C’est mercredi ! Aujourd’hui, je vous propose d’en savoir plus sur un auteur dont nous chroniquons régulièrement les albums, Bernard Villliot. Suite à cette interview, vous pourrez tenter de gagner son dernier album Les cygnes sauvages. Ensuite, c’est avec Jo Witek que nous avons rendez-vous pour la rubrique Parlez-moi de…, Pour nous elle revient sur Un hiver en enfer. François Martin, l’éditeur du roman, a accepté également de nous en parler. Bon mercredi !
L’invitée du mercredi : Bernard Villiot
Parlez-nous de votre parcours
Je ne m’étais pas du tout destiné à la littérature jeunesse. Après cinq années aux Beaux Art de Dijon, sections photo et sculpture, je me suis dirigé vers le film d’animation puis le film de fiction, avec des acteurs réels. L’écriture pour le cinéma et la réalisation sont et resteront ma première passion.
La littérature jeunesse est arrivée dans ma vie très tard et avec la complicité de Muriel Kerba. C’est elle qui m’a mis le pied à l’étrier, en me proposant de lui écrire un texte pour ses illustrations. L’écriture jeunesse a été une vraie révélation et elle est aujourd’hui une seconde passion. J’aimerais et j’espère pouvoir lui consacrer davantage de temps.
Quelles étaient vos lectures d’enfant, d’adolescent ?
Enfant mes premières lectures ont été les livres de Benjamin Rabier que ma grand-mère maternelle conservait dans l’armoire de son grenier. Livres originaux que je possède aujourd’hui et que je conserve précieusement. Et puis il y eut l’incontournable Disney, d’où ma passion plus tard pour le film d’animation. Un peu plus grand, j’ai découvert La Fontaine, puis dans un autre genre, Jules Verne à travers les livres qui avaient appartenu à mon père et que conservaient mes autres grands-parents.
Adolescent j’ai développé une passion pour Edgard Allan Poe.
Vous avez réécrit/réinterprété plusieurs contes, d’où vous vient cet intérêt pour ces classiques ?
Pour Le Voleur de Lune, par exemple, mon intérêt est venu du désir de faire ou de refaire découvrir un conte méconnu ou délaissé pour d’obscures raisons. Ce désir est bien entendu animé à la fois par le plaisir que j’ai eu à découvrir ce conte et l’envie de le faire partager. J’aime fouiller, creuser et déterrer des textes enfouis depuis des décennies. Mon côté Saint Bernard, sans doute…
Pour des contes comme La Belle au Bois dormant ou les Cygnes Sauvages la proposition d’adaptation est venue de l’éditeur. Des challenges que je trouve excitants et flatteurs.
Pour travailler sur ces histoires, vous relisez de nombreuses versions ou au contraire vous essayez de vous en détacher ?
Je travaille uniquement à partir de la version originale. J’évite de lire d’autres versions pour ne pas être influencé sciemment ou inconsciemment par des choix et des directions d’écritures qui pourraient trahir l’esprit du texte original. Ensuite j’y mets ma patte, mon rythme en tenant compte de l’âge du lecteur auquel le conte est destiné. Une histoire, aussi universelle soit-elle, ne s’adapte pas de la même manière pour des enfants de 5 et 10 ans. Une fois mon adaptation terminée et validée par l’éditeur, je lis ce qui a été fait par d’autres. C’est toujours instructif et parfois plutôt plaisant.
Quel est votre regard sur la littérature jeunesse actuelle ?
Elle regorge de talents, aussi bien au niveau des textes que des illustrations. Je le trouve en constante progression avec parfois de vraies innovations de la part de certains éditeurs. J’aime sa pertinence, sa variété, et je suis toujours fasciné de découvrir encore de l’originalité avec la quantité d’albums édités chaque année. Peut-être parce que je la regarde toujours avec mon regard d’enfant.
Quels sont vos projets ?
Quelques albums à paraître, des textes en écriture, la finalisation d’un scénario et peut-être une réalisation pour la télévision cet automne…
Bibliographie sélective :
- Les cygnes sauvages, illustré par Anja Klauss, L’élan vert (2014), que nous avons chroniqué ici.
- Le secret du petit bouddha, illustré par Mylène Rigaudie, L’élan vert (2014), que nous avons chroniqué ici.
- La belle au bois dormant, illustré par Anja Klauss, L’élan vert (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Le voleur de lune, illustré par Peggy Nille, L’élan vert (2012), que nous avons chroniqué ici.
- L’étoile de Noël, illustré par Frédéric Mansot, L’élan vert (2012).
- Abigaël Treybell et son maudit matou Bretzel, illustré par Xavière Devos, L’élan vert (2012).
- La moufle, illustré par Antoine Guilloppé, L’élan vert (2012), que nous avons chroniqué ici.
- Marie-Caprice, illustré par Mélanie Allag, L’élan vert (2012).
- Le pâté de crottes de nez, illustré par Éléonore Zuber, Pole Jeunesse (2011).
- Au zoo des animaux rigolos, illustré par Charlotte Labaronne, Gautier Languereau (2007).
Concours :
Grâce aux éditions L’élan Vert, vous avez donc la possibilité de gagner un exemplaire du dernier album de Bernard Villiot, Les cygnes sauvages (que nous avons chroniqué ici). Pour cela, dites-nous en commentaire à cet article quel est votre conte classique préféré, vous participerez au tirage au sort. Vous avez jusqu’à mardi 20h.
Parlez-moi de… Un hiver en enfer
Régulièrement, on revient sur un livre qu’on a aimé avec son auteur, éventuellement son illustrateur et son éditeur. L’occasion d’en savoir un peu plus sur un livre qui nous a plu. Cette fois-ci, c’est sur Un hiver en enfer (chroniqué ici), un roman très fort sur une relation entre un fils et sa mère. Jo Witek, l’auteure et François Martin, son éditeur, nous en parlent.
Jo Witek, auteure :
D’une solitude de mère à un sujet de roman
L’idée d’un roman peut s’imposer n’importe où. N’importe quand. Et soudain devenir une urgence, ce que Rilke nommait la nécessité d’écrire. C’est ce qui s’est passé avec Un hiver en enfer. J’étais alors en vacances en famille à Londres. Dans un moment de vie où mon couple éclatait, et mes enfants grandissaient. Le foyer, la famille, l’idée parfois idéalisée du cocon ne ressemblait plus aux photos de famille accrochées sur les murs de notre hall d’entrée. Des enfants à la plage, un couple heureux, des parents comblés. Quelques années plus tard, je ressentais un sentiment d’immense solitude avec les miens. Mes fils étaient devenus des adolescents. Ils n’avaient pas forcément envie d’être avec nous, même à Londres, surtout à Londres. Tout ce que je proposais, expos, virée aux marchés aux puces, pub, concerts, tout les efforts que je faisais pour les réjouir, les faire rire, retrouver cette complicité mère-enfants s’avéraient vain. Ils repoussaient tout. Un comportement normal. Nous le savons, nous parents, il faut qu’ils se détachent, s’opposent, sortent de ce cocon familial pour grandir. Pourtant, cette impression de solitude éprouvée à Londres, cet abandon de la mère « nourricière » pour une mère simplement bienveillante me fut d’une extrême violence et je me suis surprise à prononcer cette terrible phrase au détour d’une visite : « là, la famille, c’est l’enfer ».
Voilà. Il a suffi d’une souffrance, d’une nostalgie de mère, d’une solitude de femme, pour déclencher le processus créatif. Cette phrase a aussitôt été suivie d’un sentiment de culpabilité. « Comment puis-je dire ça ? Moi, une mère. Une mère aimante qui a eu cette chance d’aimer ses enfants dès leur première inspiration au monde. Comment ? »
Et tout s’est enchaîné. Oui, le prochain roman traitera de cela. De l’instinct maternel. D’une mère, qui peut-être, n’aurait pas réussi à aimer son fils. D’un fils qui se serait construit avec le manque de tendresse maternelle. Et puis d’un enfer familial. D’un huis clos privé. De cette cellule idéalisée qui pourtant est l’antre de tant de violence. Il s’en passe des choses derrière les volets clos des familles. Violences verbales, guerre de fratrie, agressions physiques, dominations, viols aussi. La famille n’est pas toujours ce havre de paix si rassurant. Pas toujours. D’ailleurs qui n’a jamais dit : Ma mère va me tuer si… Ou mon père va me tuer si… ?
Je l’ai pris au sens propre.
Étrangement, j’ai tout de suite eu envie de pitcher mon histoire à mes fils. Je leur ai résumé en quelques mots le début, le milieu, la fin. Et ce sujet nous a réunis. Ça a été mon meilleur moment à Londres avec eux. Leurs sourires à tous les deux. Leur belle complicité de frères.
__ Maman, écris-le ce bouquin ! C’est top ! Ton sujet est horrible !
Nous avons ri. Je leur ai promis de l’écrire et je suis allée au bout.
L’aventure de ce roman fut douloureuse. Pas facile d’écrire ce désamour ou plutôt cet amour fêlé entre une mère et son fils, surtout quand on a deux garçons. J’ai creusé. J’ai trouvé en moi, ailleurs aussi, au travers de témoignages de femmes (et ils sont nombreux bien que tabous), ces moments où une mère souffre de ne pas bien aimer son enfant. Ces instants où un enfant pense ne jamais avoir été assez aimé par sa mère. Et le roman s’est écrit.
Comme toujours mon fils aîné fut mon premier lecteur. Comme toujours, par respect, je l’ai laissé lire et me dire ce qu’il voulait, sans obligation, juste le lire. Un petit grigri, une habitude qu’il a la gentillesse de perdurer du haut de ses vingt ans.
« Glauque, horrible, j’adore ».
Tel fut son retour. Un excellent retour pour un thriller. Bien sûr, je lui ai promis de ne pas le lui dédier. À son frère non plus. Et puis, nous en avons ri. En huit mois, temps qu’il me fallut pour venir à bout de ce roman, il avait grandi, et moi aussi.
Souvent, les jeunes que je rencontre pensent que je suis une mère géniale, parce que j’écris des romans pour les ados, que je traite des sujets qui les concernent, que j’invente des héros qui leur ressemblent. Mais, non, je suis une mère comme les autres, qui fait ce qu’elle peut, de son mieux, avec ce qu’elle est. Et c’est aussi avec cela que j’écris pour la jeunesse. L’ado que j’étais, et la mère que je suis. C’est pourquoi je tiens à cette littérature — dite jeunesse —, qui pour moi est avant tout une littérature partagée.
François Martin, éditeur :
Un hiver en enfer est le cinquième roman de Jo Witek que j’ai eu le plaisir d’éditer et son troisième thriller dans ma collection “Romans Ado”. Il est essentiel pour moi de construire avec un auteur une relation sur la durée. C’est ce qui détermine une politique d’auteurs et forge la cohérence d’un catalogue – qui plus est pour un département Jeunesse adossé à une maison comme Actes Sud. Aussi suis-je sensible à la confiance et la fidélité que Jo me témoigne livre après livre. Elle me parle volontiers de ses projets alors qu’ils sont en cours d’écriture ou même qu’au stade de l’idée – ce fut le cas pour Hiver en enfer avec son intention affichée de traiter du lien maternel, de la violence qui peut s’insinuer dans le foyer familial quand les enfants entrent dans l’adolescence. De l’idée et de la forme : je savais que le texte serait un thriller. Mais ce n’est qu’une fois achevé que Jo m’a adressé son manuscrit. Moment de tension alors pour un éditeur entre l’excitation de lire (et d’aimer) et la crainte confuse d’être éventuellement déçu (car cela peut arriver). La lecture du manuscrit d’Un hiver en enfer – qui ne portait pas ce titre au départ, j’y reviendrai – a été autant jubilatoire, haletante qu’effrayante. Un sujet prégnant, un scénario d’une efficacité implacable (avec son climax au milieu du récit), des personnages de forte intensité, un suspense qui vous fait tourner les pages, un dénouement inattendu. Ma conviction a été immédiate que nous tenions là un roman puissant – et glaçant. Un roman qui d’ailleurs plairait autant aux adolescents qu’aux adultes. Le manuscrit original a été peu retouché, mes remarques furent ponctuelles. Le point crucial a été le choix du titre. Celui de travail était Instinct maternel auquel Jo était attachée. Un titre fort mais qui pouvait être diversement interprété et ne connotait pas suffisamment son genre et le lectorat visé. De multiples propositions ont fusé pour aboutir, au terme de nombreux échanges téléphoniques et de courriels entre nous, au titre définitif. Les qualités d’écrivain, la capacité d’écoute et la profonde humilité que je trouve chez Jo rendent particulièrement fluide et constructif ce dialogue essentiel autour des textes (et de la forme à donner) qui est le cœur de mon métier.
Jo m’a déjà annoncé le titre de son prochain roman qui sera encore un thriller, j’attends le manuscrit promis avec impatience. L’aventure continue. »
Un hiver en enfer de Jo Witek Sorti chez Actes Sud Junior (2014) Chroniqué ici. |
Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
bonjour, merci pour ce super concours je tente volontiers
pour ma part c’est “les trois petits cochons!”
bonne journée a vous!!!
Bonjour à tous!
Je participe au concours:
mon conte préféré est “le vilain petit canard”
de Hans Christian Andersen
Bonjour à tous!
Je participe 🙂
mon conte préféré est “le vilain petit canard”
de Hans Christian Andersen
Aloha ! Je me met en lice pour ce joli concours !
Mon classique préféré c’est La Belle & la Bête ,celà me ramène toujours à Cocteau ..
Merciiii 😉
Mais que c’est beau tous ces albums, ces livres…! Chaque article ici allonge dangereusement ma wishlist livres, c’est affreux !! 😉
En tout cas je tente volontiers pour ce livre magnifique, même si j’avoue ne pas connaître ce conte. Mon préféré c’est “la petite Sirène”, même s’il bien triste et “cruel”…
Bonne journée et merci beaucoup !
Bonjour,
Merci pour ce concours.
Mon conte préféré est Peau d’âne, petite j’étais fascinée par les trois robes que Peau d’Ane demandait à son père, surtout par celle couleur du temps.
Bonne journée à tous !
Bonjour !
Pour moi c’est Boucle d’or. Merci pour le concours et très bonne journée à vous !
Melle G
Bonjour,
Moi mon conte classique préféré c’est les trois petits cochons avec les différentes versions qui existent je prends toujours autant de plaisir à le raconter.
Merci encore pour ce concours.
Deux auteurs que j’aime beaucoup pour ce mercredi ensoleillé. Merci
Je n’ai pas encore lu un hiver en enfer ( mais ce sera fait avant avril). Quand je vois l’enthousiasme et le succès remportés auprès des copines lectrices, je doute être déçue. On m’a même dit que c’était encore mieux que Peur Express que j’avais adoré.
Mon conte préféré est peut-être le petit chaperon rouge. Pas facile de choisir.
Bonjour!
Superbe concours à nouveau! Je croise les doigts!
Mon conte préféré est La Princesse au petit pois!
C’est vraiment moi! Alors n’y voyons pas un côté narcissique ou un égo démesuré mais plutôt le côté moqueur! En effet, mes proches me surnomme ainsi car je suis comme elle: je sens tout. Elle c’est un petit pois caché sous 10 matelas, moi ce sont les étiquettes de vêtements dans la nuque par exemple!
Bon… Merci pour ce concours!
Bonne journée!
Pour ma part je voterai pour Riquet à la houppe ! Je trouve l’idée trop chouette : un garçon intelligent mais laid comme un pou qui tombe amoureux d’une magnifique mais stupide jeune femme… Un peu d’amour, et PAF, ils sont tous deux beaux et intelligents (l’inverse aurait été plus drôle, mais bon…).
Merci pour le concours !
je suis pas une immense fana des contes classiques, en fait… enfin surtout des versions premières, non édulcorées, qui sont sacrément cruelles! si je devais choisir, euh… j’aime bien Poucette? ça compte?
Encore de bien jolis albums et un concours attrayant : Merci !! Pour ma part, je dirai Le vilain petit canard pour le message positif qu’il adresse aux enfants : On peut être raillé par les autres car “différent” et finalement clouer le bec à tout le monde!
Bonjour La mare aux mots !
Petite, j’adorais qu’on me raconte l’histoire du Petit chaperon rouge. Récemment, j’ai découvert l’histoire d’Ondine illustrée par Benjamin Lacombe…sublime !
Le conte préféré de ma fille est blanche neige, elle aime bien celle du père castor illustrée par mayalen goust. Pour moi, c est pas facile de choisir, mais je dirai le petit chaperon rouge, j’ai un petit faible pour les loups 🙂 je trouve la version illustrée par clementine sourdais chez hélium juste magnifique avec ses découpes.
Merci pour le concours !
Bonjour !
Enfant mon conte préfère était “le Petit Poucet” qui me faisait très peur et que ma maman refusait toujours de me raconter parce que j’en faisait des cauchemars. Aujourd’hui celui que j’aime lire à mes enfants c’est Cendrillon. J’ai toujours aimé decouvrir des contes et je me souviens de la série ” contes et légendes de… ” que j’empruntais à la bibliothèque de mon école.
Bon mercredi
Céline
Bonjour,
Le conte que je lisait et relisait étant petite était “Cendrillon”. C’était dans un libre dépliant (le 3D en papier). J’adorais regarder les détails des personnages présents dans les différents plans.
Merci pour le concours.
Nathalie
Bonjour,
Mon conte préféré c’est Boucle d’or et les trois ourses.
Ainsi que son adaptation Bou et les trois ourses illustrées par Ilya Green.
Dans le meme genre des contes revisité il y a perdu qui revisite Le petit Poucet. C’est super de confronter les versions avec ses enfants.
Merci pour le concours
Bonjour,
Merci pour ce concours, et très bel article !
Je tente avec plaisir ! Mon conte préféré est La Petite sirène, d’Andersen !
Bonne soirée, et merci encore !
Bonsoir.
J’aime beaucoup “Dame Hiver” des Frères Grimm. Surtout cet hiver, j’ai bien envie de secouer mon édredon!
Enfant, je me rappelle surtout d’avoir aimé Poucette, pour le côté minuscule de Poucette. Ma fille adore Blanche-Neige 😉 et Boucle d’Or.
Merci pour ce nouveau concours : enfant, j’ai lu, relu, rerelu L’oiseau Bleu de la comtesse d’Aulnoy.
Bonjour, bonjour! Ici c’est le petit poucet 🙂 Bonne journée 🙂
J’adore les dessins si poétiques de Vincent Villiot. Et j’ai beaucoup apprécié la disponibilité de Jo Witek au festival du livre jeunesse de Saint Paul 3 Châteaux.
Mon conte préféré : le petit chaperon rouge qui me rappelle mes balades dans les bois enfant.
Mon conte préféré c’est Poucette 🙂
Bonsoir
“La princesse au petit pois” …
Douce nuit …
bonjour merci beaucoup pour l’article
comme d’hab on apprend plein de choses
mon conte classique préféré est
les musiciens de Brême, j’adore !
merci beaucoup
petit ps : connaissez vous le voyage de monsieur Zouglouglou ?
bonne semaine et encore merci
bonjour je tente ma chance moi mon conte préféré c’est les 3 petits cochons qu’est ce que je l’ai aimé cette histoire
merci pour tout continue ainsi j’adore te lire
Bonjour la mare !
Mon conte préfèré Roule galette! Peut être parce que c’est mon fils qui me l’a fait connaître ! Qu’il l’adore et qui le connaît par cœur ! C’est sa façon de le raconter qui me fait l’aimer j’pense bien 😉
Merci!
🙂
Bonjour et merci pour ce jeu ! Incontestablement mon conte préféré est la belle et la bête, montrer que l’on peut aimer quelqu’un au-delà de l’apparence est une magnifique initiative. Quant à l’apparence des Cygnes sauvages, elle ne me repousse en rien, je trouve l’illustration vraiment magnifique !
bravo c’est gagné !
Bonjour !
Un concours, hop j’accours !
Mon conte préféré est La petite fille aux allumettes il n’est pas très gai mais qu’est-ce qu’il me touche…
Belle journée à tous.
Bonjour,
Merci beaucoup pour ce concours ! J’adorerai offrir cet album à mes enfants.
Mon côté préféré était “l’oiseau bleu”. On pouvait me le lire sans cesse je ne m’en lassais pas.
bonsoir, mon conte classique préféré est la belle au bois dormant
j’en ai plusieurs versions et ça me plait
merci à vous pour le jeu
bonne soirée
Très bel article…
Ce n’est pas facile de choisir, mais mon conte préféré est Boucle D’or et les trois ours
Merci pourvue concours
Bravo à nougatine37