Aujourd’hui, on retrouve deux héroïnes intrépides et courageuses ayant en commun l’amour des mots : la petite porteuse d’eau Pernelle qui nous fait découvrir son Moyen-Âge et Angélique jeune fille noble qui vit à Versailles.
Pour lire la suite, vous devez être abonné·e (nos abonnements commencent à 1 € par an !).
Pour découvrir des articles gratuits avant de vous abonner, cliquez ici (nos interviews, elles, sont toutes en accès libre).
Déjà abonné·e ? Connectez-vous ici.
À la cour de Louis XIV : journal d’Angélique de Barjac de Dominique Joly Gallimard Jeunesse, dans la collection Mon histoire. 10,50 €, 140×195 mm, 167 pages, imprimé en France, 2015. |
La porteuse de mots d’Anne Pouget Casterman 6,25 €, 125×179 mm, 197 pages, imprimé en Espagne, 2016. |
Née au début des années 90s, tour à tour professeure, amoureuse de la vie, de la littérature, de la musique, des paysages (bourguignons de son enfance, mais pas que…), des films d’Agnès Varda, des vers de Cécile Coulon et des bulles de Brétecher. Elle a fait siens ces mots de Victor Hugo “Ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent”.
la porteuse de mots a été un des romans que j’ai préféré l’année dernière.
J’ai vraiment suivre Pernelle. Un personnage comme je les aime.
J’ai découvert ces procès d’animaux (à mourir de rire). J’ai eu la chance de rencontrer Anne Pouget en janvier dernier et elle est aussi fascinante que son personnage.