Sur La mare aux mots, nous aimons mettre un petit coup de projecteur sur les éditeurs et les éditrices. Parce que si les livres sortent, c’est aussi (et surtout) grâce à ce métier de l’édition jeunesse. Aujourd’hui, c’est La Palissade que nous avons eu envie de vous faire connaître. On a rencontré Marie Queney et Loïc Limosin, et nous avons parlé de leur maison d’édition et de leurs parcours, leurs goûts. Ensuite, on retrouve une rubrique habituelle, le coup de cœur/coup de gueule. Régulièrement, nous aimons demander à une personnalité de la littérature jeunesse de nous parler de ce qui fait battre son cœur et ce qui l’énerve un peu. Cette fois-ci, c’est l’auteure Stéphanie Richard qui a accepté de nous répondre. Bon mercredi à vous !
L’interview du mercredi : Marie Queney et Loïc Limosin des éditions La Palissade
Comment est née La Palissade ?
Marie Queney : D’un coup de tête, d’un caprice, d’une douce folie.
Loïc Limosin : D’un coup d’amour, d’une inconscience, d’une très grosse envie.
D’où est venu ce nom, La Palissade ?
Marie : De la palissade que devait repeindre Tom Sawyer et qu’il arrive à faire peindre à tous ses amis en leur démontrant que c’est la plus marrante des activités.
Loïc : Ha oui ? C’est ça l’explication alors ?
Quelle est sa ligne éditoriale ?
Marie : Celle des coups de cœur. Et aussi on veut que ça pétille dans la tête et dans les yeux.
Loïc : Faut du croquant, du moelleux, faut que ça nous parle, qu’il y ait une prise de risque, un plat qu’on voudrait mettre à la carte de notre restaurant quoi !
Comment choisissez-vous les projets que vous éditez ?
Marie : Nous choisissons vraiment au coup de cœur. Mais aussi, nous essayons de penser à une certaine pertinence. L’idée étant de ne pas mettre sur le marché déjà saturé des livres déjà vus.
Loïc : dans l’ordre nous nous demandons : est-ce qu’on aime inconditionnellement, est-ce qu’il plaira encore dans 10, 20, 30 ans à l’enfant qui va le tenir dans ses mains et est-ce que le libraire va pas le mettre tout de suite dans l’étagère du haut !
Mais, pour l’instant, on ne trouve chez La Palissade que des albums 4-10, on va dire, pas envie de sortir des albums pour les tout-petits, des romans…
Loïc : Oh si, plein d’envies ! Des albums pour tout-petits ça demande souvent une fabrication particulière et ça veut dire faire imprimer en Chine ou en Malaisie mais ça c’est contraire à notre charte écologique (nous imprimons tout en France et sur papier PEFC). Du coup nous n’avons pas encore trouvé la bonne solution pour pouvoir en faire comme nous l’aimerions. Pour les romans on travaille sur le lancement d’une collection mais ça ne sera pas pour tout de suite. Et, grosse exclu, nous allons sortir notre première BD en novembre prochain !
Parlez-moi de vous, quel est votre parcours personnel ?
Marie : Nous venons tous les deux du cinéma, de l’image. Moi, j’étais assistante caméra
Loïc : et moi, je fais toujours de la lumière sur les tournages de films.
Quel est votre rôle à chacun au sein de la maison ?
Marie : je m’occupe de l’artistique : les maquettes, le graphisme. Je fais aussi les pré-choix éditoriaux (à la finale nous décidons ensemble).
Loïc : et moi de tout ce qui concerne la communication et la commercialisation. J’ai aussi un pied dans la fabrication.
Marie : Mais attention parfois nous sommes interchangeables !
Avec quel.le.s auteur.e.s rêveriez-vous de travailler ?
Marie : Olivier Tallec et Séverine Vidal
Loïc : Magali Le Huche et Benjamin Renner !
Quel regard portez-vous sur la littérature jeunesse actuelle ?
Marie : Elle est libre, trop fournie et trop fouillis mais libre et c’est l’essentiel.
Loïc : Pour moi il n’y a pas UNE littérature jeunesse actuellement mais plein de littératures très différentes qui flirtent avec les styles et les âges. En tout cas tout ça est très riche et très motivant.
Que lisiez-vous quand vous étiez enfant, adolescent.e ?
Marie : J’étais (et reste) une très grande fan de Roald Dahl, avec ma meilleure amie on passait des soirs entiers à lire Le bon gros géant ou Charlie et la chocolaterie, dans les albums c’était Héloïse et peut-être un des livres qui m’a le plus marquée enfant, ce sont les Cent mille milliards de poèmes de Raymond Queneau avec les languettes grâce auxquelles on pouvait former mille poèmes… Adolescente je lisais Zola, j’adorais les descriptions… eh ouais !! C’est dingo nan ?
Loïc : Mes meilleurs souvenirs enfants ce sont Le bonhomme de neige de Raymond Briggs, L’île aux lapins de Jörg Steiner et Le lion de Kessel. Mais j’ai aussi grandi avec Pif gadget, Kipling et Tolkien.
Dites-nous quelques mots sur les prochains livres que nous découvrirons chez vous ?
Marie : En février paraît Le voyage de Lorian illustré par Mickael El Fathi avec lequel nous avons publié Moabi, mais là le texte est de Mathilde Fonvillars. Ensuite un livre qui nous tient vraiment à cœur parce que c’est un premier album d’une toute jeune mais très prometteuse auteure-illustratrice Timide d’Élodie Perrotin. Puis un petit album poétique et coloré, fruit de la collaboration d’une Italienne et d’une Espagnole Miranda, étonnant ! Et plein d’autres choses, dont le Le Chapifoin illustré par Lucie Maillot. Des publications variées et… pétillantes.
Bibliographie :
- Le voyage de Lorian, texte de Mathilde Fonvillars, illustré par Mickael El Fathi (2016).
- Poussin Vert, texte de Marie-Hélène Lafond, illustré par Gwenaëlle Doumont (2016), que nous avons chroniqué ici.
- Neige, de Terkel Risbjerg (2015), que nous avons chroniqué ici.
- Moabi, de Mickael El Fathi (2015).
- Phototoutou, de Sylvie Serprix (2015).
- Ballon, de Terkel Risbjerg (2015), que nous avons chroniqué ici.
- L’oiseau qui avait avalé une étoile, texte de Laurie Cohen, illustré par Toni Demuro (2015), que nous avons chroniqué ici.
- Pouline, texte de Carine Foulon, illustré par Thanh Portal (2014).
- Gâteau, de Terkel Risbjerg (2014), que nous avons chroniqué ici.
- La petite fille en pain d’épice, texte de Céline Lamour-Crochet, illustration de Florian Le Priol (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Dédé le sablé, recette de Loïc Limosin, illustrée par Marie Quenotte (2014).
- Amélia la sorcière, texte de Carine Foulon, illustré par Élise Catros (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Cuisine vert avec Hubert, texte d’Aurélien Heckler, illustré par Aurélie Renard (2014).
- Gustave le Pirate, apprenti cuisinier de Margaux Allard (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Un repas chez les lapins de Pâques, texte de Carine Foulon, illustré par Élise Catros (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Hélène la madeleine, recette de Loïc Limosin, illustrée par Marie Quenotte (2013).
- Armand le fondant, recette de Loïc Limosin, illustrée par Marie Quenotte (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Bobby le cookie, recette de Loïc Limosin, illustrée par Marie Quenotte (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Toto profession doudou, de Marie Quenotte (2013).
Le site des éditions La Palissade : http://lapalissade.fr.
Concours :
Grâce aux éditions La Palissade nous allons pouvoir offrir à l’un.e de vous un exemplaire de Le voyage de Lorian, un album de Mathilde Fonvillars et Mickael El Fathi. Pour participer, dites-nous, en commentaire à cet article, si l’éditeur d’un livre est quelque chose qui compte pour vous quand vous choisissez un livre, si vous y faites attention. Nous tirerons au sort parmi toutes vos réponses, vous avez jusqu’à mardi 20 h ! Bonne chance à tou.te.s !
Le coup de cœur et le coup de gueule de… Stéphanie Richard
Régulièrement, une personnalité de l’édition jeunesse (auteur.e, illustrateur.trice, éditeur.trice…) nous parle de deux choses qui lui tiennent à cœur. Une chose qui l’a touché, ému ou qui lui a tout simplement plu et sur laquelle il.elle veut mettre un coup de projecteur, et au contraire quelque chose qui l’a énervé.e. Cette semaine, c’est Stéphanie Richard qui nous livre son coup de cœur et son coup de gueule.
Coup de gueule :
Je ne sais pas. Pourquoi je donne ? Pourquoi je ne donne pas ? Je ne sais pas.
Je vous vois tous les jours. Je vois vos yeux. Oui, je les vois parce que la seule chose dont je sois capable est de vous regarder toujours en face et de vous sourire. Et je croise aussi le regard de ma fille qui attend de savoir si maman va donner ou pas. Elle me guette. Et je ne sais pas. Pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi pas ? Il y a l’accordéoniste virtuose de la ligne 11, l’homme au visage cassé par l’alcool, défoncé au premier sens du terme, le jeune en prière à genoux à l’angle d’un couloir, le cul-de-jatte, l’homme à la peluche aussi grande que lui, la dame au sourire si doux devant la boulangerie, le joueur d’harmonica au pied du métro, l’enfant sur le chemin de l’école… l’enfant… qu’est-ce qu’on dit à un enfant d’une douzaine d’années seul sur un trottoir ?
– Pourquoi tu ne lui parles pas, maman ?
– Je ne sais pas quoi lui dire…
Et le regard de ma fille qui s’habitue, qui va devenir comme le nôtre, aveugle ou tentant de l’être.
Oui, parce que je vous observe aussi dans le métro, mal à l’aise ou ailleurs, définitivement ailleurs pour ne pas se colleter en face toutes ces vies broyées.
Et maintenant des forêts de tentes, des gens venus de loin, parqués sous nos métros, bousculés par nos flics, heurtés sûrement par notre indifférence.
Et non rien, définitivement rien, ne me fera penser que je ne peux rien y faire.
Non, je ne veux pas me planquer derrière des phrases parapluies qui me racontent que je ne peux pas sauver toute la misère du monde.
Alors pourquoi je suis là derrière un écran et pas dehors à apporter des couvertures ?
Coup de cœur :
Mais il y a des gens qui bougent ! Des tas ! Des gens qui ont trouvé le ressort, le moteur, leur indignation les a mis debout.
Parmi ces initiatives, il y en a une que j’ai découverte il y a peu et qui me plaît beaucoup.
Il s’agit de l’association « Viens voir mon taf » qui a pour vocation de mettre en relation des jeunes de troisième issus de REP (Réseau d’Éducation Prioritaire, anciennement ZEP) avec des entreprises, pour qu’ils puissent réaliser leur stage dans une branche qui leur plaît vraiment.
J’aime tout dans cette idée. Je la trouve généreuse, créative, ingénieuse.
L’association est toute neuve, elle ne demande qu’à grandir.
J’applaudis de toutes mes mains !
Le site de Viens voir mon taf : http://www.viensvoirmontaf.fr.
Bibliographie sélective :
- Marguerite, la reine des vaches, album illustré par Fabrice Mosca, Lire c’est Partir (2015).
- J’aime PAS le foot, album illustré par Gwenaëlle Doumont, Talents hauts (2015).
- J’aime PAS la danse, album illustré par Gwenaëlle Doumont, Talents hauts (2015), que nous avons chroniqué ici.
- Popy la tornade, roman illustré par Joëlle Dreidemy, Sarbacane (2015).
- L’abécédaire d’Agatha (conte zinzin), album illustré par Deborah Mocellin, Lire c’est Partir (2014).
Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
Bonjour,
Merci pour ce concours.
Pour ma part, lorsque je choisis un livre je ne prête pas forcément attention à l’éditeur: je me concentre sur l’auteur et l’illustrateur.
Bonne journée
Hello ! Merci de cette attention à laquelle je m’essaie !
Pour être sincère c’est une chose à laquelle je ne prête pas du tout attention.Sincèrement celà m’a même étonné cette question car j’ai réalisé que je n’y connais rien en sus !
Douce journée ,kissous !
Merciiii 😉 sonnic@orange.fr
En ce qui me concerne, étant bibliothécaire j’attache beaucoup d’importance à l’éditeur quand j’achète des livres.
Merci pour ce concours.
Bonjour, Merci pour ce concours.
Il m’arrive de regarder en effet qui est l’éditeur mais c’est plus par curiosité et je fonctionne au coup de coeur pour mes achats de livres. Bonne journée
Bonjour,
Oui bien sur, j’ai des éditeurs préférés,(pour les auteurs qu’ils publient, pour le papier qu’ils utilisent, pour les thèmes qu’ils abordent) chez qui je file régulièrement pour découvrir leurs nouveautés et préparer mes acquisitions. Mais quand je suis en librairie, je ne regarde pas l’éditeur quand je prends un livre et j’aime bien tomber sur un belle histoire et découvrir un nouvel éditeur.
Merci pour ce concours
Je ne choisis pas un livre en fonction de l’éditeur mais plus de l’illustration de couverture, puis de l’histoire. Et du coup de l’illustrateur et de l’auteur.
Bonjour,
chouette interview!
Moi je regarde les illustrations en premier, l’éditeur vient après, par curiosité.
Bonjour
Merci pour ce concours, je tente ma chance! J’achète beaucoup de livres de poche sans prendre forcément garde à l’éditeur. En revanche, quand il s’agit d’albums (je suis institutrice), je regarde davantage car je me rends compte que j’ai pas mal de coup de coeur qui viennent des mêmes éditions. Du coup quand ils en sortent de nouveaux, je les consulte en priorité. ça m’aide aussi pour trouver des livres qui correspondent à l’age et au niveau de lecture de mes élèves!Grâce aux pages facebook des éditions, c’est devenu beaucoup plus facile de trouver son bonheur! Merci, à bientôt
Bonjour.
En premier, non je ne prête pas vraiment attention à l’éditeur, je m’intéresse au livre, à son contenu (si je peux le consulter), à la description qui en est faite, à l’auteur et éventuellement à l’illustrateur(trice).
Mais je vais aussi parfois voir sur certains sites de maisons d’édition parce que j’ai des préférences, et puis c’est beau, ça fait envie …
Merci à toute l’équipe et pour ce concours !
Bonne journée.
Bonjour!
Pour ma part, j’aime plusieurs maisons d’édition alors mes albums jeunesses parviennent de plusieurs d’entres elles! Je regarde plutôt l’auteur, l’illustrateur et je lis la 4ème de couverture !
Bonjour,
L’éditeur fait partie de la triade pour choisir un livre: auteur, illustrateur, éditeur!
Bonne journée.
Bonjour !
Oui moi je regarde l’éditeur, j’ai quelques chouchous dont je sais par avance que les livres me plaisent par expérience mais je ne fais cela que pour les livres destinés aux enfants, pour moi c’est différent, je n’ai pas d’éditeur favori. Merci pour ce concours .
Celine
Bonjour
L’éditeur importe peu quant au choix mais c’est vrai que, dans un deuxième temps, je suis sensible à la “patte” de certaines maisons d’édition qui osent, qui prennent des risques …
Merci pour ce concours …
Bonjour,
Je fais attention à l’éditeur surtout quand je ne connais ni l’auteur ni l’illustrateur. Certains je leur fais confiance les yeux fermés : talents hauts, rue du monde, l’atelier du poisson soluble, la ville brûle, les ptits bérets…
En effet avec ces maisons, on n’est jamais déçus !
Bonjour,
Bien sûr il y a des éditeurs dont on sait que ce sont des valeurs sûres, tant par la qualité de leurs choix éditoriaux, que par leur politique “technique”, (impression en France papiers PEFC, cet…)
Mais le critère de choix au final, c’est quand même le coup de coeur pour un titre, grâce à l’illustrateur, l’auteur ou les deux !
Merci pour le concours ! Belle journée !
Bonjour je tente ma chance merci pour moi je trouve que cela est important à savoir si l’auteur est connu ou pas.merci à vous
Bonjour, merci pour ce concours. Pour répondre à votre question, quand je choisis un livre, ce qui compte en premier sont les illustrations et le texte. Mais quand un livre me plait vraiment, je garde en mémoire la maison d’édition et je suis les publications suivantes. Merci beaucoup et bonne journée à vous !
super cette chronique et génial ce concours !
La maison d’édition n’est pas ce que je regarde en premier quand je choisis un album dans une librairie. Par contre quand je vois passer un album sur internet (blog par exemple) j’y suis sensible car il y a des maisons d’édition dont j’apprécie d’autant plus la ligne éditoriale et qui ne me déçoivent jamais.
J’ai adoré l’oiseau qui avait avalé une étoile.
coucou, en général ce n´est pas la 1ère chose que je regarde mais parfois avec certaines maison d´éditions on est rarement décu et aussi le contraire avec d´autres on peut s´attendre á un livre bof.
Au départ je n’y fais pas attention, c’est les illustrations qui m’attire ou l’histoire, ensuite je regarde la maison d’édition par curiosité. A l’inverse je fais souvent des recherches par éditeur car j’aime leur ligne éditoriale, antisexiste par exemple ….
Bonsoir!
Très bonne question !!!
A dire vrai non l’éditeur n’est pas pour moi un critère d’achat !
mais il est vrai que souvent j’achète des livres du même éditeur donc c’est peut être que celui ci est une valeur sûre pour moi !
je suis fan fb sous le nom : olivia philippe
merci et croisons les doigts!
Bonjour
J’allais dire moi aussi que je regarde d’abord l’auteur et l’illustrateur, souvent l’illustrateur en 1er d’ailleurs.
Et je m’aperçois que je craque sur tous les bouquins de La Palissade dont vous montrez les visuels parce que j’ai déjà croisé ces livres ici ou ailleurs… alors certainement que l’éditeur compte aussi pour moi, plus que je ne le pensais…
Bonsoir!
En effet, je me rends compte que je suis de plus en plus attentive à l’éditeur au moment de choisir un livre. De toute façon, bien souvent je reviens vers les mêmes et mon choix se fait en général là dessus puisque je connais leur ligne éditoriale et que j’y adhère totalement.
Merci pour ce concours et pour cette question très intéressante!
Hello,
Je tente ma chance avec plaisir. Et pour répondre à la question, non, je n’y fais pas vraiment attention…
Merci.
bonsoir
merci de nous gater je tente ma chance
pour oi l editeur n a aucune importance
Bonsoir!
Ouf! J’ai failli ne pas participer à ce merveilleux concours! Je REVE de ce livre! Il a l’air somptueux!!!!
Bref… Je m’égare…
L’éditeur compte pour moi: j’ai mes petits chouchous! Mais ce sont surtout les auteurs/ illustrateurs qui me poussent à découvrir un livre!
Merci pour ce concours et gros bisous à vous tous!!!
C’est dimanche soir, un peu de chaleur humaine fait du bien!
merci pour ce concours ! la première chose que je regarde c’est surtout l’illustrateur et ensuite la maison d’édition ! Bonne journée !
Bonsoir, je tente ma chance alors oui cela fait partie des critères pour moi merci à vous et bonne soirée
Bonsoir, merci pour cet article ! Pour moi la maison d’édition n’est pas ma priorité mais j’en tiens compte !
Guillo_sabine (at) Hotmail.com
Bibine