En ces jours pendant lesquels l’automne s’installe, je vous propose deux chroniques végétales pour deux superbes albums qui invitent à voir au-delà du feuillage…
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Mirabelle Prunier![]() ![]() Texte d’Henri Meunier, illustré par Nathalie Choux Le Rouergue 16€, 210×282 mm, 40 pages, imprimé au Portugal, 2020. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Dans la forêt![]() ![]() de Ghislaine Herbéra Éditions MeMo 14€, 206×239 mm, 44 pages, imprimé en Europe, 2020. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |

J’aime les gens qui doutent, aller voir ailleurs si j’y suis, oublier le temps dans une librairie, boire du vin et du thé, entretenir mon goût démesuré pour les petites listes… Amoureuse du cinéma de Miyazaki, des chansons de Pierre Lapointe, des pinceaux de Mélanie Rutten, des BD de Renaud Dillies, de la poésie de Vinau, des livres illustrés et des romans qui bousculent avec de jolis mots.
Il serait peut-être temps, dans les articles consacrés à la littérature jeunesse, de parler du travail des illustrateurs de manière plus substantielle. Ici, à part un “superbement illustré par Nathalie Choux” pour Mirabelle Prunier, rien. Ni précisions sur le médium choisi, ni petit travail d’analyse, même sommaire, sur le point de vue de l’artiste, les couleurs mises en avant, la lumière, les angles d’observation, rien ! Et pourtant Nathalie Choux est une grande artiste passionnante ! Et c’est ainsi partout dans la presse, le plus souvent. Comme si l’image était juste un habillage, voire une déco ! Comme si l’image n’était qu’une affaire de technique, et n’avait rien à voir avec la perception, le langage, la pensée. Comme si le travail des illustrateurs était interchangeable et superflu. Or non, sans images, point d’histoires illustrées, point d’albums, point de littérature jeunesse. L’appréciation esthétique demande de la patience, de la culture et du travail. Alors au boulot, chers chroniqueurs ! 🙂 🙂
Bonjour,
Je me permets de répondre, en tant que rédacteur en chef et mes propos n’engagent donc que moi (pas la chroniqueuse visée, mais dans vos propos toute l’équipe est concernée).
Déjà je voudrais vous rappeler que toute l’équipe est totalement bénévole (y compris moi-même), et non professionnelle de la critique. Nous avons tous et toutes d’autres métiers par ailleurs.
La critique d’ouvrage est un passe-temps que nous avons, en plus de nos métiers. Quelque chose que nous faisons par passion.
Donc j’avoue que le “Au boulot” est un peu violent, car du boulot… ne vous inquiétez pas… nous en avons !
Je ne pense pas non plus que nous manquons de culture, mais je vous laisse juge.
Toujours est-il que nous faisons ici les critiques comme nous souhaitons les faire, sur notre temps libre et que je comprends bien que ça ne vous plait pas… mais c’est notre manière de les faire. Depuis la création du site.
Si vous cherchez un site d’analyse, c’est évident que vous vous êtes trompée d’adresse.
Bien à vous,
Gabriel Lucas