ailleurs^^) et nous mêmes étions déguisés en loup et louve !!! j’ai une photo rigolote d’ailleurs que je garde d’ailleurs toujours dans mon porte feuille sous forme de miniature.
je vous souhaite une belle journée
merci