Je connais le travail d’Olivier Latyk depuis le très bel album La vie merveilleuse de la princesse Olga (que je vous conseille fortement si vous ne le connaissez pas). J’avais envie d’en savoir plus sur son parcours, son travail. Je lui ai posé quelques questions, il a accepté de me répondre. À la suite de cette interview, vous pourrez tenter de gagner deux exemplaires d’Éliott, une de se séries. Ensuite, c’est Juliette Grégoire, l’éditrice de L’initiale, une maison d’édition que nous est cher, l’invitée de notre rubrique Le coup de cœur/coup de gueule. Bon mercredi à vous !
L’interview du mercredi : Olivier Latyk
Comment êtes-vous devenu illustrateur ? Parlez-nous de votre parcours ?
J’ai eu un parcours scolaire assez classique dans les Arts Appliqués, qui m’a amené petit à petit vers l’édition jeunesse, par amour des livres et de l’image.
Après mon bac Arts Appliqués à Nancy, j’ai étudié le graphisme à l’école Olivier de Serres à Paris pendant 2 ans. Et je suis parti aux Arts Décoratifs de Strasbourg dans l’atelier Illustration.
J’ai travaillé tout de suite en sortant de l’école. Je n’ai jamais exercé d’autre métier.
Aujourd’hui j’illustre principalement des textes pour la littérature de jeunesse, en France et au Royaume-Uni. Je fabrique de temps en temps des coffrets de jeux pour Djeco. Je fais aussi des images pour les adultes, la presse ou la publicité.
J’ai travaillé en atelier pendant huit ans à Bordeaux, avec mes amis Régis Lejonc, Alfred, Richard Guérineaux et Henri Meunier. Nous sommes le collectif Flambant Neuf !
Je suis parti vivre deux ans à Edimbourg. Un petit passage à Lille, me voilà Arlésien depuis quelques mois.
Quelles techniques d’illustration utilisez-vous ?
Je fais mes crayonnés et mes images en couleur sur mon ordinateur, avec une tablette graphique.
L’outil numérique me permet beaucoup de souplesse dans les étapes de création. Dans un temps assez court si je le souhaite, je peux hésiter, tenter plusieurs choses, ajouter des matières, coller des bouts d’images, revenir en arrière… pour mieux choisir à la fin.
Le dernier livre que j’ai illustré avec mes peintures et pastels, date d’il y a 10 ans. Je vais y revenir tout doucement, à la rentrée prochaine.
J’ai toujours un carnet sur moi pour noter des idées. Je dessine aussi beaucoup d’animaux sur des post-it, au feutre.
Pouvez-vous nous dire quelques mots sur la série Eliott ?
La série Eliott propose de raconter le quotidien d’un enfant qui a entre 2 et 4 ans.
L’école d’Eliott a été le premier titre, sorti à la rentrée 2014 chez Gallimard jeunesse. Au travers de 8 double-pages animées de flaps, on montrait les grands moments d’une journée à l’école maternelle : l’arrivée, la classe, les activités en salle de motricité etc. Pour représenter le personnage principal, on s’est très vite orienté vers un petit tigre, parce qu’il permettait une forte anthropomorphisation, il avait été peu utilisé comme héros pour les petits, et qu’à notre avis il inspirait beaucoup d’empathie ou d’affection. Pour planter le décor précisément, j’ai pris des photos dans l’école de ma fille à Lille. Françoise de Guibert, l’auteure de la série, a fait la même chose de son côté en Bretagne. Et j’ai compilé ce qui nous intéressait dans les premiers dessins… Le défi était de brosser le portrait d’une école contemporaine et vivante !
Le grand chantier a été pour moi tout le « character design » du personnage principal, mais aussi des personnages secondaires (les parents, les enfants et leurs doudous, la maîtresse…) Il a fallu imaginer beaucoup d’autres animaux avec un caractère propre à chacun.
Au moment de faire les images de L’école d’Eliott, je connaissais l’intention de l’éditeur de décliner après cet univers en une série de courtes histoires autour des grands thèmes de la vie quotidienne des petits (les moments de l’année, les étapes de la vie, les émotions…). La charte graphique que nous mettions en place dans ce premier livre allait se décliner plus tard dans beaucoup d’autres titres ! Pour moi c’était ambitieux… Il ne fallait pas se louper, et anticiper beaucoup de choses. Je ne suis pas assez fortiche pour tout ça. Il a fallu l’œil bienveillant de Françoise et de nos éditeurs pour harmoniser l’ensemble et rester cohérents.
On commence à avoir des petits fans, c’est mignon… Aujourd’hui la série compte 8 titres (Eliott cuisineavec son papa, Eliott adore jardiner…) + L’école d’Eliott. Deux petites pochettes d’autocollants arrivent en Juin. On travaille actuellement sur L’imagier d’Eliott qui sortira en Septembre 2016.
L’univers d’Eliott est assez réaliste, parfois même documentaire. À peu de choses près, j’ai l’âge des parents d’Eliott. Mon quotidien est ma principale source d’inspiration pour mettre en scène la série. Elle m’invite à regarder avec encore plus d’attention la vie de mes filles, leurs émotions, les copains-copines… Dans Eliott en vacances, il part chez ses grand-parents en Bretagne. Il passe dans la chambre dans laquelle sa maman a grandie. Ca a été intéressant de mettre en scène cette pièce, de choisir les vieux jouets au sol, les affiches 80’s au mur… On s’adresse surtout à notre petit lecteur, ça ne nous empêche pas un clin d’œil aux parents de temps en temps.
Quelles étaient vos lectures d’enfant, d’adolescent ?
Enfant, j’ai été abonné à quasiment toutes les revues de Bayard-presse, année après année. Aussi, mes parents m’emmenaient à la petite Bibliothèque pour tous de mon village, en Lorraine. J’empruntais des bande-dessinées. Et pour faire bonne impression, parfois je prenais un roman épais (dont je lisais -avec beaucoup de sérieux- uniquement la quatrième de couverture).
Le déclic s’est produit dans les premières années de collège, quand j’ai lu en classe Niourk, de Stefan Wul. Un roman court de science-fiction. Et surtout, un peu plus tard, 1984 de George Orwell. À ce moment, je me suis mis à lire régulièrement.
Mais avant, la séduction qu’exerçait sur moi les images, et l’énergie que ça me donnait pour dessiner, étaient trop forte. Le goût des mots est venu après celui des images.
Et quel.le.s sont les illustrateurs.trices qui vous inspirent aujourd’hui ou dont le travail vous séduit, tout simplement ?
Serge Bloch, Michael Sowa, David Shrigley, Béatrice Alemagna, Mario Ramos, François Avril, Kitty Crowther, Régis Lejonc, Axel Scheffler.
Quels sont vos projets ?
Je viens de terminer d’illustrer Le magicien d’Oz, publié par Flammarion. Et un livre documentaire sur L’espace avec Tourbillon, il y aura une quarantaine de flaps, tirettes et autres animations…
En ce moment j’illustre un texte génial de Susie Morgenstern. Avec Françoise de Guibert et Gallimard, on travaille donc sur L’imagier d’Eliott… Et d’ici la rentrée, j’ai plusieurs projets de livres avec des éditeurs Anglais.
Une dernière question, si quelqu’un qui ne vous connaît pas lit cette interview et veut vous découvrir avec un seul de vos ouvrages, lequel lui conseilleriez-vous
Le merveilleux voyage de Nils Holgersson, adapté par Kochka (Père Castor Flammarion). J’ai aimé dessiner ces grands espaces, ce petit bonhomme perdu dedans, la neige poudrée et le froid.
J’étais un grand fan du roman de Selma Lagerlöf, que j’ai relu. J’ai commencé par regarder comment d’autres avaient traité l’histoire avant moi. C’est toujours impressionnant de toucher à une œuvre du patrimoine, aussi profonde, autant aimée.
L’éditeur m’avait donné deux contraintes.
La première était de l’illustrer en bichromie, et non pas en quadrichromie comme d’habitude. J’ai choisi un bleu et un rouge, la superposition -parfois aléatoire- de ces deux couleurs en créait une troisième plus sombre, qui me plaisait. Je me suis rendu compte que quand on retire une couleur à sa palette (voire deux), bizarrement, quelque chose en plus apparaît ailleurs.
En plus de ces illustrations « bleu+rouge », la deuxième contrainte était la présence de six pages découpées au laser réparties à l’intérieur du livre. Pour cela, j’ai dessiné six illustrations en noir et blanc. L’éditeur les a « trouées », en gardant les parties noires et faisant disparaître ce qui était blanc.
Le papier choisi n’était pas forcément très épais… Or ces pages devaient être solides, résister à la manipulation, c’est tout le problème des livres découpés ! J’ai du composer mes images en fonction de la solidité future de la page, et faire attention qu’il n’y ait aucune zone vraiment fragile. J’ai composé mes images au milieu d’un cadre… Et à plusieurs reprises j’ai ajouté de grands arbres qui barrent la page dans sa hauteur : très efficace…
Dans ce cas, la narration passe un peu au second plan. On propose plus une image décorative, qui surprend par l’effet « dentelle ». Ou parce qu’apparaît à travers les découpes, un peu du dessin de la page en dessous.
Le livre a maintenant une belle vie, c’est chouette. Il va être traduit en Anglais, Italien, Espagnol…
Bibliographie (sélective) :
- Série Éliott, illustration de textes de Françoise de Guibert, Gallimard Jeunesse (2014-2016), que nous avons chroniquée ici et là.
- Mon imagier de la poésie, illustration de texte d’un collectif, Gallimard Jeunesse (2016).
- Cendrillon, illustration d’un texte d’Élodie Fondacci, Gautier Languereau (2016).
- Une recette top secrète, illustration d’un texte de Quitterie Simon, Nathan (2016).
- Le merveilleux voyage de Nils Holgersson, illustration d’un texte de Kochka d’après Selma Lagerlöf, Père Castor (2015), que nous avons chroniqué ici.
- Les chantiers magnétiques, illustration d’un texte de Marie Fordacq, Tourbillon (2015).
- Série Yoki, textes et illustrations, Actes Sud Junior (2014-2015), que nous avons chroniqué ici.
- Cache-cache des grosses bêtes et Cache-cache des petites bêtes, illustration de textes de Christel Denolle, Nathan (2014), que nous avons chroniqué ici.
- En voiture ! Mes premiers pas sur la route, illustration d’un texte de Christelle Huet-Gomez, De la Martinière Jeunesse (2013), que nous avons chroniqué ici.
- La merveilleuse légende de Saint Nicolas, illustration d’un texte de Corinne Albaut et Sylvie Pierre, Actes Sud Junior (2013), que nous avons chroniqué ici.
- L’imagier de la couleur, coécrit avec Corinne Albaut et Jean-François Alexandre et illustrations, Naïve (2013), que nous avons chroniqué ici.
- La petite Louise, ses voyages et son accordéon, illustration d’un texte de Marc Perrone et Marie-Odile Chantran, Actes Sud Junior (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Contemimes : comptines à mimer et chanter, illustration d’un texte de Corinne Albaut, Naïve (2011), que nous avons chroniqué ici.
- La vie merveilleuse de la princesse Olga, illustration d’un texte d’Olivier Ka, Éditions l’édune (2009), que nous avons chroniqué ici.
Concours :
L’un.e de vous va gagner les deux dernières aventures d’Eliott, Eliott n’aime pas qu’on l’embête et Eliott adore jardiner, grâce aux éditions Gallimard. Pour participer, commenter cet article, nous tirerons au sort parmi vos commentaires. Vous avez jusqu’à mardi 20 h ! Bonne chance à tous et à toutes !
Le coup de cœur et le coup de gueule de… Juliette Grégoire
Régulièrement, une personnalité de l’édition jeunesse (auteur.e, illustrateur.trice, éditeur.trice…) nous parle de deux choses qui lui tiennent à cœur. Une chose qui l’a touché, ému ou qui lui a tout simplement plu et sur laquelle il.elle veut mettre un coup de projecteur, et au contraire quelque chose qui l’a énervé.e. Cette semaine, c’est Juliette Grégoire qui nous livre son coup de cœur et son coup de gueule.
En décembre 2015, j’ai découvert (les libraires sont des gens formidables et l’Alinea de Martigues est exemplaire) un ouvrage paru en 2009 aux éditions de Minuit : Survivance des lucioles de Georges Didi-Huberman. C’est lui mon coup de cœur.
Georges (on va l’appeler ainsi parce que c’est son prénom et que c’est joli) est philosophe, historien de l’art et maître de conférence à l’EHESS. Georges donc, s’appuyant un peu sur Dante et beaucoup sur Pasolini, fait l’examen de l’idée des lucioles comme métaphore de l’humanité, une humanité en marche, en résistance, même fragile, presque invisible ou de façon fugace : « L’humanité réduite à sa plus simple puissance de nous faire signe dans la nuit. »
Et ces signes quels sont-ils ? « Des lueurs de pensées, de poésies, de désirs, de récits à transmettre coûte que coûte. »
Alors moi, je suis éditrice et voilà que Georges vient de décrire exactement ce que je cherche : Transmettre des lueurs ! Ce n’est pas présomptueux, c’est la moindre des choses, le minimum syndical. Je ne prétends pas y parvenir tout le temps, c’est difficile de transmettre des lueurs, des vraies, des humaines, pas des leds. Mais quelquefois, je suis contente.
Il me semble qu’avec ce texte, Georges dit quelque chose d’important sur la noirceur des temps, sur l’humain et sur l’espoir. Que partant, cela doit être raconté aux enfants. Et hop, un album est en cours à ce sujet qui devrait paraître en octobre et qui s’appellera : Des lucioles. (Merci Georges pour votre confiance !)
Il conclut : « (…) dans la nuit ne cessent ni le regard ni le désir, capables d’y retrouver des lueurs inattendues (…) » Et vous savez quoi, moi : je le crois !
Pour mon coup de gueule, c’est celui du chanteur-auteur-compositeur de reggae : Tiken Jah Fakoly dont le 7ème album, sorti en 2004, porte ce nom : Coup de gueule !
Tiken Jah (on va l’appeler ainsi parce que c’est son prénom et que c’est joli…) est né en Côte d’Ivoire. Ses chansons parlent d’injustices, de corruptions, d’oppressions, de dictatures, de pillages des richesses. Il dit que sa musique est faite pour éveiller les consciences : « Après l’abolition de l’esclavage, ils ont créé la colonisation. Lorsque l’on a trouvé la solution, ils ont créé la coopération. Comme on dénonce cette situation, ils ont créé la mondialisation. Et sans expliquer la mondialisation, c’est Babylone qui nous exploite. » Autant dire que Tiken Jah n’a pas que des amis ! Il organise de nombreux évènements culturels, spectacles, rencontres, débats… au Mali et en Côte d’Ivoire évidemment mais aussi en Guinée, au Burkina Faso, au Niger. On peut aussi lire le livre de D. Koffi : Tiken Jah Fakoly, les enjeux des coups de gueule, paru aux éditions Balafons, Abidjan, en 2014.
Ouf : encore quelqu’un qui pense (bien), qui dit (haut) et qui agit (fort) ! Bref, ça ressemble plutôt à une pirouette mais : C’est un coup de cœur, ce coup de gueule !
Juliette Grégoire est éditrice (L’initiale).
Les derniers titres :
- Quels nez !, texte et illustrations de Jeanne Brundu (2016).
- J’aime pas la salade, texte d’Isabelle Simon, illustré par Dora Kieltyka (2016).
- Victor viens voir, texte de François David, illustré par Florence Laude (2015).
- Qui porte le chapeau ?, texte d’Anne-Claire Lévêque, illustré par Caroline Dalla (2015).
- Les trésors d’Élinor, texte d’Elsa Valentin, illustré par Amandine Cau (2015), que nous avons chroniqué ici.
- Attention ! Chantier amoureux, texte de Pierre-Emmanuel Dufour, illustré par Julie Grugeaux (2015), que nous avons chroniqué ici.
Le site de L’initiale (qui donne la possibilité d’accéder au feuilletage intégral de tous les albums, il suffit de cliquer sur les couvertures, mais aussi l’accès aux fiches philo pour la collection Philo et citoyenneté) : www.linitiale.com.

Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
Bonjour!
Merci pour cet interview et cette merveilleuse découverte!
je suis fan fb sous le nom : olivia philippe
je tente ma chance avec plaisir!
Merci et croisons les doigts!
Bonjour !
Je tente ma chance, je connais un petit Eliott auquel cette série que je ne connaissais pas devrait plaire. J’aime beaucoup l’histoire de Nils Holgersson et cette version m’a l’air très jolie, j’avoue que je ne connaissais pas Olivier Latyk et je vais suivre son conseil pour découvrir son travail en commençant pas ce bel album. Bon mercredi
Hey la Mare!
Je tente ma chance pour découvrir Eliott!
🙂
Bonjour,
Quand “L’école d’Eliott”est sorti à la rentrée 2014, je ne pouvais pas le rater parce que mon Eliott faisait sa première rentrée à l’école maternelle. Alors nous l’avons acheter .
Sinon j’aime beaucoup ce prénom 🙂
Comme mon Eliott aime bien m’aider au jardin potager. Je suis certaine qu’il aimerai bien lire la nouvelle aventure de cet Eliott. Alors nous participons avec envie.
Et moi, je suis bien curieuse de voir ” Le merveilleux voyage de Nils Holgersson.
Merci La mare au Mots
Bonjour! Alors ça, c’est vraiment rigolo! Je ne connaissais pas du tout olivier latyk auparavant. Enfin, c’est ce que mon cerveau fatigué et en manque de sommeil, se disait en commençant la lecture de l’article. Mais je m’aperçois alors que ma fille, est en amour pour ses livres. A chaque retour de la bibliothèque, depuis son entrée à la maternelle, elle revient souvent avec des livres la série Eliott ou Yoki. ahahaha, alors oui en fait, j’ai une idée de son travail. Ici nous le connaissons bien 😉 Alors je tente ma chance svp pour mes 2 grenouilles, surtout la plus âgée qui est totalement fan.
Hello,
Je tente ma chance avec plaisir.
Merci.
Olivier Latyk est venu dédicacer chez ma libraire préférée (la Charpente) l’année dernière. On a bien fait d’en profiter puisqu’il est déjà loin du Nord.
Bonjour La Mare aux mots!!
Merci encore pour ce beau mercredi!! J’avoue que je ne connaissais pas Olivier Latyk ni sa série Eliott et je sens qu’elle me plaît déjà. Donc je tente avec plaisir!! Pour cet illustrateur, lorsque j’ai regardé ses ouvrages, je me suis rendue compte que j’avais acheté un des ses livres pour mon neveu, Les chantiers magnétiques que je conseille fortement! Il est extra, et les illustrations sont top!!
Bonne journée!
Ma fille de deux ans et demi adore son album “Eliott cuisine avec son Papa”. Je reconnais que les dessins sont effectivement réalistes. La déco suédoise du salon, les meubles 70’s parfois. Réalistes tout en étant assez simplifiés pour que l’enfant s’attache.
Le dosage parfait que les enfants recherchent.
Rose, avec ses 9 ans et demi est un peu grande pour les aventures d’Eliott, mais ce serait parfait pour mon neveu et ma niece qui fêtent leur 3 ans mi juin 🙂
Bonjour, Eliott a son petit succès par ici (je suis assistante maternelle) et je serai heureuse d’ajouter ses deux dernières aventures à notre bibliothèque 🙂
Bonsoir, je vais jouer pour ma fille Ét Eliott son copain de Creche !
Merci pour cette decouverte, je ne connaissais pas !
Bibine
Bonjour et merci pour cet article,
je tente ma chance pour découvrir la série d’Eliott avec mon petit-fils !
bonjour !
je joue avec plaisir
merci pour cette jolie découverte et bonne semaine
Bonjour,
Je suis sûre que mon mini adorerait, alors je tente avec plaisir !
Merci pour ce bel article qui nous donne envie de faire lire.
Bonne journée
Et me voilà totalement à la bourre pour commenter…mais j’ai une excuse, j’étais malaaaaade m’sieur!
La série des Eliott serait parfait pour ma puce de deux ans et demi. Et je pense que je vais me procurer le premier tome pour la rentrée de septembre prochain (mon bébé rentre à l’école, ouuuiiiiiiinnnnn [bouche grande ouverte, fontaine de larmes…bah quoi, comme la plupart des parents trentenaires, j’ai été élevée à Nicki Larson moi!] ).
Et je crois que l’album sur Nils (qui figurait sur mon verre à moutarde quand j’étais petite…oui, vous saurez tout de moi ce soir!) va trouver sa place dans ma collection perso de livres jeunesse (rien qu’à meuwa d’abord)!
Bravo à domy de Quimper