Chaque rentrée est une étape importante dans la vie d’un enfant. Les livres peuvent accompagner ce moment, tant attendu ou si redouté. C’est pourquoi j’ai décidé, avant les grandes vacances, de vous présenter mes indispensables, pour petit·es et grand·es, sur cette thématique.
Retrouver ses ami·es, peindre, faire un herbier, sauter dans des cerceaux…
Quel est le point commun de toutes ses actions ? L’école maternelle, bien sûr ! En suivant la chronologie d’une journée d’école, cet imagier reprend toutes les actions et mots liés à la maternelle. Chaque page correspond à un moment clé de la journée, de l’année scolaire, et aux activités qui lui sont liées : la récréation, la motricité, la sortie à la ferme, la fête de l’école… Cet imagier ne se contente pas d’illustrer des mots ; il le fait aussi pour des actions, ce qui permet d’enrichir encore un peu plus son langage. La qualité des imagiers Père Castor n’est plus à prouver. On aime beaucoup les illustrations douces de Madeleine Brunelet. Ce livre, comme son nom l’indique, a un format géant : idéal pour une classe, ou comme livre-objet dans la chambre d’un enfant.
Les trois amies, Lolotte, Crocotte et Cocotte se sont couchées tôt. Mais Lolotte se sent toute bizarre, car, demain, c’est la rentrée des classes. En quelques mots, et à travers quelques rêveries, Cocotte va lui expliquer à quel point elle va s’amuser à l’école, et aimer apprendre.
Quel plaisir, un album sur la rentrée, rempli de joie de vivre, et où les craintes sont balayées d’un revers de la manche pour laisser place au bonheur d’apprendre ! Le livre évoque toutes les activités que les enfants réaliseront à l’école maternelle. Elles sont mises en images de manière drôle et colorée. Les personnages jouent avec le matériel scolaire pour se l’approprier : Crocotte escalade la palette de peinture, Cocotte fait du toboggan sur les équerres, Lolotte saute sur les tubes de colle… Si vous aimez cette Lolotte, vous pouvez la retrouver dans de nombreuses aventures écrites par Clothilde Delacroix.
Demain, les sept enfants de Maman souris iront pour la première fois à l’école. Maman s’affaire, donc, autour des derniers préparatifs, et aimerait que tous et toutes se couchent tôt. Mais ces petites souris ne montrent guère d’impatience et d’envie d’aller à l’école. Comment réussira-t-elle à les emmener, malgré tout ? Elle va devoir se montrer, de nouveau, très astucieuse. Durant la nuit, elle déroule deux pelotes de laine à travers la forêt, tel un chemin de fer. Au matin, Maman Souris annonce que le train pour l’école est prêt. Surprises, les petites souris se prennent au jeu, et s’accrochent les unes aux autres, direction leur établissement. En chemin, il leur faudra faire face à un protagoniste redouté, mais finalement pas si redoutable que cela.
Le train des souris est un indémodable. Écrit il y a plus de trente ans, par deux artistes japonais, il continue à accompagner les petits élèves français·es pour leur premier jour d’école. La culture n’est pas la même, l’époque non plus, mais un enfant reste un enfant, pétri par les mêmes craintes et les mêmes joies. Filles et garçons continuent donc à s’identifier à ces souriceaux ; et les adultes prennent plaisir à leur faire découvrir ce livre qui a bercé leur enfance. Le texte est à lire en douceur, pour laisser le temps aux enfants de regarder les illustrations. Elles sont à observer, comme on observerait la nature, à l’affût de chaque détail. Kazuo Imawura prend autant de soin à dessiner l’environnement naturel, que les intérieurs ou les personnages qui les habitent. Finalement, dans cette histoire, le chemin s’avère tout aussi important que la destination ; un cheminement intellectuel autant que physique. Les petits apprennent à y vaincre leur peur, faisant preuve d’union et de solidarité, pour pouvoir devenir enfin autonomes. Un classique de toutes les bibliothèques scolaires.
La rentrée approche, et Martin est inquiet. Il ne sait pas qui sera sa nouvelle maîtresse. Sera-t-elle gentille, au moins ? Lui, il voulait garder la même que l’année dernière. Sa maman le rassure, en lui expliquant qu’elle aussi, a eu de nombreux maîtres et maîtresses durant toute sa scolarité. Le jour de la rentrée, Martin a mal au ventre ; cette fois, c’est au tour de son papa de lui apporter du réconfort : même les adultes peuvent être inquiet·es face aux changements. Mais quand il arrive dans la classe, qu’elle n’est pas sa surprise quand il découvre que la maîtresse n’est autre qu’un maître !
Martin est l’un de ces petits héros de séries auxquels les enfants s’identifient très (trop) facilement. Il fait partie de ces petits livres utiles, qui posent un contexte, mettent en avant des questions, et essaient d’y donner des réponses. Les enfants y reconnaissent leurs propres expériences. Ce genre de livres peut donc être un levier pour les faire parler à ce sujet. On soulignera le rôle donné à l’A.T.S.E.M., dont la présence est assez rare dans les albums sur l’école maternelle.
Le cartable sur le dos, Calinours est prêt à partir pour l’école. Pour rejoindre sa maîtresse et sa classe, il doit passer à travers bois. Au gré des rencontres, il fait de son chemin un grand moment de jeu et de partage. Calinours demande à Mademoiselle Pinson de le chercher dans les buissons, s’amuse à faire une peinturlupette avec Monsieur Sanglier, ou bien encore à écraser de la pâte à modeler avec Monsieur Renard. Tout cela est bien drôle, mais il est tout sale. Il lui faut donc passer par la rivière pour se laver avant de courir vers l’école. Un dernier bouquet, et le voilà enfin. Sauf qu’il est trop tard, l’école est finie ! Calinours promet à sa maîtresse Marie-Agnès que, demain, il ne s’égarera pas en chemin et sera le premier.
L’école des Loisirs édite cette année une nouvelle version toilée de ce grand classique de la littérature enfantine, paru pour la première fois en 1994 (pour ma part, je garde une préférence pour la version grand format). Certes, Calinours fait l’école buissonnière, mais ses activités ressemblent aux activités de base de tout élève d’école maternelle. C’est d’ailleurs un album très souvent exploité par les enseignant·es avec leurs élèves. On aime le personnage de Calinours, gai, heureux de se rendre en classe (même s’il arrive très en retard) et adorant sa maîtresse. C’est un héros qui donne envie d’aller à l’école ! Ce livre nous change de tous ces ouvrages, qui remplissent les rayons des librairies en septembre, où les petits héros redoutent la rentrée. Texte et illustrations en font une histoire très poétique. Un album qui, sans nul doute, réjouira encore bien des générations d’enfants.
Aujourd’hui, Splat va aller à l’École des chats pour la première fois. Il se fait beaucoup de soucis pour cette journée. Il est réveillé bien avant que sa mère ne vienne le chercher, et n’a pas vraiment envie de sortir du lit. Il n’a pas davantage envie de s’habiller, de préparer son casse-croûte, ni même de passer la porte. Bref, il ne veut pas aller à l’école ! Finalement, arrivé sur les lieux, il se rend compte que la maîtresse et ses camarades sont très gentils. De questionnements en péripéties, la journée passe très vite. À la sortie, il est très content de serrer sa maman dans ses bras, de lui raconter sa journée, et a hâte de pouvoir y retourner.
Splat le chat est un livre simple qui plaira aux enfants. Le héros à l’allure de personnage d’animation est vif et drôle. Le rythme du texte et son humour, ainsi que la composition de l’image, nous font vivre l’aventure à un rythme effréné. Ce Splat comme les petits humain·es connait l’angoisse d’aller à l’école, avant d’avoir très envie d’y aller à nouveau. Bref, comme tout un chacun, il a besoin de se sentir incroyable !
C’est la rentrée. La fillette, héroïne de l’histoire, se blottit tendrement contre sa maman, avant d’aller rejoindre sa classe en courant. Elle y retrouve sa maîtresse et ses camarades. Elle observe ses voisin·es de table, décrit le caractère de chacun·e, la poésie qui les habite. La journée file ainsi. Mais quand sa maman sera de retour saura-t-elle lui raconter tout ce qui s’est passé ?
Comme chaque parent, celui de l’histoire (uniquement présent au début et à la fin de l’album), rêve de savoir tout ce qui s’est passé à l’école, pendant ce long moment où il n’était pas en compagnie de son enfant. Et comme bien souvent, que ce soit dans cette histoire ou dans la réalité, il n’en saura rien ! Parce que c’est bien trop long à raconter ou parce que l’enfant en fait son jardin secret. Mais le récit nous donne la possibilité, à nous, de savoir : à travers la voix du narrateur qui tutoie la fillette, héroïne de l’histoire, et à travers le point de vue de ce personnage. Les jeux sur la focalisation, sur les plans, dans le texte et dans l’image, et les jeux sur les mots en font un livre riche. Le petit monde de cette fillette, avec son immense maîtresse et ses camarades tous différents, est poétique. Les illustrations et le choix des couleurs donnent au livre un petit côté désuet, qui ajoute à son charme.
Est-ce que je peux me perdre dans ma nouvelle école ? À quoi mon maître pense-t-il ce jour-là ? Qui peut m’aider si j’ai un problème ?
En période de rentrée, les questions peuvent parfois se bousculer dans la tête des écolier·ères. Ce documentaire y répond avec des mots simples et des explications claires. Il s’adresse aux enfants qui rentrent au CP, mais peu également répondre aux interrogations d’élèves de CE1 ou CE2. Les questions sont variées : de celles qui peuvent paraître simples et drôles avec un regard adulte (Est-ce que mon maître dort à l’école ?) à d’autres, plus complexes (Pourquoi les grands embêtent souvent les petits ?). On appréciera tout particulièrement que la maîtresse soit, en fait, un maître, élément assez rare dans les livres sur la rentrée. Autre point positif : les questions d’ordre culturel, notamment sur l’école à travers le monde. Chaque école, chaque enseignant·e, chaque élève sont différent·es. Malgré tout, dans cet ouvrage, chaque lecteur ou lectrice trouvera réponse à ses interrogations. On retrouve la qualité des documentaires des collections Mes p’tits docs/Mes p’tites questions, qui sont devenus des valeurs sûres.
Je vous recommande aussi fortement ces livres déjà chroniqués :
24 petites souris vont à l’école, texte de Magadalena, illustré par Nadia Bouchama, Flammarion, dans la collection Les Albums du Père Castor (2004)
Premier matin, texte et illustrations de Fleur Oury, Les Fourmis Rouges (2015)
Grandir, texte et illustrations d’Elodie Brondoni, Motus (2020)
Ils arrivent…, texte de Sylvie Neeman, illustré par Albertine, La joie de lire (2018)
Plein les bottes, texte et illustrations de Leïla Briant, Alice jeunesses, dans la collection Histoires comme ça (2020)
L’incroyable histoire du mouton qui sauva l’école, texte de Thomas Gerbeaux, illustré par Pauline Kerleroux, La joie de lire (2018)
Bulle d’été, texte et illustrations de Florian Pigé, HongFei (2019), que j’ai chroniqué sur mon blog personnel “Un enfant qui lit…” ici.
Et, maintenant, quelques romans, pour la rentrée des plus grand·es.
Seydou et sa petite sœur Fatoumata habitent avec leur maman une pièce unique d’un immeuble insalubre. Seydou, l’aîné, sait bien qu’il faudra bientôt quitter les lieux ; d’ailleurs, maman parle souvent d’un nouvel appartement. Mais, ces derniers temps, la seule chose à laquelle il pense, c’est la rentrée scolaire. Il est tellement content que sa petite sœur Fatoumata rentre elle aussi à l’école pour apprendre à lire et à écrire, qu’en secret, il a travaillé et économisé de l’argent pour lui offrir une boîte à crayons et un petit cahier. Malheureusement, rien ne se passe comme prévu. Le matin, de la rentrée, Seydou, Fatoumata, leur mère et tous les habitant·es de l’immeuble sont expulsé·es. Les deux enfants se retrouvent sur le trottoir le cartable sur le dos, sans maison et sans espoir de rejoindre leur école. Les petites étoiles dans les yeux de Fatoumata ont disparu, et Seydou se sent terriblement triste. Toutefois, le garçon ne se laisse pas abattre bien longtemps ; car, soudain, lui vient une idée.
Nombreux sont les livres sur la rentrée qui nous parlent d’enfants qui n’ont pas envie d’aller à l’école. Dans ce livre, le point de vue est très différent. Les deux enfants, qui ont bien conscience de ce que l’école pourra leur apporter, rêvent de s’y rendre, mais n’en ont pas la possibilité. Ce petit roman permettra probablement aux jeunes lecteurs et lectrices d’ouvrir les yeux, et de s’interroger sur des problématiques éloignées de leur quotidien. Il est question ici d’immigration, d’insalubrité, d’expulsion, mais surtout d’espoir ! Un espoir impulsé par un petit garçon courageux et rêveur, et rendu possible par les garants de l’école de la République et de ses valeurs. Je ne vous en dis pas plus ; et vous laisse découvrir cette petite pépite.
Le jour de la rentrée est arrivé. Malgré leurs jérémiades, le narrateur et ses camarades sont contents de retrouver l’école pour cette dernière année scolaire en primaire. Il découvre avec surprise leur nouveau maître : un vieil homme aux cheveux blancs, qui en guise de « bonjour », leur déclare « J’ai un cadeau pour vous ». Chacun·e reçoit, alors, un jeu de cartes. Ce jeu n’a rien d’ordinaire ; il pourrait même être qualifié d’extra-ordinaire. En effet, chaque carte correspond à un joker, permettant d’éviter ou de réaliser une action : perdre ses devoirs, danser en classe, faire un bisou ou un câlin… Les élèves en ont le souffle coupé. Mais ils vont devoir s’y habituer, car Mr Noël, le si bien nommé, a des cadeaux plein son cartable. Les heures et les jours s’égrènent au rythme des petits bonheurs proposés par le maître. Un jour, il leur offre la lecture d’un livre, dont l’histoire et les personnages les marqueront à jamais. Un autre, il offre un mot, qui une fois le sens intégré, leur sera acquis pour toujours. L’année se déroule à ce rythme, chaque petite chose étant vécue comme un cadeau de la vie, autant que du maître ; le tout pimenté par l’utilisation des fameux jokers reçus en début d’année.
En général, lorsqu’un enfant a ce livre entre les mains, qu’il soit petit ou grand lecteur, il le « dévore ». Il n’a qu’une envie : tourner les pages les unes après les autres pour savoir où cette folie douce va mener la classe. Susie Morgenstern a réussi à faire de ce roman une histoire à la fois drôle et touchante. Le lecteur ou la lectrice rit des idées « saugrenues » du maître, tout en rêvant de cette classe où il fait bon vivre. Il ou elle est touché·e par les belles intentions du maître, et par sa grande bienveillance. Cet instituteur donne une sacrée leçon de vie, rappelant qu’il faut saisir tous les bons moments que la vie nous offre, et en profiter un maximum. Un classique, un indispensable pour tous les enfants dès le CE2.
Jour de rentrée. Pour Joachim, qui rentre en terminale, c’est presque la routine, ce retour au lycée. Mais pour sa sœur, Pauline, qui rentre en seconde, c’est différent, tout lui semble nouveau. Celle-ci n’échappe pas à la traditionnelle fiche de rentrée : nom/prénom, situation familiale, profession de la mère, profession du père… Tout naturellement, elle barre « du père » pour noter « deuxième mère ». En effet, elle et son frère sont nés par PMA, et vivent avec leurs deux mères. Cette situation familiale n’a jamais vraiment fait débat autour d’elle auparavant ; alors quand ce jour-là, le remplissage de la petite fiche met le feu aux poudres dans sa classe, elle ne comprend pas, elle n’est pas prête. Dans les jours qui suivent, petit à petit, Pauline devient triste et se renferme. Son entourage met cela sur le coup d’une rentrée en seconde difficile, mais ne voit rien et ne sait rien des humiliations qu’elle subit au lycée. C’est son frère Joachim, qui le premier perce le secret. Dès lors, il n’aura de cesse de vouloir aider sa sœur à se sortir de cet enfer.
Après la rentrée des petits, celle des 6e, voici un livre pour les ados. Frangine, c’est un livre sur la rentrée, sur le lycée, sur l’adolescence, mais c’est aussi, et surtout un livre sur le harcèlement, sur l’homophobie, sur l’intolérance, et la méchanceté. L’histoire nous est essentiellement racontée par Joachim, le grand frère, mais plusieurs autres points de vue, notamment adultes, s’y ajoutent, nous donnant leurs visions personnelles. Si la rentrée de Pauline est extrêmement compliquée, nous nous rendons compte que finalement rien n’est simple pour personne. Mais chacun·e à sa manière va contribuer au dénouement. Et en toile de fond, se dessine le seul et unique moteur de ce monde : l’amour, qu’il soit fraternel, maternel, ou de couple… Marion Brunet réussit habilement à traiter de sujets délicats.
L’imagier géant du Père Castor – La maternelle de Madeleine Brunelet Flammarion jeunesse – Père Castor, dans la collection Petite enfance 19,90 €, 340×459 mm,16 pages, imprimé en Chine, 2021. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Lolotte à l’école de Clothilde Delacroix L’école des loisirs, dans la collection Loulou et cie 13€, 205×205 mm, 28 pages, imprimé en Pologne, 2017. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Le train des souris de Haruo Yamashita (traduit du japonais par Missy Debs, Mazako Irie et Isabelle Reinharez), illustré par Kazuo Iwamura L’école des loisirs 12 €, 191×217 mm, 37 pages, imprimé en France, 1986. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Martin et la nouvelle maîtresse Texte de Till the cat, illustré par Carine Hinder Hachette, dans la collection Les albums Hachette 6,99 €, 197×198 mm, 28 pages, imprimé en France, 2021. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Calinours va à l’école Texte d’Alain Broutin, illustré par Frédéric Stehr L’école des loisirs, dans la collection Petite Bibliothèque 6,50 €, 127×168 mm, 34 pages, imprimé en Italie, 2021. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Splat le chat de Rob Scotton (traduit de l’anglais par Rose-Marie Vassalo) Nathan, dans la collection album 13,95 €, 260×260 mm, 28 pages, imprimé en France, 2009. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
C’est bien trop long à raconter Texte d’Isabelle Damotte, illustré par Monica Barengo Motus édition 13 €, 210×270 mm, 36 pages, imprimé en République tchèque, 2018. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
L’école élémentaire Texte de Pascale Hédelin, illustré par Justine Gueyfier et Jessica Das Milan, dans la collection Mes p’tites questions 8,90 €, 202×220 mm, 38 pages, imprimé en Chine, 2016. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Pas d’école pour Fatoumata ? Texte de Jeanne Failevic, illustré par Mandana Sadat Oskar jeunesse, dans la collection Cadet roman 6,95 €, 125×190 mm, 32 pages, imprimé en Slovaquie, 2006. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Joker Texte de Susie Morgenstern, illustré par Mireille d’Allancé L’école des loisirs, dans la collection Mouche 7,10 €, 126×191 mm, 61 pages, imprimé en France, 1999. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Frangine de Marion Brunet Sarbacane, dans la collection Exprim’ 14,90 €, 137×216 mm, 262 pages, imprimé en Bulgarie, 2013. Achetez ce livre* via LesLibraires.fr, LaLibrairie.com ou Place des libraires. |
Fille des années 80, amoureuse des livres depuis toujours. La légende raconte que ses parents chérirent le jour où elle sut lire, arrêtant ainsi de les réveiller à l’aube. Sa passion des livres, et plus particulièrement des livres jeunesse, est dévorante, et son envie de partage, débordante. Elle est sensible aux mots comme aux images, et adore barboter dans les librairies et les bibliothèques. Elle aime : les albums au petit goût vintage et les romans saisissants, les talentueux Rebecca Dautremer et Quentin Gréban, les jeunes pousses Fleur Oury et Florian Pigé, l’humour d’Edouard Manceau et de Mathieu Maudet, les mots de Malika Ferdjoukh et de Marie Desplechin.
3 thoughts on “Et si l’on parlait de la rentrée des classes ? [CHRONIQUE EN ACCÈS LIBRE]”