Didier Jean et Zad sont à la fois auteurs, illustrateurs et responsables d’Utopique, maison d’édition qui s’appelait 2 Vives Voix encore récemment (pour tout comprendre sur ce changement de nom suivez le guide). Triple casquette pour un duo donc ! J’avais envie d’en savoir plus et ils ont accepté de répondre à mes questions. A la suite de l’interview, vous pourrez tenter de gagner le très bel album de Sandrine Kao, Les larmes de Lisette, qui est le premier ouvrage qu’ils ont édité sans prendre part ni au texte ni aux illustrations. Ensuite, pour notre rubrique Parlez-moi de…, on revient sur Charlie, avec son auteur François David, et le directeur de la collection Place du marché aux éditions Le Muscadier, Eric Denniel. Bonne journée !
Les invités du mercredi : Didier Jean et Zad
Quel a été votre parcours ?
Nous sommes tous deux autodidactes. Nos premiers albums sont parus en 1993. Ils sont nés du désir de Zad de devenir illustratrice. Didier l’a d’abord aidée à écrire des histoires pour montrer ce dont elle était capable, puis au fil des années, cette écriture à deux est devenue une deuxième passion. Avant de réaliser des livres, nous avons commencé par écrire ensemble beaucoup de chansons dont la forme narrative se rapproche de celle des albums. Savoir raconter une histoire en quelques phrases, avec le sens du tempo, nous a indéniablement formés à l’exercice.
Quelles étaient vos lectures d’enfants, d’adolescents ?
Nous avons tous les deux aimé lire très jeunes. Principalement des romans que Zad dénichait dans les bibliothèques municipales ou de son collège, et que Didier choisissait dans la bibliothèque familiale (les grands classiques pas spécialement destinés à la jeunesse puis toutes sortes de romans plus contemporains). À notre époque, il n’existait pas à proprement parler de littérature de jeunesse telle que nous la connaissons aujourd’hui, excepté la bibliothèque rose ou verte que nous avons lues bien sûr. À part Corto Maltese, Astérix et Pif gadget, peu de bandes-dessinées pour Didier. Zad a dévoré Astérix, Tintin et autres classiques de la BD. Mais ce qui a le plus nourri Zad, ce sont les albums qui n’étaient plus de son âge, mais qu’elle s’achetait, adolescente, tant elle était fascinée par les illustrations. Son illustrateur préféré était alors Georges Lemoine.
Tantôt auteurs, tantôt illustrateurs, et même éditeurs, comment conciliez-vous toutes ces activités ?
Pendant 15 ans, nous avons été auteurs et illustrateurs, situation qui avec du recul nous paraît assez confortable dans la mesure où nos livres parus chez nos autres éditeurs rencontraient régulièrement le succès (Le Masque de brumes, l’Agneau qui ne voulait pas être un mouton, Deux mains pour le dire…). Mais depuis la naissance de 2 Vives Voix, devenue récemment Utopique – voir précisions sur le site – concilier toutes ces activités nous demande une grande discipline. Car notre « cabane » d’édition est très chronophage. Nous réservons, dans la mesure du possible, quelques heures chaque jour pour la création (écriture, illustration, composition musicale). Cependant, nos journées se sont considérablement allongées et la charge de travail également, au détriment parfois de nos nuits de sommeil et de notre santé. On pense souvent que le rôle d’un éditeur consiste essentiellement à lire des manuscrits, associer des auteurs et des illustrateurs… Mais au niveau d’un petit éditeur indépendant, nous devons porter de multiples casquettes (préparer factures ou colis, aller à la pêche aux subventions, transporter des cartons, accumuler les kilomètres pour présenter son catalogue sur les salons du livre, suivre la comptabilité, travailler avec la maquettiste sur la mise en page, mobiliser toute son énergie à trouver le meilleur titre pour une prochaine parution ou rechercher une typo pour la couverture d’un album sans oublier la mise à jour du site internet…).
Dans ces différents domaines, comment s’organise le travail à quatre mains ?
Concernant l’écriture, nous décidons d’abord du thème sur lequel nous souhaitons écrire. Nous imaginons l’histoire dans ses grandes lignes. Chez nous, tout passe par l’oralité. L’un de nous lance une phrase, l’autre la rattrape au vol. Feuille et stylo passant de main en main, le texte se construit peu à peu. Notre technique à deux voix n’est pas rapide, mais quand nous réussissons à mettre de côté nos problèmes d’ego, nous formons presque une troisième personne, “didierjeanetzad” – dit d’une traite et sans respirer – comme nous appellent parfois très justement nos jeunes lecteurs. Quant aux illustrations, c’est Zad qui les réalise, mais ensemble, nous réfléchissons au contenu des images. Zad propose ensuite quelques esquisses des personnages et du décor. Suite aux réactions et suggestions de Didier, Zad dessine des crayonnés plus aboutis. Pour la mise en couleur, nous discutons de la technique qui sera employée, puis de l’harmonie appropriée à l’histoire… Notre technique favorite est souvent mixte, associant la gouache et le pastel sec.
Du côté de l’aspect éditorial, nous nous partageons parfois les tâches, selon nos affinités et d’autres fois, nous travaillons ensemble que ce soit sur la mise en page, la lecture des manuscrits, la communication.. Depuis octobre 2013, Florence Berthias a rejoint notre équipe. Elle nous soulage de la distribution et d’une partie de la diffusion.
Où puisez-vous votre inspiration ?
Chaque album est né d’une source différente. Parfois c’est une chanson entendue à la radio, parfois un récit qui nous a émus, (lecture ou rencontre) ; d’autres fois, un souvenir d’enfance…
Celle-ci n’est jamais loin de notre inspiration. Mais la naissance de notre fils, en 2000, a profondément modifié notre approche de la littérature de jeunesse. La naissance de la parentalité a éveillé des questionnements qui ne trouvaient pas toujours de réponse dans les albums existants. C’est pourquoi nous avons eu envie d’écrire des albums comme Envole-toi ou N’oublie jamais que je t’aime. Notre écriture a perdu en légèreté et insouciance, mais à notre sens, elle a gagné en profondeur et en contenu.
Chômage, angoisse, immigration, violence conjugale,…Comment abordez-vous ces thèmes difficiles à appréhender pour les enfants ?
Lorsque nous avons créé 2 Vives Voix, la collection Bisous de famille est née tout naturellement de cette envie de traiter des relations intergénérationnelles et des rapports au sein de la famille. Pour nous, il n’y a pas de thèmes difficiles. Si l’auteur est capable de trouver l’angle, le point de vue pour aborder une thématique, celle-ci devient naturellement accessible aux lecteurs. Pour preuve, Les Artichauts de Momo Géraud, qui traite avec pudeur et sensibilité d’un sujet tabou : les violences conjugales. Les blocages face à certaines questions viennent rarement de l’enfant, mais plutôt de l’adulte qui pense, à tort, protéger le plus jeune en évitant d’aborder tel ou tel sujet. Voir Parle-moi Papa, de Christos qui illustre à merveille ce propos.
Quels sont vos projets ?
Tenir le coup !
Poursuivre l’aventure, car de nouveaux textes arrivent tous les jours dans la boîte aux lettres d’UTOPIQUE. L’année a débuté brillamment avec Indigo, de Régis Delpeuch et Pascale Boutry qui amorce notre nouvelle collection de livres-CD Il était une voix. Trois albums sont prévus dans la collection Bisous de famille pour 2014. Cette année nous verra ouvrir grand les portes de la « cabane » à des auteurs de textes et d’images tels qu’Emmanuel Bourdier, associé à Zaü, Yaël Hassan avec Sophie Rastégar, sans oublier Pascal Brissy dont nous illustrerons le texte.
Bibliographie sélective :
- Deux mains pour le dire, roman, Utopique (ex-2 Vives Voix), (2014)
- Cuikomo, livre-CD, Collection Il était une voix, Utopique (2014)
- Mes rêves au grand galop, roman, Rageot (2013), que nous avons chroniqué ici.
- N’oublie jamais que je t’aime, album, 2 Vives Voix Editions (2011 – 2013)
- Zoum, chat de traîneau, album, 2 Vives Vois Editions (2011)
- C’était écrit comme ça, album, 2 Vives Voix Editions (2010)
- Paris-Paradis deuxième partie, album, texte de Didier Jean et Zad, illustré par Bénédicte Nemo, 2 Vives Voix Editions (2013) que nous avons chroniqué ici.
- Parle-moi Papa, album, texte de Christos, illustré par Didier Jean et Zad, 2 Vives Voix Editions (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Comme deux confettis, album, texte de Didier Jean et Zad, illustré par Sandrine Kao, 2 Vives Voix Editions (2013), que nous avons chroniqué ici.
- Les artichauts, album, texte de Momo Géraud, illustré par Didier Jean et Zad,2 Vives Voix Editions (2012), que nous avons chroniqué ici.
- Gaufrette et Nougat jouent au papa et à la maman, collection Gaufrette et Nougat, texte de Didier Jean et Zad, illustré par Sophie Collin, 2 Vives Voix Editions (2013) que nous avons chroniqué ici.
Retrouvez Didier Jean et Zad sur leur site.
Concours :
Grâce à Didier Jean et Zad, qui dirigent donc les éditions Utopique, je vais pouvoir offrir à l’un de vous Les larmes de Lisette, un magnifique album de Sandrine Kao (que nous avions chroniqué ici). Pour participer au tirage au sort, dites-moi en commentaire ce qui peut (ou pourrait) vous faire pleurer de joie ! Vous avez jusqu’à mardi, 10h ! Bonne chance à tous !
Parlez-moi de… Charlie
Régulièrement, on revient sur un livre qu’on a aimé avec son auteur, éventuellement son illustrateur et son éditeur. L’occasion d’en savoir un peu plus sur un livre qui nous a plu. Cette fois-ci, c’est sur Charlie (chroniqué ici), de François David que j’ai eu envie de revenir : l’histoire d’une rencontre entre une jeune fille Laure, et un homme qui vit dans la rue, Charlie. Ces personnages ont réellement existé, et s’appellent en réalité Laure et Christian. Eric Denniel, responsable de la collection Place du marché aux éditions Le Muscadier nous parle également de la naissance de ce roman.
François David, auteur : L’écriture de Charlie est totalement liée à la rencontre avec Laure. À diverses reprises, Laure a tenu avec nous le stand des éditions Møtus, d’abord comme stagiaire, puis, fidèlement, à l’occasion de plusieurs Salons du livre. Les visiteurs qui sont venus sur le stand de Møtus au Salon du livre Jeunesse de Montreuil ou au Salon du livre de Paris ont pu la voir présenter les ouvrages. Un jour, elle m’a fait part d’une histoire singulière qu’elle a vécue des années plus tôt. Je l’ai trouvée si étonnante, si belle aussi, que je lui ai demandé si elle voulait bien me la raconter à nouveau, mais avec plus de détails encore. Et si elle acceptait que j’écrive un texte pour la relater. Je me souviens que nous étions ainsi allés dans un café ; j’avais pris des notes et des notes. Puis dans un autre café car je voulais lui poser davantage de questions, lui faire préciser plus quelques points. Ensuite par mail aussi, je lui avais suggéré de revenir sur certains éléments. Et je lui avais demandé de me faire part de tout ce qui pouvait se trouver associé à cette « histoire » vraie. À un moment, il a été question d’intégrer une autre personne qu’elle avait, peu après, rencontrée. Mais finalement, il m’a semblé préférable, et plus clair pour le lecteur, de retenir exclusivement la relation d’amitié si inattendue, « imprévisible », entre Christian et elle. Écrire, c’est choisir. C’est aussi poser des mots. Un auteur a un rythme propre, une musique, une sensibilité, une approche, une façon d’exprimer. Et en même temps, surtout, je ne voulais pas trahir l’esprit de la rencontre entre Christian et Laure. Car qu’est-ce qu’être fidèle, en écrivant ? Bien plus que les noms des personnes et des lieux, il me semblait que c’était la vérité de leur échange, leur estime, leur confiance que je devais tenter de faire partager. Le plus souvent, j’invente, j’écris des fictions. Déjà pourtant, dans un texte très court, illustré par Anne Herbauts, La petite sœur de Kafka (aux éditions Esperluète), j’avais évoqué la personnalité et la destinée extraordinaires d’Ottla Kafka. Mais Ottla Kafka est morte, il y a longtemps, dans un camp de concentration où elle s’était portée volontaire pour accompagner des enfants. Pour Charlie, tout différemment, la personne réelle est heureusement bien vivante. Alors il y avait la peur qu’elle soit déçue, ou, pire, qu’elle se juge trahie. Cela m’a donc rassuré, véritablement, qu’elle ait apprécié la manière dont j’avais relaté son histoire. Ensuite, quand Éric a retenu le texte, il s’est trouvé être un peu court pour la collection. Je ne souhaitais pas l’allonger artificiellement, car un texte a sa dimension que je trouve important de conserver. Je pouvais proposer un autre texte, en complément de Charlie. Mais il m’a paru plus intéressant d’offrir au jeune lecteur la possibilité d’entendre celle qui avait servi de modèle au personnage. Que pour une fois, il puisse découvrir tous les liens, mais aussi les inévitables différences entre une personne et un personnage. Et d’après ce que j’entends et lis, je crois que beaucoup de lecteurs sont très sensibles à ce qu’exprime Laure à la fin du livre.
À propos de l’objet livre, je trouve belle la couverture ; et Laure l’a vraiment beaucoup appréciée aussi. L’accompagnement graphique, à l’intérieur, est à la fois discret et subtilement présent. Il me plaît ainsi. Avant l’envoi à l’imprimeur, j’ai découvert que la dernière illustration du livre devait représenter un SDF. Cela me gênait un peu. J’avais peur que Charlie soit alors circonscrit par cette image. Grâce aux mots, ou malgré eux, on peut imaginer librement. Et l’histoire témoigne justement que Christian était une personnalité riche et complexe, bien loin des préjugés qui réduisent si souvent les êtres à leur situation. Avec les Éditions du Muscadier, il a ainsi été choisi de ne pas le représenter. Tout s’est d’ailleurs passé de façon très cordiale, ouverte, souriante même avec cette maison d’édition. J’avais d’abord rencontré Éric, en tant que libraire, lorsque j’avais été réinvité à la médiathèque Limay par Rachel, une bibliothécaire merveilleusement passionnée. Il avait assisté à des rencontres. Il y avait eu un bel échange. Et nous avions aussi une amie commune, l’auteure Julia Billet. Lorsqu’il m’a plus tard proposé, en tant que directeur de collection, d’envoyer un texte pour Le Muscadier, j’ai tout de suite été très intéressé par la philosophie et l’esprit d’ouverture de cette maison d’édition. Avec sa vivifiante formule en épigraphe, tirée de La Boétie (De la servitude volontaire) : « Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres ». Et je lui ai envoyé Charlie.
Eric Denniel, directeur de la collection Place du Marché pour les éditions Le Muscadier :
La force et la justesse de Charlie m’ont tout de suite convaincu. Les différentes relectures ont confirmé cette première impression. Mais, pour la collection, le texte était trop court, et certains passages devaient être retravaillés pour être plus en phase avec la tranche d’âge (vocabulaire, notions, etc.). Un mail et un coup de téléphone plus tard, François avait trouvé la solution : l’ajout de l’entretien avec Laure à la fin de l’ouvrage. Quant aux modifications suggérés, elles sont arrivées peu de temps après. Tout le reste de notre travail s’est poursuivi en roue libre jusqu’à la couverture du livre, qui a fait l’unanimité. Et puis au dernier Salon de Montreuil, je passais le saluer sur le stand Møtus ; il me dit : « J’ai une surprise pour toi » et il me présente Laure : j’étais face à l’héroïne de Charlie, pour de vrai ! Pour conclure, je n’oublie pas de saluer les autres acteurs indispensables de cette aventure : la maquettiste, Joëlle Parreau, et Bruno Courtet qui a ouvert les portes du Muscadier à la collection Place du Marché.
Aimait la littérature jeunesse bien avant d’avoir des enfants mais a attendu d’en avoir pour créer La mare aux mots. Goût particulier pour les livres pas gnangnan à l’humour qui pique !
bonjour
merci beaucoup
je tente ma chance avec grand plaisir
j’ai pleuré de joie à mon accouchement
Mais surtout dernierement un autre fait qui m’a fait pleuré de joie, que peut etre les gens ne comprendront pas, c’est quand mon chirurgien m’a dit ok, je vous opere ( trop de kilos…). Dans ma tete, je me suis dit, ca y est une nouvelle vie commence, tout va enfin changer.
les gens qui m’ont vu sortir du cabinet croyait que je pleurais de peur de me faire opérer mais non, tellement j’étais heureuse, j’arrivais meme plus à parler, à retrouver la sortie lol
encore merci
a bientot
bonne journée
Donnez naissance à mes 2 loulous sans hésiter !!! Les seules fois où j’ai pleuré de joie!….
Bonjour
Ohlala !!! Alors, pour moi, c’est trop facile : tout ce qui touche aux enfants !!!!! Même une vidéo d’un accouchement de quelqu’un que je ne connais pas du tout à la télé et hop … ça y est … une fontaine !!!!!
Merci, bon mercredi …
Bonjour,
Pleurer d’émotion m’arrive très souvent, mais pleurer vraiment de joie je pense que cela m’est arrivé pour l’arrivée de mes loulous et mon mariage.
Bon mercredi !
je crois que si un jour mono frère m’annonce que je vais dz nouveau être tata (mais pourras première fois son côté )je pleurerai de joie!!!!!
Un résultat positif dans quelques mois.
Le mois dernier, j’ai pleuré de joie lorsque j’ai découvert que mon cadeau d’anniversaire c’était… un voyage au Japon !!!
Et si on remonte quelques années en arrière, c’est lors de la naissance de mes deux filles !
retrouver un ami cher perdu de vue…
En ce mois de fête des mères, une réponse me vient naturellement à l’esprit : je pleurerais de joie si j’ai un jour l’agréable sentiment, en regardant mes futurs enfants épanouis et confiants, d’avoir réussi à faire de leur enfance une douce entrée dans la vie, une période qui leur laissera des souvenirs magiques et pleins de tendresse, et leur aura permis de se construire afin d’aborder sereinement l’avenir. Surtout, je souhaite que ces premiers souvenirs leur rappellent qu’ils ne doivent jamais perdre espoir et seront quoi qu’il arrive toujours aimés et soutenus. Si par bonheur j’ai la chance, un beau jour, de me faire cette réflexion à la vue de mes enfants, alors je pourrais me dire que j’ai réalisé la plus belle des réussites : celle d’avoir été à la hauteur et de leur avoir offert l’essentiel, à l’image de ma merveilleuse maman. Et j’en pleurerai de joie …
Ce qui pourrait me faire pleurer de joie?
Dites-moi que Michael Jackson n’est pas mort 😉
J’ai déjà pleuré de joie plusieurs fois, mon mariage, la naissance des enfants.. Ce qui pourraient me faire pleurer de joie en ce moment ? Qu’un miracle survienne et sauve un enfant que je connais.
Merci pour ce beau concours 🙂
ce qui “pourrait” ! pardon …
Bonjour,
Je tente ma chance avec joie, merci, cet album a l’air vraiment très beau.
Ce qui me ferait pleurer de joie ? Les petits mots d’amour ou petites attentions de mes enfants, comme par exemple pour la fête des mères : un petit cadeau fait main, un poème récité du fond du coeur… et là je fonds !!!
Merci beaucoup et bonne journée!
Mynouchette
mynouchette@gmail.com
Bonjour !
Merci (encore une fois) pour ce beau concours.
Je pleurerais de joie si je gagnais à l’euromillions, je pourrais enfin acheter tous les livres qui sont sur ma liste pour compléter la bibliothèque de mes enfants ! (Et bien sûr, j’achèterai la maison qui va avec cette nouvelle bibliothèque 😉 )
Bonne journée !
Ma meilleure amie retrouvée après s’être perdue de vue pendant 10 ans. Se tomber dans les bras l’une de l’autre des larmes de joie plein les yeux. Et se retrouver comme avant.
Elle est devenue ainsi la marraine de ma petite dernière.
Bonjour,
Je participe avec bonheur et suis impatiente de voir la nouvelle version de votre travail (cela me fera l’occasion d’aller davantage sur pinterest …).
Ce qui me ferai pleurer de joie, ce serait le retour de la fille prodigue (elle se reconnaitra).
Bises à partager …
Bonjour,
Merci pour le concours et le super cadeau.
Je participe avec plaisir.
Moi, j’ai pleuré de joie quand j’ai mis mon loulou au monde, c’était le plus beau jour de ma vie.
Encore merci et bonne continuation.
Merci pour ce concours et pour tout votre travail.
Je crois que ce qui nous fait pleurer de joie, c’est de réaliser qu’on est parfaitement en accord avec soi-même.
Cette douce sensation m’arrive de temps en temps, pour des choses plus ou moins futiles. La neige qui tombe une nuit de Noël. Être allongée à côté de mon amoureux. Quand tout paraît simple et évident.
Bonne nuit !
Ce qui m’a fait pleurer de joie la semaine dernière c’est le magnifique sourire de mon petit renardeau de 5 mois qui s’ est fièrement assis pour la première fois tout seul 🙂 merci pour cenouveau concours !
Bonjour 😉
encore de très beaux ouvrages que je verrais bien dans notre bibliothèque 😉
merci à vous 😉
quant à moi voir mon loulou gagner son match de tennis dans le cadre d’un tournoi cela peut à la fois m’émouvoir et me remplir de fierté !! voir ses loulous s’épanouir dans le sport ça n’a pas de prix pour moi.
très belle journée