Aujourd’hui, nous vous proposons d’en savoir plus sur l’illustratrice Alexandra Huard. J’aime beaucoup son travail et j’ai eu envie d’en savoir plus sur elle, son parcours, ses inspirations. Ensuite, c’est avec une autre illustratrice que nous avons rendez-vous et pas des moindres : Carole Chaix ! Elle a accepté de jouer le jeu du En vacances avec. Bon mercredi à vous.
L’interview du mercredi : Alexandra Huard
Comment êtes-vous devenue illustratrice, parlez-nous de votre parcours.
J’ai voulu faire ce métier très tôt. Dès le début de l’école primaire, je disais que je voulais « dessiner les couvertures des livres ». J’ai vécu jusqu’à 18 ans près d’Annecy. Chaque année en juin, je pouvais profiter du Festival International d’Animation d’Annecy pour découvrir des centaines de films animés aux techniques et graphismes très variés. Ça m’a aussi permis de rencontrer des étudiants venant de diverses écoles de dessin. En me renseignant auprès d’eux, j’ai trouvé que l’école Émile Cohl avait l’air de correspondre à ce que je cherchais. Je me suis donc donné pour objectif d’intégrer cette école après le bac.
J’ai pu apprendre à l’école Émile Cohl ce que je cherchais : un bon enseignement du dessin et de la peinture. J’ai surtout aimé être entourée de beaucoup de dessinateurs talentueux, de tester plein de pistes graphiques et techniques différentes. C’est beaucoup plus compliqué maintenant que c’est devenu mon métier d’avoir la liberté de changer de style et technique d’un dessin à l’autre…
J’ai réalisé mon premier album illustré après mon diplôme en 2010, aux éditions Sarbacane, avec un texte de la talentueuse Béatrice Fontanel, La Chose. Ce projet était un vrai cadeau pour commencer dans le métier !
Quelles étaient vos lectures d’enfant, d’adolescente ?
Enfant j’aimais les romans d’aventures, Croc-Blanc de Jack London est probablement celui qui m’a le plus marqué. Je lisais aussi beaucoup de romans populaires d’horreur et épouvante… Bizarrement, je me rappelle de beaucoup plus de romans qui m’ont marqué enfant (dont les couvertures m’impressionnaient, je crois que je pourrais en dessiner un bon nombre de mémoire) alors que je ne suis capable de citer que peu d’albums illustrés. Il y a le très beau Conte de la Marguerite de Béatrice Appia. Je me souviens aussi des grands albums peints de Nadja, surtout L’enfant des sables et Chien bleu.
Adolescente, en plus des romans, j’ai dévoré des centaines de bandes dessinées et manga. Aiguillée par mon frère, c’était toujours de très bonnes histoires. La passion de la bande dessinée n’a fait que renforcer mon envie de faire mon métier dans le dessin.
Quelles techniques de dessin utilisez-vous ?
La technique qui me plaît le plus est la gouache. Cette peinture me permet d’avoir des belles couleurs lumineuses, et des formes bien découpées, bien précises.
De temps en temps je change de technique pour ne pas trop me répéter, encre de chine, crayons de couleur, acrylique, aquarelle…
Comment choisissez-vous les projets sur lesquels vous travaillez ?
Le projet vient souvent de l’éditeur, qui a sélectionné un texte et me le propose. Il faut bien sur que l’histoire et le style d’écriture me plaisent, sinon rien de bon n’en sortirait. J’attache beaucoup d’importance au cadre de l’histoire (pays, époque). Là-dessus, mes envies changent d’une année sur l’autre. Je peux me passionner une période sur les contes anciens, et ne vouloir illustrer que ça, puis avoir envie d’un texte contemporain proche du quotidien. Ensuite, ne jurer que par les textes d’aventures et de découvertes… Quand je me passionne pour une forme de narration, je m’immerge complètement dedans. Je me mets à lire des romans et regarder des films qui restent dans le même cadre que le projet que je suis en train de faire. Ça m’aide beaucoup, je reste « dans l’ambiance », l’inspiration vient plus facilement. Ça donne envie d’aller le plus loin possible dans la mise en place du décor.
Par exemple, le dernier album que j’ai illustré qui vient de sortir aux éditions Sarbacane, Tangapico se passe dans un pays fictif mais qui a tout d’un pays d’Amérique du Sud. La jungle luxuriante, un grand fleuve qui la traverse, la faune de l’Amazonie, un beau bateau vapeur qui se fraye un chemin parmi lianes et fougères… Pendant que je travaillais dessus, j’avais de la musique colombienne et brésilienne dans les oreilles, j’ai lu des romans d’auteurs sud-américains, regardé des films inspirés par « le Nouveau Monde », collectionné des planches de botanistes qui ont parcouru l’Amazonie… J’ai aussi pu m’inspirer des photos que j’avais prises en remontant l’Amazone en bateau il y a 4 ans.
Bref, tout était prétexte à m’immerger dans le cadre de l’histoire.
Quels sont vos projets ?
Je travaille actuellement sur un texte que tout le monde connaît : Peter Pan. J’ai toujours trouvé que cette histoire était la plus belle invitation au voyage, à l’aventure. Il y a un an, j’ai découvert le texte original de la pièce de théâtre Peter Pan ou l’enfant qui ne voulait pas grandir de James Matthew Barrie qui précède le roman (plus connu). J’ai réalisé que cette histoire réunissait tout ce que j’avais le plus envie de dessiner : un Londres nocturne, des jeux de lumières avec Peter qui vient chercher son ombre perdue, une île exotique, une forêt dense, des enfants libres et sauvages, les Indiens, les pirates et leur beau bateau… Je voulais absolument illustrer ce texte. J’ai appris que les éditions Milan avaient pour projet de faire un grand album à partir du texte de J.M. Barrie, traduit et légèrement résumé par Maxime Rovere (dont les adaptations respectent toujours au mieux le texte original). J’ai littéralement supplié l’éditrice en charge du projet de me confier l’illustration de cet album : elle était d’accord ! Je suis dessus avec passion depuis un moment et pour un moment encore… Il devrait sortir en octobre.
À l’avenir, j’aimerais illustrer des récits de voyage, continuer encore dans la série des textes qui invitent à la découverte et à l’aventure. Je ne suis pas encore lassée…
Bibliographie sélective :
- Tangapico, illustration d’un texte de Didier Levy, Sarbacane (2015).
- La drôle d’idée de mon papa, illustration d’un texte de Rémi Chaurand, Nathan (2014).
- Dessus-dessous : la ville, illustration d’un texte d’Anne-Sophie Baumann, Seuil Jeunesse (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Le vieux Cric Crac, illustration d’un texte de Muriel Bloch, Syros (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Un week-end de repos absolu, illustration d’un texte de Davide Cali, Sarbacane (2013).
- La petite sirène, illustration d’un texte d’Andersen, Nathan (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Rikimini, illustration d’un texte de Marie-Sabine Roger, Casterman (2012), que nous avons chroniqué ici.
- Un amour sur mesure, illustration d’un texte de Roland Fuentès, Nathan (2012).
- La chanson de Richard Strauss, illustration d’un texte de Marcus Malte, Sarbacane (2012).
- Comment cuisiner et dévorer les enfants, illustration d’un texte de Keith McGowan, Bayard Jeunesse (2012).
- La chose, illustration d’un texte de Béatrice Fontanel, Sarbacane (2011).
Je vous conseille fortement le blog d’Alexandra Huard qui y montre particulièrement bien son travail : http://alexandrahuard.blogspot.fr.
Concours :
Grâce aux éditions Sarbacane je vais pouvoir offrir à l’un de vous un exemplaire du très beau Tangapico dont Alexandra Huard a fait les illustrations. Pour participer, il vous suffit de nous dire, en commentaire à cet article, dans quel pays imaginaire vous aimeriez partir en vacances (et nous raconter un peu si vous avez envie). Nous tirerons au sort parmi toutes vos réponses, vous avez jusqu’à mardi 20 h ! Bonne chance à tous !
En vacances avec… Carole Chaix
Régulièrement, je pars en vacances avec un artiste (je sais vous m’enviez). Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais moi j’adore partir comme ça avec quelqu’un, on apprend à le connaître notamment par rapport à ses goûts… cet artiste va donc profiter de ce voyage pour me faire découvrir des choses. On emporte ce qu’il veut me faire découvrir. On ne se charge pas trop… 5 de chaque ! 5 albums jeunesse, 5 romans, 5 DVD, 5 CD, sur la route on parlera aussi de 5 artistes qu’il veut me présenter et c’est lui qui choisit où l’on va… 5 destinations de son choix. Cette fois-ci, c’est Carole Chaix qui s’y colle, merci à elle !
Allez en route !
5 albums jeunesse
Max et les Maximonstres Maurice Sendak
- Tour de manège Régis Lejonc
- Le voyage de Barbapapa Tison/Taylor
- Mon tout petit Zullo/Albertine
- Dans le brouillard de Milan Munari
5 romans (et autres livres)
Les années Annie Ernaux
- La révolution d’un seul brin de paille Masanobu Fukuoka
- Des histoires vraies Sophie Calle
- Carnet de croquis et réalisations François Delarozière
- Lettres à un jeune poète Rainer-Maria Rilke
5 films/DVD : en fait beaucoup plus mais je ne peux pas faire plus court…
L’intégrale de Jacques Demy
- Un éléphant ça trompe énormément Yves Robert
- César et Rosalie Claude Sautet
- Cinéma Paradiso Giuseppe Tornatore
- Mon oncle Jacques Tati
- Nos plus belles années Sydney Pollack
- Un singe en hiver Henri Verneuil
5 CD
Serge Gainsbourg Vol. 2 dans l’intégrale
- Sonorama musiques autour des films de Jacques Tati
- Detroit Cantat/Humbert
- Soleil dedans Arthur H
- Le Tour de M (live) M
5 BD
Gaffes, bévues et boulettes André Franquin
- Reportages Joe Sacco
- Brouillard au pont de Tolbiac Malet/Tardi
- Pourquoi j’ai tué Pierre Ka/Alfred
6 artistes
- Niki de saint-Phalle
- Calder
- Michel-Ange
- Jean Tinguely
- La Caravage
- Camille Claudel
6/7 lieux/promenade
- le jardin des tarots Garavicchio
- prendre les escalators de Beaubourg jusqu’au 5 ème étage et regarder Paris
- « le bout du monde » Gourdanne Saint Julien le Montagnier
- quartier du « caffe Gottico » à Rome et chez Fassi au Pallazzo del Fredo pour manger des glaces
- les salles de cinéma en règle générale
- dans Mafate sur l’île de la Réunion
Carole Chaix est illustratrice
Bibliographie sélective :
- Le Jardin des Illusions, image à colorier, Les apprentis Rêveurs (2015).
-
Sur un toit, un Chat, illustration d’un texte de Cécile Roumiguière, À pas de Loups (2014), que nous avons chroniqué ici.
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Collection Carnets de recettes avec Seymourina Cruse, Thierry Magnier (2014).
- Loup ?, collectif, éditions Mangelivres (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Une princesse au palais, illustration d’un texte de Cécile Roumiguière, Thierry Magnier (2012), que nous avons chroniqué ici.
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Un an, un jour, illustration d’un texte de Régis Lejonc, L’atelier du Poisson Soluble (2009).
-
F, L’Edune (2008).
À paraître :
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Dans la tête d’Albert, illustration d’un texte d’Annie Agopian, Thierry Magnier (septembre 2015)
-
Quand je serai très très vieux…, illustration d’un texte d’Olivier Ka, Notari (septembre 2015).
Retrouvez Carole Chaix sur son site : www.carolechaix.com.

Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
Bonjour,c’est une belle attention à laquelle je prends donc part.
Mon monde imaginaire serait coloré et chaleureux.Le vent serait un sourire et le soleil une caresse.Ce serait comme flotter au dessus du sol,toujours le Coeur léger et ouvert au Bonheur.
MERCI
Bonjour,
J’aimerais être originaire du pays où toutes les qualités qui me manquent cruellement seraient inées chez les habitants. Par exemple: le pays de la patience! Car j’en manque, indéniablement.
Si en plus il faisait toujours beau dans ce pays ce serait le cerise sur le gâteau!
Merci pour ce concours!
Bonne journée!
un pays imaginaire? un où on te ne jurerais pas et où on pourrait vivre comme on veut sans craindre les critiques? un où l’argent n’existe pas? (ouais, bon, je rêve, mais… )
bonjour, merci pour ce beau cadeau, je rêve d’un pays verdoyant ou il ne fait ni trop chaud ni trop froid, où l’on peut voir des animaux, les observer et s’approcher d’eux sans danger.
Bonjour, merci pour le concours et surtout pour la présentation de ce magnifique travail d’illustration : Waouh !
Ah le rêve d’un pays imaginaire … éternel espoir d’un monde meilleur et différent … pour moi, le monde rêvé serait en paix, tout simplement … respectueux de tous et de chacun, et les aberrations de la faim, de la torture, du travail des enfants ou de la séparation des familles ne seraient plus que de vilains mots du passé ! Bon mercredi !
Je ne connaissais pas le travail d’Alexandra. J’adore ! Et super son site !
Dans quel pays imaginaire j’aimerais voyager ? Il y a déjà tellement de VRAIS pays que j’aimerais visiter ! La terre regorge d’endroits extraordinaires et fabuleux !!!
Quel beau cadeau. Moi je voudrais vivre dans un pays où nous pourrions vivre sans travailler, où le troc serait légion, où le soleil serait omniprésent, pas de monnaie, juste des d’urines, de la gentillesse; -)
Mon pays imaginaire serait un pays où les saisons seraient de vrais saisons, où la nature vivrait en harmonie avec l’Homme, où le respect de l’autre et de son environnement serait roi… C’est très bateau comme pensée mais comme ce serait beau ;-). Bravo et merci pour votre blog qui invite à la découverte et à la création.
Bonjour, c’est une belle question. Voici le ‘monde imaginaire’ de ma fille Lily 7 ans 1/2 (qu’elle appelle vraiment son “monde imaginaire”): Elle vit dans un igloo avec des manchots super sympas, les robinets font couler du chocolat, elle marche sur les arcs-en-ciel pour se déplacer, elle vit toujours pieds nus en salopette et s’appelle Lily Sawyer. Le langage de ce monde utilise les mêmes mots que dans le monde normal mais ils ont un autre sens, toujours positif. Il y a aussi d’autres mots incompréhensibles pour les gens du monde normal (heureusement, elle veut bien nous faire des traductions). Quand elle a faim, elle croque un nuage qui passe. Les gens se téléphonent avec des coquillages… Un monde plutôt accueillant quoi!
Bonjour !
Je suis justement en train de réflechir à la destination de mes prochaines vacances et j’ai bien en tête le pays imaginaire où j’aimerais aller ! Il est près de chez moi, pas plus de deux heures d’avion, sinon c’est trop long. Il y fait chaud, suffisamment pour s’y baigner dans une mer chaude avec beaucoup de poissons colorés (et tous inoffensifs) mais les plages sont vides de monde, on peut s’y installer tranquille loin du bruit et de l’odeur de crème solaire. Il y a beaucoup de montagnes, toutes proches de la mer, pour pouvoir profiter de la fraicheur et des paysages enneigés. Merci pour ce concours !
Bonne journée
Céline
Tombée sous le charme des illustrations d’Alexandra Huard je crois que ma destination rêvée va être la librairie là !
Avec une petite référence littéraire, mon pays imaginaire serait l’un de ceux d’Alexandre Jardin et plus particulièrement l’île des Coloriés. Un monde un peu plus rythmé par la spontanéité, moins pudique en bons sentiments et très coloré ! Finalement l’utopie n’est pas si loin !!
Merci pour toutes ces découvertes et pour ce concours !
Bonne journée
Elina
Moi mon pays imaginaire serait très coloré avec des bruits agréables et doux. De délicieuses odeurs se dégageraient, que du bonheur !
merci pour le concours.
Oh moi je voudrais aller là où le soleil démultiplie les couleurs, là où les animaux ont des noms merveilleux… Là où l’école n’a pas 30 enfants entassés dans des minuscules classes (ahem… trop de parti pris là !)
Bref, mon monde merveilleux quoi !
Mon pays imaginaire ? déjà un pays ou ne prend pas l’avion pour y aller parce que ça me terrifie ! rires …et a choisir je voudrais bien celui du film qu’a réalisé Alexandra Huard pour nous immerger dans le livre Tangapico, c’ est juste magnifique, et avec la musique: GENIAL !
le lien :
j’ai bien peur quand même qu’en partant de Noves ( a coté d’Avignon) je sois un peu obligé de prendre l’avion non ??? ou alors un chouette bateau comme dans l’animation ???
Bonsoir,
Mon pays imaginaire un petit village très vert, tres ensoleille, sage gaie et serein ou le travail est la juste Qd nécessaire, les enfants Pour innover et vivre pleinement… un petit monde d harmonie, de respect de de bonheur..
Elle a le don d’ubiquité Alexandra, elle était aussi invitée à la librairie CHEMAIN à Voiron, ce mercredi : elle n’etait pas virtuelle !
Pour le pays imaginaire, je fais ds l’utopie : pays sans religions, parce que soit dit en passant, s’il n’y en avait ds aucun pays, le monde serait actuellement plus tranquille. Pays où les animaux seraient sans crainte du chasseur, ( je viens de lire le merveilleux Le Monde Sauvage de Xavier- Laurent Petut, d’où l’influence ) , et bien sûr, pays où on ne se sentirait pas mal à l’aise face à la misère parce qu’elle aurait disparu… I have a dream !
Bonjour,
Mon Monde a moi serait un Monde sans pollution, sans danger, sans guerre, un Monde ou chacun vie simplement et sans superflus. Un Monde de verdure, de fleuraisons, de mer bleue turquoise, de chaleur, un peu a la Robinson Crusoé, un Monde ou chacun est content de ce qu’il a et non de ce qu’il n’as pas. <3
Chaque jour j'espère un monde meilleur et surtout pour nos enfants 🙂
Bonne journée
Carine
Bonjour 🙂
Mon monde imaginaire serait parfaitement imparfait… Comme moi ^^
Et une fois encore merci pour cette chronique du mercredi, c’est mon moment préféré de la semaine 🙂
Sublime, ce Tangapico, avec ses valeurs à promouvoir !
Pour moi, les vacances rêvées se passent à Aplalarilla : les oiseaux réveillent les touristes d’une petite sérénade, on se lave sans chichi sous des cascades tempérées, les repas sont élaborés par les arbres, et les rochers affichent les parcours de tout ce qu’il y a à voir. Habitants à l’intelligence sereine ; musique dansante ; culture, faune et flore incroyable : Aplalarilla est à découvrir toute l’année au gré de ses huit saisons !
Mon pays imaginaire serait un endroit où les jours ne passeraient pas aussi vite pour que l’on puisse faire encore plus de choses que l’on aime.
Merci pour votre concours
Bonjour, et merci pour ce concours, je viens tenter ma chance 🙂
Le pays imaginaire dans lequel j’aimerais vivre ressemblerait à l’Islande : des paysages sauvages, magnifiques, pouvoir s’y balader des heures sans croiser personne.
Et surtout, il serait exempt de société de (sur)consommation. Il y ferait bon vivre, l’entraide et le respect y auraient une place importante. Il serait question de vivre et profiter de la vie et non de survivre.
Aaaah… C’est beau de rêver 🙂
Merci encore et bonne journée !
Bonjour,
Et merci pour le concours. J’aime beaucoup le travail d’illustration de Tangapico et c’est avec plaisir que je participe pour en voir davantage et lire l’histoire qui l’accompagne.
Par contre, pour répondre à la question posée, je serais peut-être hors sujet, mais je dirais qu’il y a tant de pays réels et de cultures à découvrir que je ne ressens pas l’utilité d’en inventer un nouveau pour songer à voyager : la Terre de Feu, l’Amazonie, les temples précolombiens, le Bhoutan, la Malaisie, Myanmar, les montagnes de Danxia et Tianzi, les vagues et canyons de l’Arizona et du Colorado, la forêt de séquoias géants, le Groenland, l’Islande, le Loch Ness, les chutes Victoria, Madagascar, la Nouvelle-Zélande et ses grottes fluorescentes… Non, vraiment, je n’ai pas besoin de plus de fantaisie que ce que le monde a déjà à offrir et que je connais si peu… Mais je salue l’imagination des autres commentaires !
Bonne chance à tous,
Octavie.
Bonjour,
Pour ma part, je me verrais bien découvrir la Terre du Milieu, et partir à la découverte de ses paysages et ses habitants. Ce monde imaginaire me rend en tout cas très curieux sur le papier 🙂
Merci et bonne fin de journée !
Bonjour merci pou ce concours
J’aimerais vivre au pays des bisounours !!! Oui je sais j’ai toujours eu une version utopique de la vie
Bonne journée
Bonsoir
alors moi depuis ma plus tendre enfance je ne rêve que d’un monde imaginaire, celui de Peter Pan, j’étais complétement accro a cet univers étant gamin alors forcement si je devais élire domicile dans un monde imaginaire cela serait celui ci !
vive Peter Pan ai je envie de crier haut et fort !
merci a vous pour ce rdv 🙂
très bonne soirée
Bravo à sosooocute !